Avec mon fils

Récit érotique écrit par carlax le 30-07-2015
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Catégorie Inceste

Bonjour, je lis régulièrement les histoires qui sont sur le site et j'avoue que les auteurs sont très doués et écrivent très bien. Malheureusement, je n'ai pas leur talent, ça me sera dur de rivaliser avec eux. D'ailleurs, je ne sais pas quoi dire précisément, ni par oÙ commencer. En fait, comme le titre l'indique, c'est pour parler de mon fils. Peut-être que le plus simple est de dire comment ça a commencé.




Mon fils s'appelle Gabriel, il a aujourd'hui 17 ans – j'en ai 41 – mais en paraît beaucoup plus, car il est très grand pour son âge. Il est très mignon car il fait homme
par sa taille et, en même temps, paraît juvénile (c'est comme ça qu'on dit ?) par
son doux visage. C'est mon garçon. L'orgueil de la famille. Je vis avec lui dans un pavillon, en banlieue parisienne – je ne dirais pas où. Son père n'est pas souvent là car, pris par son travail, il est amené à se déplacer très souvent en province ou à l'étranger. En général, il n'est présent qu'un jour ou deux par semaine, en fin de semaine et encore. Moi, je n'avais pas du tout rêvé de vivre une vie pareille avec lui quand je l'ai épousé. Du coup, j'ai continue ma mauvaise habitude de (trop) boire que j'avais prise quand j'étais étudiante et, rapidement, j'ai pris des amants. Comme je suis plutôt jolie, je n'ai pas eu trop de mal à en trouver et j'en changeais souvent. Je m'amusais, menant ma vie comme j'en avais envie, sans trop penser au lendemain.

Une fois, je me rappelle, j'étais avec un jeune amant fougueux que j'avais ramené à la maison, une nuit. Comme on avait un peu trop bu tous les deux, on a fait du bruit, et Gabriel s'est réveillé. Il avait à peu près douze ans à cette époque-là. On rigolait comme des fous et mon amant voulait absolument me faire l'amour dans la cuisine. Moi, je ne voulais pas à cause de Gabriel qui nous regardait avec des yeux ronds. Je lui ai dit : « Faut pas le dire à papa, hein tu ne le diras pas à papa ? », et puis, je suis vite montée dans ma chambre avec mon amant qui me caressait déjà pour faire l'amour. Je lui ai demande de fermer la porte, mais il était trop pressé, il ne l'a fermée qu'à moitie et j'étais certaine que Gabriel nous avait entendu, voire espionné – ce qu'il m'a avoue plus tard.

Cela a continué comme ça pendant un certain temps. Gabriel est devenu mon complice. Je ramenais mes amants à la maison, mon fils ne disait rien, il entait adorable. Des fois, quand j'avais un rendez-vous, je lui demandais son avis sur la
robe que je devais mettre, savoir si j'étais belle avec celle-là, ou si j'étais mieux avec l'autre, etc. Je vivais sur un petit nuage.

Et puis Gabriel a grandi. Il a eu quinze ans. Il a eu, lui aussi, une petite aventure avec une fille de son âge, puis d'autres. Il m'en parlait, mais me disait qu'il se sentait davantage attiré par les femmes plus âgées que par les filles de son âge. Et son regard vers moi a changé. Parfois, il se mettait à rougir en regardant mon décolleté et à regarder mes jambes avec insistance.

Une fois, j'étais dans la salle de bains – je précise qu'elle était fermée à clef – je faisais ma toilette. C'est alors que, par la petite fenêtre qui donne sur le jardin, j'ai vu que mon fils m'espionnait. Quand il a croisé mon regard, il a vite dégringolé les gravas sur lesquels il était monté et s'est enfui.
Quand il est revenu, je lui ai passé un savon ! Je l'ai engueulé, lui ai dit de ne pas recommencer que cela ne se faisait pas et qu'il n'avait qu'a le faire avec sa copine. De plus, je l'ai menacé de le raconter à son père. Il s'est tu et est parti dans sa chambre. Je croyais avoir mis les choses au point, mais en fait, ça n'a rien changé. Un jour, je suis rentrée plus tôt que prévu et je l'ai trouvé en train de fouiller ma lingerie dans ma chambre. Lui m'a juré qu'il cherchait une cassette vidéo, l'affaire en est restée là, mais je ne l'ai pas cru.

Et à chaque fois qu'il avait une occasion pour regarder mes jambes ou mon décolleté, il en profitait. Et puis, un jour encore, il a recommence à m'espionner par la fenêtre de la salle de bains. Je l'ai engueulé de nouveau, mais là, il m'a répondu qu'il s'en fichait que je le dise a son père car, lui aussi, il pourrait raconter que je bois et que je ramène des hommes à la maison. Je ne savais plus quoi dire. Surtout qu'à la question : « Pourquoi tu fais ca ? », il m'a répondu : « Parce que je te trouve belle, que j’aime te voir nue et que tu as de beaux seins ». En outre, il m'a avoué qu'il m'avait espionnée dans la salle de bains beaucoup de fois sans que je ne m'en rende compte. J'étais soufflée. Je ne savais quoi dire, ni quoi faire. Cette fois-ci,
c'est moi qui suis partie dans ma chambre, sans dire un mot, et je ne savais pas quoi penser de tout ca.


Après, c'est arrive très vite. J'ai l'impression d'avoir été prise dans un tourbillon. Je me suis mise à boire de plus en plus et à sortir de moins en moins. Gabriel a eu seize ans. Il est devenu entreprenant. À un point, j'ai eu le sentiment de ne plus pouvoir contrôler, de ne plus pouvoir faire grand chose. Il a continué à m'espionner par la salle de bains, mais ce n'était même plus de l'espionnage, je lui disais de partir et il restait. Je pouvais fermer la fenêtre, mais il n'y a pas de rideaux accrochés et il aurait tout vu quand-même.

Alors, pendant un temps, je me suis montrée nue tous les jours à mon fils en faisant ma toilette. Pendant ces moments, il nous arrivait de parler, de tout, de rien, de ce qu'on avait à faire dans la journée. D'autres fois, il me disait simplement : « Oh Maman, tu as de beaux seins, tu es belle ! ». C'est devenu un jeu. Quand je faisais ma toilette, il fallait qu'il soit là. Parfois, il m'engueulait gentiment parce que je l'avais faite sans lui : « Pourquoi tu ne m'as pas attendu pour faire ta toilette ? ».

Et puis un jour, j'étais avec lui sur le canapé, en tailleur et collant. On regardait la télé et je buvais mon troisième ou quatrième verre de Whisky, je commençais à être un peu saoule et c'est là que j'ai senti sa main posée contre ma cuisse. Ҫa m'a fait un choc. Ҫa m'a donne des frissons partout dans le corps. Il m'a caressée un peu et j'ai pris sa main, l'ai reposée sur lui et je l'ai suppliée de ne pas recommencer, de ne plus faire ca, jamais, mais, ce ne devait pas être très convaincant et, au fond de moi-même, cela m'avait fait tellement d'effet que j'en avais envie aussi.

Puis un soir, il a recommencé et cette fois-ci, j'étais en nuisette et sous-vêtements, il m'a caressé les seins, m'a dit qu'il me voyait nue dans la salle de bains et qu'il rêvait de me toucher. Je sentais que je mouillais comme une folle, c'était tellement bon. Il m'a caressée un peu plus longtemps que les autres fois, mais on n'a rien fait ce soir-là encore. Je me demandais jusqu'où cela irait et si je cèderais. Mais en tout cas, ça m'excitait énormément et, je dois reconnaitre, qu'il n'y avait plus que ca qui comptait.


Les choses ont continué comme cela pendant an. Il me touchait de temps en temps, lorsqu'on était assis tous les deux sur le canapé. Pour moi, c'était bon d'avoir un regard de désir porté sur soi en permanence. Je ne savais pas si je voulais aller plus loin, mais je sais que je voulais lui plaire et que j'aimais quand il me touchait et que, dans un souffle, je lui disais : « non, arrête, mon cheri ». En fait, je crois comprendre, en écrivant, que je suis tombée follement amoureuse de lui, sans le dire, en me le cachant à moi-même.

Et quand j'allais faire ma toilette, c'est moi qui, désormais, le prévenais. Je ne lui disais pas de venir, mais je lui disais simplement : « Gabriel, je vais faire ma toilette ». Elle durait un peu plus longtemps qu'une toilette normale. J'adorais ca. Être dans mon bain, me caresser lentement en me lavant, sortir ma jambe de l'eau et la savonner en lui souriant. Une chose totalement impensable, vicieuse, interdite, pour toute les familles, mais on le faisait sans se soucier du reste du monde. J'étais certaine qu'il se masturbait en me regardant. D'ailleurs, une fois, je lui ai demandé carrément : « Mais enfin, Gabriel, qu'est-ce que tu fais ? Tu te masturbes ? ». Mon cœur battait en lui disant cela, il m'a répondu simplement : « Oh maman… ! ».

Je chancelais vraiment. J'ai commence à faire vraiment attention aux garçons de son âge, à chercher à attirer leurs regards. Et je me disais que de tous, Gabriel etait vraiment le plus beau et que si je devais faire l'amour avec un jeune, ce serait avec lui. Tous les jours, je me montrais nue devant mon fils, comme une pin-up dans son bain et lui, se masturbait derrière la fenêtre en me regardant. Situation incroyable et excitante. Je lui demandais pourquoi il ne faisait pas ca avec sa copine, il me répondait qu'il n'en avait rien à f… de sa copine, que ce n'était qu'une gamine et que moi, j'étais belle et qu'il adorait me voir nue en train de faire ma toilette. J’étais l'objet de son regard, de son désir et c'était terriblement excitant. Parfois, il me demandait : « tu peux te caresser les seins encore ? », ou « oh j'aimerais tant que tu te retournes pour que je voie tes fesses ! ». Je le faisais, sans me poser de questions et je savais qu'il se masturbait. À la fin, je lui demandais s'il avait eu du plaisir, il me disait quelque chose du genre : « Oh oui Maman, tu es si belle ! ».

Et puis un jour, comme de coutume, j'allai prendre mon bain, je le lui ai dit, j'ai
fait couler l'eau, je me suis installée dans le bain, j'ai cru qu'il allait venir à la fenêtre, comme d'habitude, mais non, il n'est pas venu. J'allais être déçue quand la porte de la salle de bain s'ouvre – je ne la fermais plus à clef depuis la dérive de nos jeux – et Gabriel arrive. Je lui ai demandé : « Mais qu'est-ce que tu fais la ? », il m'a répondu que c'était stupide, pour lui, de toujours rester sur les gravas, derrière la petite fenêtre et que je n'avais qu'a me laver comme d'habitude, que cela ne changeait rien, mais que dorénavant, il préférait être à côté de moi dans la salle de bains.

Je n'ai rien dit, j'ai continué à me laver, mais mon cœur battait follement. Gabriel, mon Gabriel, était à côté de moi ! J’en tremblais presque ! Et lui, sans me prévenir, s'est mis à côté du bain, a baissé son jeans et son slip. Il bandait. Sa petite bite bandait (Oh, mon Gabi). Et il a commence à se masturber. J'étais totalement hypnotisée. Je me lavais, mais c'était plus des caresses qu'autre chose. Il disait : « Oh Maman, oh Maman ! ». J'ai joui, dans mon bain, pour la première fois, nus tous les deux, quasiment en même temps. Il a éjaculé quasiment 10 giclées sur mon corps, mes seins, mes cheveux et mon visage. C'était merveilleux – j'ai toujours aimé recevoir des giclées de sperme sur moi.

Et puis, ça a dérivé encore. Il s'est mis à me laver lui-même. Il me lavait avec son gant ou ses mains. Moi, je ne faisais plus rien que fermer les yeux. Des fois, il me caressait mes petites lèvres. Je lui disais : « non, oh non, Gabriel, pas là », mais cela finissait toujours par un, deux ou trois orgasmes. C'était tellement bon. Lui, ne se masturbait pas toujours.

Et puis, ce qui devait arriver est arrivé. Il s'est mis à me sucer les seins. On prenait des bains ou des douches ensemble. Moi aussi, je le touchais. On ne disait rien. Et, un soir, après le repas, j'étais encore assise, il s'est mis debout derrière moi et a commencé à me caresser les seins. Ce n'était plus le jeu de la salle de bains, mais j'attendais cela. Je me disais que c'était lui, mon homme, que je voulais me donner à lui. Il m'a mise nue, m'a sucé les seins. Je n'étais pas saoule. Nous étions nus tous les deux, l'un en face de l'autre. J'avais trop envie de lui. J'en crevais, je mouillais comme une folle. Il s'est collé contre moi, il bandait très, très fort. Tout ce que j'ai fait alors, c'est que je l'ai aidé à me pénétrer.

Voilà, il s'est encore passée des choses après cela, mais tout ce que je peux vous dire, c'est que l'on s'aime très, très fort tous les deux, et qu'on vit cela très bien. Quand son père n'est pas la, j'aime le rejoindre dans son lit qui est assez grand pour nous deux. On fait l'amour comme des sauvages et je n'ai jamais vécu un tel amour avec une telle intensité, une telle complicité.

Il est temps, pour moi, de vous laisser. Je suis contente d'avoir pu parler de cela à quelqu'un, enfin, d'avoir pu écrire cela. Car, il va de soi que personne n'est au courant dans notre entourage.

Bisous a tous.

Carla

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