C’est vrai que je suis jolie, avec un corps superbe, fait pour le sexe. J’ai tendance à me laisser embarquer facilement, pourvu que j’aie une paire de verres dans le nez.
Il n’est pas rare que mon mari ne me rattrape au dernier moment.
A une fête, alors que mon mari était occupé au bar, un de ces potes m’a embraquée. Il m’a prise en levrette sur un banc. Quelle bite il avait ce salaud, oh putain…et il savait s’en servir J’ai eu un orgasme terrible. Puis il s’est copieusement vidé les couilles dans ma bouche. J’ai tout avalé.
Une autre fois, à la fête du village, un homme, un super canon, m’a pris par la taille, m’a murmuré quelques mots coquins, et m’a emmenée derrière une haie. Heureusement que mon mari l’a vu. Il m’a suivi juste au moment ou je commençais à le sucer. Mais le mec m’a promis qu’il passerait chez moi.
Un jour, alors que j’avais complètement zappé, il s’est pointé à la villa. J’étais en train de bronzer, entièrement nue, au bord de la piscine. Il s’approche de moi, et, ni une ni deux, commence à me caresser les seins. Je fais mine de résister pour la forme, mais ne peux rien quand sa main glisse entre mes cuisses. Je sens le désir monter en moi.
Il a des doigts de fées. Quel salaud…comme il doigte mon clito, comme il me branle la chatte. J’atteins l’orgasme en à peine trois minutes. Là, j’aurai du le laisser partir. Au contraire, je le prends par le bras, et l’entraine à l’arrière la maison, à l’abri des regards indiscrets. Sans un mot, je m’agenouille devant lui, sors son énorme bite, et commence à lui tailler une pipe.
Machinalement, j’écarte les jambes, caresse ma chatte pleine de mouille, doigte mon petit bouton. Prise par mes vicieuses caresses, je ne me rends pas compte que mon bel inconnu, vide ses couilles dans ma bouche.
Prise par l’excitation, je n’entends pas l’arrivée de mon mari, sorti plus tôt du bureau. Il me surprend en flagrant délit, juste au moment où j’étais en train d’avaler la semence de mon membré inconnu, et lui nettoyer le gland.
Mon époux est fou de rage.
Suite à ça, quelques jours plus tard, il me propose deux solutions. Le divorce, ou que je devienne sa pute.
Avec lui, j’ai un toit, la sécurité financière. J’opte pour la deuxième proposition.
C’est là que ma soumission commence.
Un jour, en rentrant du bureau, mon mari arrive avec un petit paquet.
Je lui demande si c’est pour moi. Mais bien sur me répond-il. Ouvres-le.
J’ouvre le cadeau, et là, surprise, je découvre un ensemble fait d’une minuscule jupe, et d’un petit haut qui ne doit pas cacher grand-chose de mes seins.
-Mais…mon chéri, tu veux que je porte çà ? On va voir ma petite chatte…ah, j’ai
compris, c’est pour nos petites soirées câlines…petit vicieux va…tiens, on frappe. Je vais passer une tenue plus descente.
-Non, répond mon mari, ça ira très bien comme ça.
Je me dirige vers la porte, l’ouvre. Je me trouve nez à nez avec Myriam, ma voisine, avec qui j’ai eu une violente altercation, il y a quelques jours.
-Est-ce que vous pouvez me dépanner en sel.
-Et puis quoi encore, conasse…casses toi.
-Laisses la entrer, dit mon mari, invites la à prendre le café.
-C’est gentil, répond la voisine en me frôlant le bout des seins.
Sur invitation de mon mari, elle s’installe sur le canapé. Je m’approche, sert le café sur la table basse du salon. Ce geste a pour effet de faire remonter ma courte jupe sur mes fesses, dévoilant mon anatomie. Soudain, je sens une main se faufiler entre mes cuisses. Je me retourne illico, envoie une gifle à ma voisine. Un geste vif, elle bloque le poignet dans le dos, et me couche en travers d’elle. Mon mari, impassible, ne bronche pas…j’ai compris ou il veut en venir, me punir pour mes écarts de conduites.
D’une pression de sa main, Myriam me fait comprendre d’écarter les jambes. Les doigts parcourent ma fente, titille mon clitoris. Ma petite chatte est entièrement offerte à Myriam. Elle n’a plu qu’à s’amuser avec…et elle ne s’en prive pas.
Après de brèves mais perverses caresses, je trouve la situation très désagréable. Myriam est une experte. Elle s’arrête quand elle sent que je vais jouir, elle retarde l’échéance, pour que l’orgasme soit plus violent. Elle me fait hurler de plaisir devant mon mari.
-Tu vois, dit-elle, la dernière fois qu’on s’est disputées, je voulais te mettre une rouste, te mettre toute nue devant les locataires. Je me serai amusée avec ta chatte, t’aurai faite jouir, si le concierge n’était pas venu te sauver…et t’aurais aimé…hein que t’aimes salope? Je vais te mettre un doigt dans le cul, tout en te branlant le clito, tu veux…dis que tu veux, que ton mari l’entende.
-Oui…je veux…
-Je veux quoi ?
-Que tu me mettes un doigt dans le cul, pendant que tu branles mon petit bouton.
-Et que j’ai envie de me faire gouiner par ma voisine, et qu’elle pourra s’amuser avec ma petite chatte quand elle voudra…allez, on t’écoute avec ton mari.
-Et que j’ai envie de me faire gouiner par ma voisine, et qu’elle pourra s’amuser avec ma petite chatte quand elle voudra…
-Parfait, on va au lit maintenant…dis bonne nuit à ton mari, et fais lui voir comme ta chatte est mouillée.
-Mon dieu, mais qui t’a fait ça, ironise mon mari.
-C’est elle, c’était bon tu sais…elle veut passer la nuit avec moi…
-C’est désir sont des ordres ma chérie, tu lui appartiens maintenant, tu dois lui obéir.
La nuit à été torride. Mon époux a du m’entendre crier de plaisir. Je ne sais pas combien de fois j’ai atteint l’orgasme. Elle m’a branlé la chatte, le clito, le petit trou. On s’est bouffé la chatte mutuellement. Je suis même parvenu à la faire jouir. J’ai passé une nuit merveilleuse, avec une femme exceptionnelle, qui m’a fait connaitre l’amour lesbien. Il me tarde de la revoir et recommencer.
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