Obscure Découverte: Chapitre I

Récit érotique écrit par Chipie le 18-12-2022
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Catégorie Couple

Obscure Découverte.

 

Chapitre : I

 

 Expérience Bestiale :

 

 

 

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Résumé : Un couple ….Des besoins….Des envies de découvertes….Des pratiques particulières…. Une source insoupçonnée de plaisir….A travers mon histoire, je vous invite à me découvrir, à découvrir mon univers, mes pratiques, mes fantasmes et…….

 

 

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Depuis six mois, je partage la vie de Rudy, mon copain dont je suis follement amoureuse. Avec lui, je me sens femme, je suis épanouie, heureuse et comblée. Je n’hésite pas à me livrer sans fausse pudeur sur mes attentes, mes désirs, mes envies et mes fantasmes. Rudy me permet d’être moi, d’ouvrir mon horizon et mon esprit. Notre complicité, notre complémentarité ne font aucun doute. Nous sommes un couple fusionnel, amoureux et nous l’affichons sans honte. A 22 ans, je peux affirmer que j’ai trouvé l’homme de ma vie qui me fait vibrer de tout mon être.

 

 

 

 

 

 

L’activité professionnelle de Rudy l’oblige à effectuer des déplacements réguliers dans les plus beaux endroits et les plus belles villes du monde afin de couvrir des événements dans l’univers de la mode. A chaque veille de l’un de ses départs, nous avons notre petit rituel, avec une sortie romantique dans notre restaurant fétiche, une ballade sur les quais de Seine puis un dernier verre dans un bar lounge avant notre séparation. Ce soir n’échappe pas à notre règle. Pour être la plus séduisante à ses yeux, j’ai opté pour une robe bustier rouge, un soutien-gorge bandeau framboise, un string framboise en soie et dentelle fine, des bas auto-fixant et des escarpins rouges, le tout orné d’un collier et un bracelet en argent. La soirée est douce, romantique, faite d’œillades langoureuses, de suggestions et de confidences. Tout en me tenant la main droite, mon amoureux se lance à cœur ouvert, sans détour, dans une bien troublante confession.

 

 

 

 

 

 

Avec beaucoup de prévenance, avec les bons mots, il m’avoue que son plaisir lors de nos moments intimes n’est pas à son apogée malgré le fait que je sois une femme entreprenante, épanouie et épanouissante, son plaisir n’est pas satisfait. Immédiatement Rudy me rassure, me conforte que cela ne vient pas de moi mais de lui. Il évoque sans complexe ses pratiques et ses penchants pour le candaulisme, l’échangisme, le partage, la soumission, le bondage, le SM, l’abandon et le lâcher prise totale de sa partenaire à ses désirs, ses envies et ses pulsions. Dans un regard profond d’amour, Rudy me demande que j’entre dans son monde, dans son univers, que je devienne sa soumise. Il m’informe également d’être un membre de l’agence. Une organisation secrète dont les membres triés sur le volet partagent les mêmes goûts, les mêmes valeurs que lui, que la mission première de cette organisation est de former, éduquer avec leurs consentements, des soumises pour leurs soirées privées dont les maîtres-mots sont plaisir, volupté, luxure, lâcher prise, abandon de soi, jouissance, orgasme, pluralité, bisexualité et jeux.

 

 

 

 

 

Il termine l’éloge de ses funestes pratiques perverses en me certifiant que ses sentiments à mon égard ne changeront pas, qu’il m’aime sincèrement et ce quel que soit  ma décision. Abasourdie par ses révélations chocs, je réalise très vite la situation dans laquelle mon couple se trouve. Je prends conscience que même si je lui ai offert mes trois orifices et que je suis sans tabous, son plaisir est incomplet, que ma sexualité est bien fade et sans saveur. Je prends également conscience que le manque qu’il évoque et ce malgré ses sentiments et son amour pour moi est synonyme, sur une échéance à plus ou moins court terme de rupture, chose pour moi inenvisageable. Devant mon manque de réaction et mon silence, Rudy plante son regard dans le mien et communiquons uniquement avec nos yeux.

 

 

 

 

 

Durant le reste du repas, je suis quasiment silencieuse. Je cogite, repense à ses propos, à son refus de me laisser entrer dans la pièce interdite chez lui. Je ressasse chaque mot, chaque phrase, chaque pratique. A mon grand étonnement, l’évocation de sa sombre sexualité éveille en moi une certaine curiosité alors que dans la logique je devrais fuir ce pervers dont le but est de me transformer en une soumise avide de sexe et de pratiques spécifiques.

 

 

 

 

Faisant abstraction de mon état, je me ressaisis et demande à mon homme de me raccompagner chez moi afin que je puisse digérer, avaler sa singulière et particulière demande. Arrivée en bas de mon immeuble, après avoir échangé un baiser, je promets à Rudy de penser sérieusement à sa requête et de mettre à profit son absence pour réfléchir et apporter ma décision à sa sulfureuse  proposition dès son retour. Un dernier bisou, un dernier signe de la main et je franchis la porte d’entrée, grimpe au deuxième étage et me réfugie dans mon studio.

 

 

 

 

 

Après un café serré et une douche apaisante, je me couche nue sous ma couette. Mes pensées sont captivées par ses propos, par l’orientation que prend notre couple, notre avenir. Par manque de sommeil, je saisis mon ordinateur portable et me documente sur ces pratiques qui me sont inconnues. Je fouille, surf sur le net à la recherche de forum de discussion en ligne, de témoignage de soumise, de maître. Mes recherches finissent par aboutir et m’inscris sous un pseudo sur plusieurs sites de discussions.

 

 

 

 

 

Rapidement un homme d’une cinquantaine d’années qui se présente comme étant un maître prend contact avec moi, je lui exprime succinctement ma présence sur le site ainsi que le projet de mon conjoint. Très vite, l’homme me parle de contrat de moralité, de code rouge qui arrête immédiatement la séance en cours, de respect, de confiance, des limites à ne pas franchir, d’instaurer des garde-fous,  des dérives auxquelles je m’expose, des sensations, des émotions que je risque de ressentir, des sensations, de la satisfaction que mon maître va éprouver à me soumettre à le satisfaire.

 

 

 

 

 

Parallèlement, je recueille sur un autre site le témoignage d’une certaine Cassandre fervente pratiquante de la soumission qui se livre sur le plaisir qu’elle prend, qu’elle ressent dans la douleur modérée de ses séances, sur la confiance qu’elle a envers ses maîtres, sur son ouverture d’esprit depuis qu’elle pratique, sur la connaissance de son corps, sur les scénarios mis en œuvre par ses maîtres. Bref pour elle, cette pratique est une source de plaisir, aux orgasmes foudroyants et voluptueux. Sur ce même forum, je prends contact avec une dénommée Sylvie qui m’explique que pour donner un second souffle à son couple, elle pratique l’échangisme. Pour elle comme pour son mari cette pratique permet de vivre leurs fantasmes dans un esprit large, mais me met également en garde sur le fait de bien dissocier sentiment, amour, sexe et plaisir charnel.

 

 

 

 

 

Entre mes cours à la fac, mon emploi de serveuse dans un fast-food et mes soirées à dialoguer avec mes interlocuteurs, je ne vois pas la semaine défiler. Ce n’est que 48 heures avant le retour de Rudy que je supprime mes différents comptes afin de pouvoir me forger ma propre opinion et de donner un avenir ou non à mon couple. Décision prise, la dernière soirée, je la consacre à notifier mes attentes, mes désirs mais également à l’élaboration du code rouge, de mes limites, de mes barrières mais également aux pratiques humiliantes et avilissantes que je refuse catégoriquement pour le bien de ma santé mais également et surtout de ma dignité. Je me relis plusieurs fois et me retrouve toute excitée, émoustillée à l’idée d’annoncer à mon chéri ma volonté de devenir sa soumise, sa chose, son objet. Son retour étant prévu pour le lendemain en milieu de journée, je profite d’une grâce matinée et d’honorer mes rendez-vous afin qu’il retrouve la femme séduisante et sexy qu’il aime que je sois.

 

 

 

 

 

Vers 15h, je suis dans le hall des arrivées de l’aéroport, les portes s’ouvrent et déversent son flot de passagers. Lorsque j’aperçois Rudy, mon cœur s’emballe, partagée entre l’excitation de nos retrouvailles et de mon désir de lui annoncer ma décision. Dès que Rudy franchit la porte, il laisse sa valise cabine et son sac de voyage avec son matériel, se précipite vers moi, m’enlace et m’embrasse. Nos lèvres s’unissent, nos langues se trouvent et tournoient l’une autour de l’autre dans un baiser profond d’amour et de tendresse. Alors qu’il me roule la plus belle pelle de ma vie, il laisse flâner ses mains sur la galbe de ma poitrine, descend le long de mes flancs, arrive sur mes hanches et plaque ses mains sur mes fesses.

 

 

 

 

 

 Le salaud est en manque grave, il palpe, malaxe, me pelote le cul par-dessus le lin léger de ma courte jupe, annonçant sans doute possible la teneur de nos ébats à venir. A force de me peloter sans vergogne mon petit cul rebondi, Rudy expose mes fesses à la vue des passagers qui déambulent dans le terminal. C’est la fin de notre baiser qui met un terme à l’exposition de mes fesses galbées.

 

 

 

 

 

Enfin chez lui, Rudy par de sournois sous-entendus, essaie de me soutirer un début de réponse sur ma position, mon choix. Ce n’est que le lendemain matin après une folle nuit de sexe où ma bouche, mon cul et ma chatte ont été sollicités à plusieurs reprises que je lui octroie un début de piste. Assise en face de mon homme, les seins nus, vêtue d’un string minimaliste, je l’interroge tout en dégustant mon café sur l’après initiation.

 

 

 

 

Comme à son habitude, avec toute sa franchise qui le caractérise, sa sincérité et son honnêteté, Rudy dévoile le concept, la teneur des soirées privées ainsi que la bourse d’échange. La bourse est une discussion entre les maîtres et les maîtresses pour prêter ou échanger le temps d’une soirée, d’une journée, d’un week-end son ou sa disciple pour des missions à caractère sexuel. Bien évidemment, le maître ou la maîtresse propriétaire du ou de la soumise est en droit de refuser si il ou elle juge que cela va à l’encontre des valeurs, de la moralité et de la complicité qui lient le maître et sa soumise. A l’énoncé de ses explications, que je bois avec une certaine délectation, je me projette déjà dans ce genre de missions où je serais le jouet et le centre d’intérêt de mâles en rut. Me reprenant avant que mon trouble perceptible se propage dans ma poitrine et mes tétons, je tends enfin à mon conjoint la chemise cartonnée contenant le précieux sésame de notre futur.

 

 

 

 

 

Lisant avec minutie et précaution le contenu de chaque paragraphe de mon document manuscrit et de ses directives, Rudy me félicite pour mon travail et m’attire sur ses genoux, il me remercie de faire de lui un homme comblé et heureux, m’embrasse avec passion et glisse sa main dans mon string et constate avec bonheur que ma chatte n’est pas restée insensible à ses explications. Il me glisse à l’oreille que mon émoi n’était pas passé inaperçu et que je mérite une punition.

 

 

 

 

 

D’un revers de main, Rudy balaie tasse à café et verre de jus de fruit qui se renversent sur le plan de travail, me soulève et plaque mon buste contre l’îlot central. Maintenue par une de ses mains au niveau de mes omoplates, mes seins, gonflés par ce qui se prépare, sont écrasés et baignent dans le café et jus d’orange frais. Avec son autre main, il arrache mon pauvre string, me force à écarter les jambes avec son genoux et d’un coup sec, sans ménagement, me plante sa longue et épaisse trique au fond du vagin.

 

 

 

 

 

 Sous sa puissante et énergique pénétration, je laisse échapper un long gémissement de plaisir et de satisfaction. Rudy attrape mes poignets et coince d’une main mes bras dans mon dos. Totalement à sa merci, je jubile d’extase quand il se met à me limer la chatte avec une ardente vigueur. C’est la première fois qu’il me prend aussi bestialement, aussi fort, qu’il me baise, qu’il me défonce comme ça, dans cette position. Mais putain de merde, ça me plait, que c’est bon le sexe brutal, sauvage……Il me retourne tellement les ovaires que je sens ma mouille couler sur son glaive qui me transperce, qui me transporte dans un univers inconnu.

 

 

 

 

 

De sa main libre, tout en me prenant avec force, Rudy me claque vigoureusement la fesse droite, une deux puis trois claques dosées s’abattent sur mon cul. Cette impromptue fessée me propulse dans un état d’excitation hors norme, la douleur cuisante des claques se transforme en plaisir. La boule de feu qui ravage mon intimité se propage dans mes reins, dans ma poitrine. A chaque claque que je prends sur le cul, mes gémissements s’accentuent, je cris mon plaisir à être ainsi traitée, je l’incite, le provoque, je veux qu’il se lâche et me prenne comme une bonne chienne bien salope.

 

 

 

 

 

Rudy s’immobilise au fond de mon vagin.  Le contact de ses cuisses contre mes fesses me submerge d’émotion. Bien planté en moi, le salaud attrape un torchon, le roule et entrave mes poignets dans mon dos. Les deux mains libres, mon homme s’agrippe à mes hanches, se retire presque entièrement de mon vagin, ne laissant en moi que son gland et en même temps qu’il m’embroche d’une seule poussée énergique, il claque de ses mains puissantes mes fesses.

 

 

 

 

 

Rudy recommence deux puis trois fois son diabolique traitement, je sens mon cul rougir, il brûle, pique, mais déverse en moi un plaisir indescriptible, ses pénétrations sèches et brutales propulsent sa queue un peu plus loin en moi à chaque poussée. Je deviens folle, hystérique, je gémis, halète comme une diablesse, j’en veux encore et encore, je veux, je désire qu’il aille encore plus fort, plus loin en moi, qu’il me défonce, qu’il me déchire la chatte.

 

 

 

 

 

Pour lui faire comprendre, j’ondule ma croupe, vais au-devant de ses coups de bite. Afin d’accentuer mon désir, ma volonté, je contracte à plusieurs reprises mes muscles vaginaux autour de sa queue. Je l’emprisonne ainsi, afin de sentir plus intensément son glaive me pourfendre le vagin. Le bougre comprend très vite mes intentions, saisissant mes épaules de ses mains puissantes, il coulisse puissamment en moi, chaque coup de bite que je prends, que je reçois me fait lâcher prise.

 

 

 

Je crie, hurle mon plaisir, il me baise sans retenue, défonce ma chatte avec frénésie. Je fonds, coule comme une fontaine sur son sexe. Hors de contrôle, Rudy empoigne mes cheveux et tire en arrière ma forçant ainsi à me cambrer encore plus. Son rythme et sa cadence me propulsent vers une jouissance inouïe, mon ventre se creuse, ma respiration est anarchique, mes jambes flageolent, je tremble de tout mon corps, ma vue se brouille, je perds mes sens, mes repères. C’est une délicieuse torture qui me renverse, qui s’empare de moi.

 

 

 

Contre toute attente, mon homme se retire de mon antre, laissant un vide en moi et une énorme frustration au goût d’inachevé, libère mes poignets, me retourne, m’installe  sur le dos, les fesses au bord du plateau de l’îlot. Croyant fermement à une belle pénétration de sa part, j’écarte largement mes cuisses en guise d’offrande à mon tortionnaire. Devant mon impatience, mon amant fou change son plan d’action et avec un rictus pervers au coin des lèvres, projette sa main sur mon clitoris dardé.

 

 


 

Sans demi-mesure, il astique, de droite à gauche, de haut en bas, avec plus ou moins de pression, en dessinant des petits cercles,  mon petit bouton magique. Sa divine masturbation sur mon clitoris me laisse sans voix. Je soupire sans cesse, me tords, me contorsionne sous la déferlante du plaisir qui me dévore le ventre. L’onde de choc se propage dans ma poitrine que je saisis à pleine main. Je malaxe, tripote sans vergogne mes seins sous le regard lubrique et médusé de mon conjoint.

 

 

 

 

Rudy s’active tellement sur mon bourgeon que j’expulse trois jets de cyprine qui inonde mes cuisses, trempe son bas-ventre et sa queue. Sous l’effet extasiant de cette jouissance, sans me laisser le moindre répit, mon amour saisit mes jambes et les pose sur ses épaules. Désireux de jouer avec mon envie d’être prise et souillée, Il insère son sexe bandé sur mon sillon vulvaire et se branle entre mes lèvres vaginales en s’assurant que son gland bute contre mon clitoris en fusion.

 

 

 

 

Toute fiévreuse, je l’implore du regard de me prendre, de me posséder de toute sa virilité. Au contact de son gland contre mon intimité, je suis prise de frissons incontrôlables, je sens mon cœur cogner dans ma poitrine, mes tempes bourdonnées. Son gland positionné à l’entrée de mon sexe, Rudy pousse lentement son mandrin en moi, petit à petit, je sens ma chatte s’ouvrir et avaler centimètres par centimètres son engin qui me semble plus volumineux que d’habitude.

 

 

 

 

L’amour de ma vie me pénètre avec une infinie douceur, excitant, titillant la totalité des terminaisons nerveuses de mon vagin. Entièrement prise, possédée jusqu’à la garde, il entame un doux et langoureux va-et-vient. Il profite de mon antre brûlant, se délecte de mes réactions, analyse les soubresauts de mon corps. Agrippé fermement à mes cuisses, Rudy coulisse en moi avec aisance, il me lime avec passion et amour. Je sens sa queue qui enfle encore et encore, je suis pleine de lui, comblée, en extase permanente sous la quintessence de son vît.

 

 

 

 

Lentement, mon amant accélère son rythme, ses coups de reins deviennent plus puissants, plus fort, mes seins ballotent au rythme de ses mouvements, mes tétons pointent avec une outrance folle. Nous gémissons ensemble, le plaisir commun nous porte vers une délivrance totale. Rudy souffle comme une bête fauve, gémis sans cesse, halète comme un forcené, il se déchaine en moi, bute contre mon utérus, il m’arrache des cris de plaisir. Nous savons que le point de non-retour est atteint, que notre jouissance est imminente.

 

 

 

 

Dans un dernier sursaut de lucidité, avant que je ne sombre définitivement dans les abysses d’un orgasme foudroyant, je contracte et décontracte mes muscles internes, je le branle ainsi, plus que de raison, désireuse de recevoir en moi sa jouissance, sa délivrance, je ne lâche pas ma proie. Sous l’effet de cette caresse qu’il affectionne tant, Rudy abdique. Il se contracte, rejette sa tête en arrière, me plante sa trique dans un dernier coup de rein sec et violent au fond du vagin et dans un cri rauque déverse en moi une copieuse et violente éjaculation qui déclenche mon orgasme.

 

 

 

Je sens ses puissants jets de foutre inonder, tapisser le fond de mon vagin. A peine son éjaculation terminée, Rudy se retire. A demi-consciente, j’écarte avec mes mains ma chatte et récupère le sperme qui s’écoule avec mes doigts et porte le tout à ma bouche, je dévore son jus présent sur mes doigts, je me régale de son nectar crémeux. Devant mon décadent spectacle, il récupère à son tour le foutre qui reflue de mon antre et badigeonne mes cuisses, mes lèvres vaginales et mon clitoris de sa crème blanche.

 

 

 

Pervers jusqu’au bout, l’homme que j’aime force à m’agenouiller et présente son sexe à ma bouche. Sans sourciller, j’engouffre le monstre de chair pour récolter et avaler les dernières gouttes de nectar qui perlent de son ogive. Alors que je me délecte des derniers soubresauts de son sexe, je sens ma chatte recracher le surplus de semence qui tombe sur le carrelage de la cuisine. Les seins et dos souillés de café et jus de fruit, la chatte dégoulinante de sperme, je me relève difficilement, plaque ma main contre ma vulve maculée de foutre et file sous la douche la tête encore toute embuée par le monstrueux orgasme qui vient de me terrasser.

 

 



A suivre……



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