J'ai avoué mon infidélité

Récit érotique écrit par mazaudier le 23-02-2024
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Catégorie Infidélité

Il est dix heures en ce samedi, quand un jeune garçon m’apporte une enveloppe à bulle. Je l’ouvre et y trouve une clé USB. « Tiens donc, que cela peut-il être ». Je profite que mon épouse soit aller faire des courses avec sa mère pour le visionner dans mon bureau.

Les premières images sont filmées par une caméra extérieure, celle et on peut voir une voiture qui se gare dans un allée. C’est celle de ma femme, et c’est elle qui en sort. Je reconnaît cette maison. C’est celle de Guy, qui vient de magouiller un vote, pour m’évincer de le direction du club. Je me souviens avoir demandé à mon épouse de lui porter les papiers. Du club.

Elle s’approche, sonne à la porte. C’est lui-même qui ouvre, vêtu d’un peignoir. Il doit probablement sortir de la douche. Il invite ma femme à entrer. Quand j’avais demandé à mon épouse d’aller lui porter les papiers qui ouvraient ses droits, je ne lui avais pas demandé d’y aller avec un tenue sexy. Là, elle était vêtue d’une courte jupe, d’un chemisier, et des escarpins de huit centimètres. En plus, on devinait l’absence de soutien-gorge.

Une fois à l’intérieur, ce sont d’autre caméra qui prenait le relais.

- Tiens Carole...devine qui est là...Flore...je te rappelle ma chérie.

Je t’en prie, Flore, rentre. Quelle agréable surprise. J’étais au téléphone avec ma femme.

Guy ferme la porte, l’invite à regagner le salon. Je la sens d’un coup décontenancée devant lui. C’est vrai qu’il est très séduisant, et je comprends que les femmes puissent succomber à ses charmes. Si ma femme n’étais pas là, pour régler un problème, peut-être se serait-elle laisser séduire.

- Que me vaut l’honneur de ta visite ? Demande-t-il.

- C’est quoi ce sale coup que tu as fais à mon mari.

- Attends, lui dit-il, il faut qu’il envoie sa femme pour régler ses problèmes. J’ai toujours dis que c’était un incapable. J’espère qu’il n’est pas comme ça au lit !

- Arrêtes...il me convient parfaitement au lit...en tous cas, il me satisfait pleinement. Mais je ne vois pas le rapport avec ma visite.

- Allons nous installer au canapé, l’invite-t-il en la prenant par la taille.

Elle repoussa sa main vigoureusement, et et préféra rester debout. Guy s’installe dans le fauteuil, face à elle. Il lui explique que j’étais trop occupé ailleurs, ne pouvais faire du bon travail au club.

Ma femme lui expliquait que ça se discutait, et qu’il n’était pas nécessaire, de magouiller un vote. Il lui répondit qu’il voulait me montrer qu’il pouvait me battre.

- Ouais...en fait, tu voulais l’humilier...c’est ça ?

- J’avoue qu’il y a un peu de ça. Du reste, il n’est pas venu pour fêter mon élection. Il reste du champagne, veux-tu que nous trinquions.

- Quel toupet..quoique, à être là, pourquoi pas.

Il va à la cuisine, et reviens avec une bouteille et deux coupes. Il sert les verres, se lève, s’approche de ma femme, et m’en tend une. Ils sommes face à face, les yeux dans les yeux. Je sens ma femme fasciné par son regard, et je la sens attirée physiquement, par cette virilité hors norme.

Après une gorgée, il prend son verre, le pose sur la table basse. Sans un mot, il s’approche d’elle, la prend par la taille. Cette fois, elle ne le repousse pas. Son visage est près du sien, très près, au point que leurs lèvres se frôlent.

Calmement, il l’allonge sur le canapé. Je reste scotché devant la scène. Il approche sa main, défait un à un les boutons de son chemisier, l’écarte. Les seins tendus de ma femme jaillissent devant ses yeux. Il a un sifflement admiratif en les apercevant.

Il sort la chemise de la jupe, libérant ainsi tout le haut de son corps. Ses mains remontent sur ses flancs, caressent les seins, fait rouler les bouts entre ses doigts. Puis il redescend. J’entends le zip de ma robe, qui glisse lentement sur ses cuisses, jusqu’à se retrouver en string. Un doigt écarter le mince tissu, surfe sur sa chatte. Malgré elle, elle sent une agréable chaleur au creux de son ventre. Deux doigts décalottent son clitoris, tandis qu’un troisième le doigte. C’est à ce moment qu’elle pousse un léger gémissement.

- Que t’arrive-t-il, dit-il en souriant.

- Pas ça...arrêtes, s’il te plaît…laisses-moi partir...

- Pourtant, tu as l’air d’aimer…ton mari te fais jamais çà..

- Arrêtes je te dis..non...il sait pas faire…

- A bon, il sait pas faire ça ? Pourtant ce n’est qu’un doigt. Il a juste à sortir ton petit bouton, et le caresser...comme ça...c’est bon hein ? Tu aimes?

- Bien sur que j’aime…comme toute les femmes aiment qu’on caresse mon clito...

Je vois un large sourire éclairer le visage de Guy. A cet instant, Il est persuadé qu’elle va s’abandonner. De mon côté, je la sens de plus en plus vulnérable, de plus en plus attirer par lui, et je sens le désir monter en elle.

- Arrêtes...s’il te plaît...mon mari ne sait pas que je suis passé te voir.

- A bon...ça veut dire qu’il n’en saura rien, si je te baise.

- Non...déconnes pas...laisses-moi partir.

- T’es sûre, t’as pas une petite envie, pourtant ta chatte est toute mouillée...ça veut dire quoi ?

- Salaud...c’est toi qui la fait mouiller...quand elle est dans cet état, c’est qu’elle a envie qu’on la branle...oh oui...branle là…

- Comme ça…

- Oh oui salaud, comme ça...branle là…

Je suis sidéré de voir mon épouse prise dans la tourmente du plaisir. Elle ne me dérobe pas, au contraire, elle écarte d’avantage pour facilité l’accès à son intimité. Maintenant, mon rival joue avec elle, Il a pris le monopole de son corps. Il caresse sa chatte, insère deux doigts à l’intérieur. Un doigt de l’autre main excite son clitoris, le pincent. Elle tord comme un ver sur le canapé, se cambre sur ces doigts qui la fouillent, et qui l’emmènent à la jouissance.

- C’est bon, hein...oh...c’est quoi que je tiens là ?

- Hum...salaud… tu tiens à m’humilier, comme tu as humilié mon mari...

- Mais pas du tout...je veux que tu me dises...vas-y, dis moi…

-Tu le sais salaud...c’est son clitoris…on mon dieu...je vais jouir...oui, je jouis…

Ma femme atteint un orgasme terrible, hurle de plaisir. Imperturbable, Guy finit d’ôter sa chemise, et son string. Elle se retrouve entièrement nue devant mon pire ennemi.

- Ouah...qu’est-ce que t’es belle. Quelle chance il a ton mari...tu sais quoi, je vais t’offrir un cadeau, dit-il en ouvrant son peignoir.

Putain...comme il est monté. Guy passe une main derrière sa tête, la soulève pour mettre son énorme queue à porté de son visage. Il la passe sur mes lèvres. Elle essaie de l’éviter, de retarder l’échéance, mais d’une simple poussée sur sa nuque, je vois sa bite pénétrer sa bouche, qui se décalotte au passage de ses lèvres.

Elle entame une lente fellation, rythmée par les mains de Guy. C’est pas pour autant que quand il lâche sa tête, elle arrête de le sucer, au contraire, elle appuie ma fellation. Je dois avouer même, qu’elle prend un réel plaisir de sentir cette queue vibrer contre mes joues.

« Non, me dis-je, il va pas oser jouir dans sa bouche »

Soudain, de puissants jets de sperme gicler contre son palais, pour finir sur sa langue. Elle enroule celle-ci autour du gland, pour le nettoyer.

- Enfoiré...qu’est-ce que tu m’a mis...elles étaient pleines tes couilles...ouah…

- Et alors, mon sperme est-il meilleur que celui de ton mari?

- Je sais pas, j’ai jamais goûté le sien…je l’ai jamais sucé...

- Sérieux, je suis le premier...pauvre Marc.

Puis Guy écarte les jambes de Flore, s’encastre entre ses cuisses. Je vois l’énorme gland taquiner son clito. Déjà, de légers soupirs s’échappent d’entre ses lèvres.

- Cochonne, ou insatisfaite, lui demande-t-il.

- Les deux...regarde comme tu m’as écartée…

- C’est pour que tu sentes bien ma queue, quand je te pénètre...tu l’as sens là…

- Comment ne pas la sentir...elle est tellement grosse, tellement bonne.

Guy la saisit par les hanches, l’oblige à me mettre à quatre pattes sur le canapé. Il veut la prendre en levrette, sa position préféré. Je le vois s’installer derrière elle, son gland taquiner sa chatte. Lentement, il la pénètre de son énorme queue. Elle ne peut retenir des gémissements de plaisir, quand sa bite coulisse dans son ventre. Guy lui donne énormément de plaisir, n’en finit pas de la faire jouir. Elle n’a jamais connu ça avec moi, pourtant très coquin au lit. Mais Guy a cette chose en plus qui rend folle les femmes...ses mensurations déjà, et la façon dont ses mains s’égarent, pour caresser les parties intimes de son corps, et je vous passe les coups de langues sur son petit bouton, qui lui procure un intense plaisir.

Il se retire, frotte son gland sur son petit trou. Elle sursaute, se cramponne au dossier du canapé. Elle sent son petit orifice se dilater sous la poussée de l’énorme bite. Il tire sur ses hanches pour mieux la sodomiser. Pendant qu’il l’encule, Guy branle sa chatte, doigte son clitoris. Il la rend folle, joue avec elle, prend plaisir à la voir jouir, à l’entendre crier. Les coups de queue s’accélère aux rythme de ses râles.

- Tiens, prends ça...ouah...que c’est bon d’enculer la femme de son rival…

Puis, c’est la déferlante. La semence épaisse gicle dans sa chatte, inlassablement.

Soudain, son portable sonne. Guy met le haut parleur. Putain, elle reconnais la voix.

« Oui Marc...les papiers...tu les feras passer par te femme ? OK...tchao…»

- Tu as entendu. Quel naïf. s’il apprenait que sa femme était en train de le faire cocu, en se faisait enculer par celui qui l’a viré du club.

- Salaud...il dirait que je suis une salope. Mais c’est vrai, non seulement tu le vires du club, mais en plus tu baises sa femme.

- Et alors, t’as pas aimé...pourtant tu criais quand tu jouissais.

- Oh que si j’ai aimé...tu m’as fait jouir...j’ai eu trois orgasmes...

Puis il s’écroule sur mon dos, embrasse mon cou.

Guy me demande si j’en veux encore. C’est pas l’envie qui m’en manque, mais je lui dis que je dois partir, que Marc va rentrer du travail. J’aimerais être chez moi quand il rentre. Sous la douche, Guy me demande de lui tailler une pipe, ce que je fais avec plaisir. Évidemment, j’avale tout, et nettoie le sperme sur toute la longueur de sa queue.

Je quitte la villa vers dix sept heures, après un torride baiser.

Pendant tout le trajet, je pense à le bêtise que je viens de faire.

Je suis arrivée chez Guy, il était quatorze heure, j’en repart trois heures plus tard, après m’être faite baiser, par le pire ennemi de mon mari.

Pire, je me suis faite sodomiser, lui ai taillé une pipe, avalé son sperme. Faveurs que j’ai toujours refusées à Marc.

J’ai honte de cette ignoble tromperie. Marc ne méritait pas ça...quelle attitude allais-je avoir face à lui. Je l’ai trompé, et ça a du laisser des traces. J’espère qu’il ne va pas s’apercevoir des cernes qui gonflent mes yeux.

A peine arrivé chez moi, que Marc se gare devant le portail.

- Alors ma chérie, dit-il en m’embrassant, as-tu passé un bon après-midi ?

- Rien de spécial mon amour, je suis passé dire bonjour à ma mère.

- Au fait, j’ai appelé ce connard de Guy. Je lui ai dit que tu lui porterais les papiers du club cette semaine. Ça te déranges pas? Moi je veux plus le voir.

- C’est pas que ça m’enchante, mais s’il le faut. Je dois retourner chez ma mère demain, je peux y passer si tu veux.

- Parfait, dit mon mari, tout sera prêt.

Si ça, ce n’est pas mettre le loup dans la bergerie...c’est quoi.

Il est quinze heures quand je sonne chez Guy. Il m’ouvre, et me prends dans ses bras. Nos lèvres se rejoignent dans un sulfureux baiser. Pendant les trois heures passées aux lit, je m’offre entièrement, hurle de plaisir quand j’atteins l’orgasme. Et ils défilent à une cadence infernale. Je mords dans sa chair, crie son nom, oubliant celui de mon mari. Je réponds à toutes les questions humiliantes qu’il pose sur Marc, surtout concernant ses mensurations, qu’il tient à comparer..

Je rentre chez moi, il est dix huit heures.

Ce soir là, Marc rentre du bureau, il est vingt deux heures. Après une bonne douche, il me rejoint au lit, se glisse sous les draps. Je suis entièrement nue.

- Alors mon amour, dit-il, tu as passé une bonne journée. As-tu déposé les papier chez l’autre enfoiré.

- Comme prévu chéri...je les lui remis sur pas de la porte, et suis parti de suite.

- Et c’est tout…

- Puis je suis allé chez ma mère.

- Pourtant, j’ai appelé ta mère...elle ma dit qu’elle ne t’avais pas vu depuis la semaine dernière. Par contre, on t’a vu arrivé chez Guy à quatorze heures, et en repartir à dix sept heures. Tu peux m’expliquer.

- Heu, bafouillais-je...mais qui t’a dit ça...il s’est trompé…il a dû confondre...

- Flore...je t’en prie, ne me prends pour un con...dis moi ce qui s’est passé.

Je suis coincée. Quelqu’un ma vu. Je pense aux maçon qui faisaient les façades en face la villa de Guy. Je ne vois que ça, l’un d’eux doit connaître mon mari. Prise en flagrant délit, je n’ai d’autre solution que d‘avouer.

- J’ai fait une énorme bêtise, et je sais que tu ne me pardonneras jamais

- Tu connais le proverbe. Faute avouée, faute à moitié pardonnée.

- J’ai passé l’après-midi chez Guy…

- A bon...et vous avez fait quoi?

- Tu veux vraiment savoir, dis-je...j’ai couché avec lui.

Marc se retourne un moment, accuse le coup. Après un temps de réflexion, il revient à la charge, veux connaître tout les détails.

- Pourquoi as-tu couché avec lui.

- Je sais pas... j’ai eu subitement envie de lui...j’ai été attirée physiquement...

- Racontes-moi...je veux tout savoir, dans les moindre détails.

On sait qu’une femme infidèle, fait avec son amant, des choses, qu’elle ne fait pas à son mari.

- Me demandes pas ça mon chéri...tu risques d’avoir mal.

- Je veux savoir...est-ce que tu l’as sucé?

La question qui tue, comme bien d’autres, j’en ai bien peur. Comment va-t-il réagir quand je vais lui dire que j’ai taillé une pipe à celui qui l’a viré du club. Tant pis…

- Oui, je lui ai taillé une pipe...et j’ai tout avalé…

- Et est-ce qu’il t’a sodomisée ?

- Oui...il m’a enculée...plusieurs fois.

- Salope...tu as accordé à ce fumier, tous ce que tu m’as toujours refusé.

Combien de fois t’a-t-il fait jouir.

- J’ai pas compté...mais bien sept ou huit fois…

Marc se tourne dans tout les sens, dans le lit. Se lève pour aller chercher un verre d’eau à la cuisine, puis se recouche. Je le sens réfléchir. Peut-être à des questions plus précises qu’il veut me poser.

- Est-ce un bon coup au lit ?

- Si tu savais...quel vicieux, comme il s’est amusé avec moi. Il m’a prise dans toutes les positions, par tous les trous...

- Est-ce qu’il est mieux monté que moi ?

- Pourquoi cette question...veux-tu réellement le savoir.

- Oui...j’y tiens.

- Je veux pas t’humilier, mais oui...il est mieux monté que toi. Bien plus longue, et bien plus épaisse...désolé de te dire ça.

Mon mari reste très calme, même s’il préfère prendre la chambre d’amis. Mais je m’aperçois que cette tromperie, l’excite plus que, ne le rend jaloux, et malgré tout ça, nous parvenons à avoir des relations normales..

Bizarrement, il ne m’interdit pas de revoir Guy, dont ma relation avec lui, va durer six mois, avant qu’il ne soit muté dans le centre de la France. C’est a cet époque que j’apprends que je suis enceinte.

Mais je vous rassure, l’enfant que je portais, était bien de Marc, mon mari.







































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23-02-2024 0 1153

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