La gendarmette

Récit érotique écrit par mazaudier le 20-04-2022
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Catégorie Infidélité

Il est vingt deux heures, quand la patrouille reçoit un message, lui signalant une altercation entre jeunes, dans les quartiers bas de la ville.

La patrouille est composé de Max, chef du groupe de Rudy, Patrick, et de Lisa, récemment mutée dans la brigade.

Une fois sur place, ils interviennent pour séparer une bagarre qui commençait à dégénérer. Il est clair que le quartier, n’est pas des plus accueillant. Bien évidemment, les insultes fusent, avec tout les noms d’oiseaux, dont bénéficie la police, et qui s’adressent à Max.

« On va enculer ta collègue...puis ta femme...fa fille...».

Bref, tout le répertoire de la jeunesse délinquante.

Voilà que par derrière, Rudy prend un coup de barre. D’un bond, Lisa par à le poursuite du voyou, qui s’engouffre dans un parking faiblement éclairé.

Aussitôt, Max, le chef de brigade la rappelle.

Le problème une fois réglé, la patrouille rentre à la caserne. La blessure de Rudy n’est que superficielle.

Max convoque Lisa dans son bureau, pour la réprimander.

Il lui fait la remontrance sur ce qu’elle a fait, que c’est très dangereux de partir seule après un suspect. Il lui explique que sa prédécesseures, s’était faite agresser dans les mêmes circonstances. qu’ ils n’avaient pu intervenir.

- Et que c’est-il passé?

- Ils étaient trois. Ils l’ont emmenées dans un local, ou l’on avait aucun accès, Et rien pour y accéder. Pas de bélier, pas d’échelle...rien. On était figés, impuissant. On entendait tout...les plaintes...les râles...tout.

- La pauvre, elle a dû passer une mauvaise nuit.

- Le lendemain, en tête à tête, elle m’a raconté sa nuit. Qu’il n’avaient pas arrêtés de la faire jouir, une dizaine de fois...qu’il l’avaient prise dans toute les positions, par tout les trous, qu’ils l’avaient sodomisées, qu’il l’avaient obligé à leur tailler des pipes, de tout avaler. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais pris autant de plaisir, que cette nuit là.

Lisa est scotchée par ce récit, mais aussi par l’attitude de la policière, qui, en plus de se faire agresser, avoue y avoir pris du plaisir.

- Elle ne s’est même pas défendue ?

- Non...elle a dit que si elle s’était défendue, elle se serait faite violer, et que si elle se laissait faire, elle se faisait baiser, ce qui revenait au même, mais en moins violent. En fait, elle a dit qu’elle avait pris du plaisir, parce qu’elle avait participé.

- Ben dis dont...et ou est-elle maintenant.

- Elle a demandé sa mutation, et c’est toi qui la remplace.

- De toute façon, je reconnaîtrais le gars, et le coincerais.

Le lendemain, Max prend le café avec Lisa.

- Alors...bien dormis, demande-t-il.

- Pas trop...j’ai pensé à ce que vous m’avez raconté...j’étais toute excitée...j’ai failli jouir. Je voulais vous appeler.

- A bon...et pourquoi

- Je ne voulais dormir seule...cette soirée ma traumatisée…

- Et vôtre mari ?

- Mon mari est militaire. Il est parti en mission pour deux mois.

La journée du lendemain est assez calme, que des interventions bénignes. Sauf que Lisa semble reconnaître le jeune voyou d’hier. Elle le voit rentrer dans une vielle bâtisse.

Sans rien dire, elle relève le numéro.

Après sa journée, elle prend sur elle, elle prend sur elle de partir en repérage, en prévision d’une intervention personnelle, dès ce soir.

Le soir, elle enfile un jogging, et va courir du côté de la vielle maison.

Elle aperçoit une faible lumière à l’intérieur. Décidée, elle toque à la porte. C’est un jeune maghrébin, environ vingt cinq ans, assez séduisant, qui lui ouvre.

- Je peux rentrer ?

- Bien sur...je sais pas pourquoi...je sens le flic.

- Vous avez un très bon odorat, répond-elle. Hier soir, il y a en une altercation, et un collègue a pris un coup sur la tête...ça vous dit quelque chose.

- Pas du tout...hier je n’étais pas ici.

- OK...comme il en soit, je vous ai reconnu. Je vais faire un rapport.

- Comme vous voulez...allez bonne nuit...à moins que vous vouliez…

- Un peu de respect s’il vous plaît, sinon je vous colle un outrage à agent.

- Dans ce cas, allez changé de tenue.

Lisa sait que le jeune à raison, mais décide malgré tout de faire son rapport.

Cinq jours plus tard, le jeune maghrébin est convoqué au cu commissariat. Il dit s’appeler Djamel, et pense qu’il s’agit d’une erreur. Effectivement, après une enquête approfondit, il s’avère qu’il n’y est pour rien. Lisa l’a confondu.

Max lui conseille vivement de lui faire des excuses.

Lisa prend son courage à deux mains, et retourne à la vieille demeure. Elle toque, et Djamel, vêtue d’un boxer, lui ouvre.

- Non...fit-il...c’est quoi encore ?

- Rien, répond sèchement Lisa...je viens m’excuser. J’avoue m’être trompée.

- Ah...ben on peut fêter ça alors...bière?

- D’accord, accepte Lisa après un moment d’hésitation.

- Allez, asseyez-vous...je n’ai que le lit à vous offrir.

Si l’extérieur n’est pas attirant, le studio de Djamel par contre, est très bien tenu, pour un homme de son âge. Une kitchenette avec bar, deux tabourets, un clic-clac et quelques rangements.

Après quelques bières, et vu son état, Djamel lui conseille de dormir ici. Un peu dans les vaps, elle accepte.

- Je peux me servir des toilettes.

- Bien sûr...mettez-vous à l’aise.

Djamel se couche, et éteint la lumière pour que Lisa ne se sente pas gênée. Au matin, Lisa se retourne dans le lit, et pose involontairement sa main, sur le torse de Djamel.

- Hum, fait-elle à moitié endormi…

Puis la main s’insinue plus bas. Djamel pense sue la gendarmette rêve, mais ne fait rien pour la repousser. Mieux, par un déhanchement, il parvient à se débarrasser de son boxer. Djamel à l’érection du matin, la bite bien dure, bien tendue, et il ne peut rien contre ça, si ce n’est se laisser faire.

Lisa retire complètement le drad, et se penche entre les cuisses du jeune homme. Elle décalotte la queue, et la prend en bouche. Djamel lui caresse gentiment les cheveux. Mais il est difficile de résister à une telle fellation, c’est pourquoi li ne peut résister au désir qui monte à lui, et encore moins à la sève qui va gicler dans la bouche de la gendarmette, même s’il ne le veut pas...trop tard. Le sperme gicle dans la gore de Lisa, qui en avale une bonne parie, qui se réveille sous peine de s’étouffer.

- Oh mon dieu...qu’ai-je fait...ne me dites pas que je vous ai taillé une pipe.

- Désolé, mais si...et c’était super...vous sucez super bien…

- Il faut que j’y aille...vous pouvez garder ça pour vous. Je voudrais que ça vienne aux oreilles de mon mari...ni à la brigade d’ailleurs.

- Vous inquiétez pas, ce sera nôtre secret. Voulez-vous un petit déjeuner.

- Non merci...je crois que j’ai le ventre plein.

- Si vous passez dans le coin, sachez qu’il y a toujours de la bière au frais. Allez, bonne journée.

Sans un mot, Lisa quitte la maison, et rentre chez elle. C’est sûr qu’elle va être à la bourre. Le temps de se préparer, c’est avec une heure de retard qu’elle se pointe à la brigade.

Max lui demande si ça va, et si elle est passé chez Djamel pour lui présenter ses excuses. Elle dit que oui, même si ça lui avait coûté.

Lisa passe une très mauvaise nuit. Il lui semble sentir encore ce sperme couler dans sa bouche, son goût sur ses lèvres. Elle veut y retourner, pour dire à Djamel que c’était une erreur, qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait.

D’un autre côté, si elle y va, il va pensait quoi. Faudrait pas qu’il se fasse des idées. Que cette incartade lui a finalement plu.

Il lui arrive souvent de patrouiller dans ce secteur, et si elle était seule, elle n’hésiterait pas à cogner à la porte.

La nuit, le récit de sa collègue prise toute la nuit, traverse son esprit. Elle s’imagine être à sa place en train de se faire baiser, sodomiser, se gaver de sperme suite à de mémorables pipes. Elle s’imagine même les supplier de lui en remettre une couche. Puis, c’est moins violemment, c’est dans le vague qu’elle imagine la bite de Djamel coulisser entre ses lèvres, et vider son sperme au fond de sa gorge. Elle juge cette queue de bonne envergure.

De jour en jour, la bite de Djamel la hante. Elle demande conseil à Cécile, sa supérieur. Celle-ci lui dit que tant qu’elle ne mélangera pas sa vie privé, à sa vie professionnelle, on ne pouvait rien lui reprocher. Quant à son mari, c’est à elle de gérer, qu’en aucun cas, la brigade la couvrira.

Elle est quand même rassurée, tout en évitant de trop s’exposer dans le quartier. Alors qu’elle fait son footing près de chez lui, elle décide de lui rendre une visite amicale.

Ce jour là, Djamel n’est pas seul. Un pote était passé le voir pour jouer à la console. En voyant Lisa, il pose la manette et fait comprendre à son pote de les laisser.

- Une bière, propose-t-il.

- Oui...mais qu’une, je fais des conneries après.

- Moi je trouve pas, sourit Djamel.

De plus en plus, la femme de loi sent une forte attirance pour le jeune délinquant, jusqu’à en tomber amoureuse. Djamel aussi n’est pas insensible au charme de la policière, et se dit qu’il ne faudrait pas beaucoup insister pour l’attirer dans son lit. Mais sans être fiché au grand banditisme, son nom apparaît sur les tablettes de la police, et il ne veut pas mettre en péril, l’amitié qui s’installe entre lui et la jeune femme. A sa grande surprise, c’est elle qui fait le premier pas.

- OK...mais si je suis saoule, tu m’héberges pour la nuit., dit-elle.

- Pas de problème, dit-il...mais tu as des habits pour la nuit?

Lisa ne se démonte pas. Elle fait passer le T.shirt par dessus la tête, et fait glisser le bas du survêtement au sol. Elle se trouve entièrement nue, devant le jeune maghrébin.

- Et comme ça...ça va…tu valides…

- Ouah...quel canon reconnaît Djamel…

- Tournes-toi...vilain, je peux utiliser la salle de bains.

- Oui...oui, bien sur.

Lisa reparaît dix minutes après, enveloppée dans une serviette.

Djamel est scotché devant l’insolence beauté de Lisa, et ne peut résister à la prendre dans se bras, avant d’ouvrir le clic-clac.

Lisa retrouve ce qu’elle croyait à jamais perdu. Le sexe, sans retenu, sans taboue, bafouant les interdits. Djamel la pousse dans ses derniers retranchement, lui imposant les positions les plus perverses. En un après-midi, Lisa va jouir plus qu’en deux ans de mariage avec son mari, et aussi connaître ce qu’elle a toujours refusé à son soldat...la sodomie.

« Et oui mon chérie, ta fidèle femme est en train de se faire enculer par la grosse queue d’un beau maghrébin...bien grosse, juste adaptée à mes trous»

L’après-midi est torride, du jamais connu pour la jeune policière, qui, à regret quitte le studio.

Max remarque un léger changement sur sa collègue de brigade. Un jour qu’elle était de repos, il décide d’aller faire une ronde dans le quartier, et après quelques interrogatoires, les langues se délient. Certaines personnes avouent voir souvent la jeune gendarmette rôdait dans le coin.

Justement, pendant qu’ils posent des questions, Lisa est à l’intérieur, en train de jouir dans les bras de son amant.

Pourtant, un soir, elle va commettre sa première erreur, en l’invitant chez elle. Il sont nus sur le canapé, entamant de chauds préliminaires. Soudain, on sonne à la porte. C’est Max, pensant sa collègue seule qui lui rend visite, une bouteille à la main. De la porte, Max reconnaît Djamel, assis sur le canapé. Ils s’excuse, et s’en va. « Et si ça avait été mon mari, pense-t-elle ».

Lisa a eu peur, dit à Djamel qu’elle ne pouvait plus le recevoir. Djamel comprend très bien l’inquiétude de la gendarmette, et que dorénavant, ils se verraient chez lui.

Lisa est soulagé, car Djamel représente tout ce que son mari ne lui a jamais donné...le sexe.

Djamel est au petit soins avec Lisa. Son mari étant toujours absent, elle passe le plus clair de ses nuits chez lui, à se faire baiser comme une salope. C’est d’ailleurs lui qui lui a fait connaître la sodomie, et elle ne peut plus s’en passer.

Plus sa relation durée, plus elle s’adaptait au coutume de Djamel. Elle buvait de la bière, fumait un petit joint à l’occasion. Les tenues vestimentaires n’embarrassaient pas, ils vivaient nus. A n’importe quel moment, elle le poussait sur le clic-clac, le suçait jusqu’à ce qu’il crache dans sa bouche. Puis c’était à son tour, de manger sa petite chatte, de boire sa cyprine.

Ils vivaient une passion intense, faite de jouissances, et d’orgasmes. Elle a tellement était sevrée avec son mari.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Le retour de son mari est imminent. Même si sur sa lettre, il dit qu’il n’est que de passage une quinzaine de jours, qu’il doit repartir.

Lisa est traumatisée à l’idée de se passer de son amant si longtemps. Quant à Djamel, il est clair, il prendra son mal en patience, et attendra.













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