Le père de Noëlle

Récit érotique écrit par cerebrox le 26-12-2014
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Catégorie Gay

Je viens de passer le réveillon en petit comité chez le père de mon épouse et j'en ai encore mal au cul. Mais, c'était ce dont j'avais vraiment besoin. René est un vieux pervers bedonnant de 65 ans, veuf, mais encore très vert qui sait se faire obéir. Il faut dire qu'il est grand, impressionnant et possède un argument imparable: un énorme et magnifique boudin blanc auquel nous ne résistons pas et que nous adorons lui téter longuement Noëlle et moi, des heures durant. Ce beau salaud sans scrupule ni interdit aime nous sentir entre ses cuisses et ne se lasse jamais de nous voir lui travailler suavement les couilles, le derche et la queue pendant qu'il se visionne égoïstement un bon film X, vautré et à poil sur son canapé. On s'active chaudement. Nos langues fureteuses et nos lèvres brûlantes de désir s'appliquent à qui mieux mieux sur ses parties intimes dont les senteurs mâles nous grisent. On se donne sans retenue ni fausses pudeurs à pleine bouche pour avoir le bonheur de le voir heureux, bandant et lubrifiant à souhait. Beau-papa se laisse alors aller à nous insulter, à nous saisir la tête par les tempes pour nous baiser les cavités, confondant volontiers nos bouches humides avec le vagin de sa petite fille chérie ou encore avec mon cul serré. Je suis, pour cette raison, le petit enculé préféré de ce vicieux qui ne savoure rien de mieux qu'une longue pipe gourmande et baveuse administrée par son gendre amoureux sous le regard tendre et bienveillant de sa fille unique qui ne demande jamais plus que de m'accompagner gaiement. Je la vois, très excitée, câliner et embrasser lubriquement son papa pendant que je suçote sensuellement et bruyamment son gros gland qui suffit à me déformer l'orifice buccal. Quand il le décide, je viens m'asseoir sur sa grosse bite bien raide et il m'enfile profond. Le cul gélifié, je suis tout de même très distendu par ses assauts contre nature qui me procurent pourtant les plus fortes sensations: "Ah, papa! Comme c'est bon." C'est extatique. Je suis littéralement défoncé et c'est à peine si je peux répondre aux doux baisers, aux caresses dépravées de mon épouse ravie de me savoir sous emprise, ainsi entrepris par l'homme de sa vie qui sait si bien me malmener. Je ne me suis jamais contenté d'être le cocu de service. J'ai toujours adoré les sévices de cet homme si viril qui me perçoit comme l'objet humain qu'il veut que je sois pour lui. Aussi, je me donne à fond, sans réserves et suis fier de montrer, à chaque occasion, la bonne lopette de mari que je peux être pour celle qui ne se plait jamais autant qu'en étant le témoin privilégié des humiliations verbales et physiques que son dieu vivant me fait endurer. Les orgasmes de mon épouse ne sont jamais aussi nombreux et intenses que lorsque nous sommes tous les trois. Moi, soudé par le cul au gros morcif papal qui me fait trembler sur mes jambes. J'implore des coups de queue puissants. Je soupire et beugle comme jamais, en levrette sur le lit, ou à quatre pattes sur le tapis du salon. Noëlle m'écarte les lobes fessiers pour mieux voir et lécher le formidable coït bestial en encourageant son père à me "péter le fion". J'ai l'impression de sucer son gros chibre par le trou du cul qu'il m'évase allégrement. C'est divin ! Alors, je suis un mari comblé...Noëlle prend un malin plaisir à me branler durant ces longs et magiques instants où le temps s'arrête pour me traire et me faire juter comme une vache de mari soumis aux besoins paternels. Elle recueille ma semence au creux de ses mains et m'oblige à laper ma propre souillure pendant que son père me pilonne toujours, tout heureux de me faire mon affaire. Le papa de Noëlle ne se sent jamais aussi bien au chaud que dans mes entrailles et sait faire durer son plaisir: "un beau petit cul d'authentique saloperie ! Remue-toi, ma bonne connasse! Active, salope!" Il finira par décharger copieusement en moi et bien profondément en râlant comme une bête blessée, en regrettant de ne pouvoir pas me foutre enceinte. Mais non. Cette fois, il décule et m'oblige à venir le pomper. Noëlle se joint à moi et c'est sur nos deux langues tirées qu'il se répand. J'adresse alors à mon épouse un baiser débordant d'amour et de crème de couilles paternelle qu'elle me rend si bien. C'est délicieux! Les boules du père de Noëlle, cette année, n'étaient pas sur le sapin...

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26-12-2014 2 12001

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