Et si tu baisais avec un autre.

Récit érotique écrit par mazaudier le 01-01-2025
Récit érotique lu 403 fois
Catégorie Infidélité

Quand on est une jeune fille, on se fait plein de plans quant à sa vie future. Un boulot que l’on adore, une belle maison et surtout une jolie petite famille.

Du moins, c’était ma vision à moi pour mon avenir et à vrai dire j’ai réussi à tout avoir, à force de travail.

Je suis directrice d’une agence immobilière, ma maison est magnifique, et j’ai eu deux beaux enfants avec Vivian, mon mari depuis quinze ans.

Mais voilà, si aux premiers abords tout paraît rose, la réalité en est toute autre…

J’ai trente huit ans et pour être honnête, je me sens plus vieille que ça. Même si j’ai tout pour être heureuse, il me manque quelque chose et je pense que cela vient de mon couple, essentiellement de moi, paraît-il.

Mon chéri est vraiment un papa fabuleux et un mari aimant, mais depuis quelques temps, il m’accable sur le plan sexuel, il me reproche de ne pas assez me donner, d’être nulle au lit, allant jusqu’à m’humilier devant nos amis..

Pourtant, à nos débuts, nos ébats sexuels étaient comment dire, magiques, mais au fil des années ils sont devenus banals, voire même ennuyeux et ce à mon plus grand désespoir. Désespoir, le mot est peut-être un peu fort.

Mais je ne me sens forcément coupable

il faut savoir que lorsque nous nous sommes rencontrés, j’étais en quelque sorte la plus coquine de notre bande de potes. J’étais celle qu’on aimait emmener dans son lit, qu’on aimait baiser, sodomiser, à tailler des pipes, à tout avaler. J’étais à l’époque, la seule du lycée à accorder ces faveurs aux étudiants.

Et voila qu’à présent, j’ai perdu cette douce folie sexuelle…

J’en ai parlé plusieurs fois avec Estelle, ma meilleure amie qui pour tout dire est assez cash. Du reste, il lui arrivait d’assister à mon humiliation. Cette dernière est célibataire et croque la vie à pleines dents. Je dois avouer que parfois j’envie cette liberté dont elle dispose pour aller voir ailleurs, sans rendre de compte à qui que ce soit.

Lors d’une soirée, elle m’a conseillé de réfléchir à faire un petit tour sur un site de rencontre entre personnes infidèles.

Je ne vous dis pas la tête que j’ai faite quand elle a prononcé le mot « infidèle ».

Ou alors le tromper avec l’homme qu’il déteste le plus....il doit bien y avoir ça dans son entourage ? En effet, j’en connaissais un, pour qui j’avais beaucoup d’affection, et qui plus est, a toujours fantasmé sur moi. Son jeune frère Hervé avec qui il est fâché à mort.

Mais il était inconcevable pour moi, d’avoir une relation avec lui...imaginez...

Après m’être prise la tête avec mon mari au sujet de notre vie de couple, je suis allée passer la nuit chez ma fameuse copine. Cette nuit là, je lui avouais avoir une attirance particulière pour un homme. Quand je lui dis que c’était le frère de mon mari, elle a pratiquement hurlé. « Mais vas-y...vas-y...vas-y...»

Devant son engouement, je me mis à réfléchir, et planchais sur une solution pour le rencontrer. Je connaissais la bar ou il avait l’habitude d’aller. Ma décision était prise.

Je me rendais donc à son bar attitré, et l’aperçus installé à une table avec des potes. Je me suis mise dans un coin discret du bar. J’hésitais encore.

Au bout de quelques minutes, il se leva pour aller à l’étage, ou devait se trouver les toilettes. Il fut surpris de ma voir assise seule à une table.

- Carole, quel hasard, di-il.

Il m’embrassa, s’assit à côté de moi, et m’offrit un verre. Au fur et à mesure que le verre baissait, mes réticences aussi. Il le comprit, passa un bras autour de mon épaule, m’attira à lui et me prit tendrement les lèvres.

Il me dit avoir acheté un cabanon près du canal, et quand il sut que je m’étais disputée avec mon mari, il m’y invitait à y passer la nuit.

Arrivé chez lui, nous avons pris un verre pour détendre l’atmosphère.

Je culpabilisais à l’idée de savoir que j’envisageais de tromper mon mari, mais l’envie était maintenant plus forte que ce sentiment.

Il me proposa de prendre une douche afin d’évacuer les vapeurs d’alcool et de clopes.

Il frappa à la porte de la salle de bains, entra et s’invita sous la douche. J’étais entièrement nue. « Putain...comme t’es belle toi ». Sur ces mots, je me suis complètement lâchée, comme si se libérait une bête enchaînée en moi. Il ôta le peignoir qu’il avait pudiquement passé. S’il me trouvais belle, je pouvais en dire autant sur ses atouts. Le peignoir ouvert libéra une queue au mensurations colossales, rien à voir avec celle de mon mari. Je jubilais déjà de me faire prendre par un tel calibre.

Nous nous sommes alors embrassés, nous caressant mutuellement, la langue de l’un avec celle de l’autre, pendant que l’eau ruisselait sur notre corps.Pendant ce temps, sa main se baladait gentiment sur mon corps, jusqu’à mon entre-jambe. Il me caressa tendrement, ce que j’appréciais particulièrement. Puis il m’enfonça un doigt, puis deux dans la chatte. Tout en poussant des soupirs de plaisir, je tentais d’écarter au mieux mes cuisses afin que ses doigts puissent me pénétrer le plus profondément possible.

Je me suis ensuite accroupie, puis j’ai saisi son sexe qui était aussi dur que du bois. Visuellement, il avait un engin qui dépassait de loin la moyenne. Ma chatte salivait déjà à l’idée de se faire défoncer par cette grosse queue.

Je l’ai pris dans ma bouche afin de la lécher et de la sucer. Je voulais lui montrer que je savais très bien me débrouiller de ce côté, et ses légers gémissements semblaient affirmer que je le pompais comme une professionnelle de la fellation. Il m’invita à me lever, à me retourner, puis à m’appuyer contre la paroi en verre de la douche et à écarter suffisamment mes cuisses. Cela afin que son membre puisse pénétrer mon entre-jambe qui ne pouvait plus attendre.

Je pouvais sentir chaque mouvement qu’il faisait, me procurant un intense plaisir mélangé à une légère douleur. Mais j’aimais trop cette sensation. De sa position, il pouvait me caresser la chatte tout en me pénétrant sauvagement. Je ne pouvais plus retenir mes cris, tellement je prenais du plaisir. Par moment, son autre main se balada sur mes seins, jouant avec mes bouts, les pinçant légèrement afin d’accentuer mon bonheur. Puis, il se retira, me retourna, et me souleva complètement.

Mes jambes sont passées autour de sa taille, laissant ma chatte complètement à la merci de son queue. D’un mouvement de main, il l’y enfonça, me tenant par les fesses. Ses puissantes mains me soulevèrent, puis me firent redescendre lentement sur son sexe. J’étais au bord de l’évanouissement à chaque mouvement. Puis il m'emmena à la chambre, lieu de ses conquètes. Nos lèvres se sont soudées, enroulées, langoureuses, amoureuses.

Nous nous sommes allonger sur le lit. Il a commencé alors à caresser mes seins, fait rouler les bouts saillants entre ses doigts, puis descend vers mon entre jambe. Deux doigts pénétraient ma chatte, déclenchant un plaisir laissé aux oubliettes.

Les minutes passèrent et j’étais de plus en plus excitée par mon beau-frère qui était entrain de fouiller mon intimité. Je me décidais à lui rendre la pareille en lui offrant une belle fellation pour laquelle je mis tout mon savoir faire en application. Il avait l’air totalement conquis, et avait apprécié que j’avale sa semence.

Nos préliminaires conclus, il voulait plus, devenait plus entreprenant, imposait sa supériorité de mâle. Il était temps de passer aux choses plus sérieuses…

J’ai eu droit à différentes positions toutes plus intenses les unes que les autres dont une levrette debout face à un paysage splendide qui donnait sur le canal, même si à vrai dire je m’en foutais un peu. Pour finir notre baise en beauté, il m’a sodomisé comme jamais personne ne l’avait fait. C’était d’une intensité, et d’un plaisir à couper le souffle.

Il était sept heures du matin quand on sortit de la douche. Je fouillais dans mon sac pour récupérer mon maquillage, quand je m’aperçus que de nombreux SMS étaient tombés sur ma messagerie...mon mari.

Il devait être en train de prendre son petit déjeuner. Je lui envoyer un SMS.

« Mon chéri, j’ai passé toute la nuit chez ton frère, à me faire baiser, sodomiser... quel super étalon...quelle endurance, mais surtout, quelle créativité dans l’interdit. Je finis de le sucer sous la douche...oh putain...il se vide encore. Après avoir tout avalé, et lui avoir bien nettoyer le gland avec ma langue, je rentrerai...à toute...»

Après un sulfureux baiser, il était temps pour moi de retourner à ma vie d’épouse et mère de famille les yeux plein d’étoiles suite à cette incartade de pur bonheur.

J’arrivais à la maison, il était huit heures du matin, mon mari était parti au bureau.

Je m’allongeais sur le canapé, et m’assoupissais. J’avais besoin de repos après cette torride nuit de baise.

Mon mari n’a jamais voulu croire à cette histoire, étant persuadé que j’avais passé la nuit chez ma copine. Mais cette nuit restera pour moi un souvenir impérissable.

Depuis, je ne sais pas ce qui s’est passé dans la tête de mon mari, mais j’ai retrouvé celui qui avait su conquérir mon cœur. Lui restait plus qu’à reconquérir ma chatte.




































J'aime 4
01-01-2025 0 403

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par mazaudier

Settings