Comme chaque année à l’ouverture du printemps, la fête foraine s’installe au bord de le rivière qui jouxte la place du village. Il fait une journée superbe, et les jeunes filles en profitent pour sortir leurs toilettes légères, afin de se faire accoster par de beaux jeunes hommes.
Après une petite sieste crapuleuse, nous décidons, mon copain Luc, et moi, d’aller nous amuser avec des potes.
-Tu es prête Mélanie, me dit-il
- Oui mon chéri...
Pour l’occasion, je suis vêtue d’une coutre jupe fleurie, d’un haut légèrement échancrée, et des chaussures à petit talon. Luc, lui, est vêtu d’un bermuda et d’un T. shirt. Nous sommes tous mes deux âgés de vingt quatre ans.
Ce jour là, comme souvent, le beau temps est au rende-vous.
Luc me tient par la taille, saluant du regard, ou la boulangère, ou le boucher, et tant d’autres. Le village est petit, et tout le monde se connaît.
Mon corps, à la silhouette parfaite attire les regards, et fond des jaloux. On aperçoit ma superbe poitrine par delà mon décolleté, ou la pointe des mes seins, dépourvus de soutien-gorge tendent le tissu. Certains aimerait bien faufiler leur main, à la recherche de mes secrets cachés. Mais il y a Luc.
Quoique mon chéri est assez ouvert, et ne verrait pas d’un mauvais œil, si un ou deux de ses potes tentaient de me séduire, et avoir une relation avec eux, avant le mariage.
C’est ce qu’il prétend, mais une fois eu pied du mur, son attitude pourrait changer. De toutes façons, je n’ai jamais eu l’intention de le tromper.
La foire est situé le long d’un petite rivière, qui apporte une petite brise qui s’engouffre sous ma jupe, apportant un petit air frais qui caresse ma chatte, jusqu’à mon clito, par dessus ma culotte.
On marche en amoureux à travers les différentes attractions...là, la grande chenille, ici les autos-tamponneuses, un stand de tirs, etc...etc
Dans un premier temps, je m’arrête devant un stand à bonbons. Nous prenons une pomme rouge, et nous barbouillons les lèvres dans un tendre baiser. Le sucre accentue mon rouge à lèvres, donnant un goût délicieux à ma bouche.
Après une heure de promenade en amoureux, nous rencontrons des potes à mon copain.
- Ohé...Luc, comment va...on allait au grand huit, vous venez ?
- Pas pour moi, dis-je, mais vas-y mon chéri, on se retrouve après.
- D’accord, me répond-il, en m’embrassant...mais attention d’être sage.
Luc et ses potes ont toujours été friands de manèges à sensation fortes. Grand huit, voltigeur, grande tour...alors que je n’aime pas ces manèges, que je trouve dangereux. Gourmande, je préfère, et de loin, les confiseries. Je m’achète une barbe à papa, pendant qu’il est dans les airs avec ses copains.
J’essaie de la manger le plus proprement possible, mais ce n’est pas simple.
Elle finit dans une poubelle, et décide de m’offrir un train fantôme.
La veille, j’avais vu un film à ce sujet. « Le moulin des supplices ». Tout un programme.
Déjà, la femme au guichet donnait le ton. Grosse bagues de voyantes, un bandana, un collier avec une tête de mort en travers du front...effroyable.
En plein dans le thème de l’attraction.
Une fois le train à moitié rempli, nous pénétrons dans le tunnel d’une totale obscurité, des cris de peur et de douleurs, résonnent dans la pièce noire soutenus par des rires sadiques. Nous accédons ensuite, dans la salle des tortures, des mannequins de cires sont torturés, il y a une table d’écartèlement, un pendu...le tout sous des couleurs bleutées et rougeoyante, assez lugubre. J’ai l’impression d’être dans une mauvaise série B italienne.
Dans la pénombre ou domine les toiles d’araignées et les squelettes, un gorille surgit du néant. Il passe de wagon en wagon, faisant rire les garçons, et crier les filles. Voyant que je suis seule dans mon wagonnet, nôtre gorille en profite pour me peloter les seins d’une main, tout en ébouriffants mes cheveux de l’autre. Ses grognements de bêtes me font sourire malgré moi.
Cela semble inciter le primate à aller plus loin. Sa grosse patte en poil synthétique passe sur ma poitrine, et masse mes seins fermes à travers mon petit haut.
Je ressors du « Moulin des Supplices » avec les seins durs, et le bourgeons tendus sous le fin vêtement. Les pupilles dilatées et le cheveux en bataille, je reste scotchée devant le manège, les mains en appuie sur mes genoux.
Je retourne au guichet, demande un autre ticket, ce qui déclenche un sourire à la vielle femme.
Je m’arrange pour me mettre dans le dernier wagonnet, ajustant mes seins sur la barre de sécurité comme pour mieux les lui offrir.
J’en suis tout excitée de retrouver ce gorille vicieux, j’ouvre d’avantage mon décolleté, assez grand, et attend patiemment. King-Kong semble me reconnaître, il se jette sur moi en tirant violemment le petit haut vers le haut, je me retrouve les seins nus et bien relevés par la barre de sécurité. Il commence à me les caresser, la fourrure de ses pattes excite terriblement mes bouts.
Debout face à moi, je le vois ouvrir une fermeture éclaire entre ses cuisses.
De la fourrure bestiale, sors une imposante queue d’humain, bien raide, elle semble pas trop usée par le temps, malgré le côté grisonnant des poils pubiens. En la regardant je me dis qu’elle a dû souvent servir, mais le vieux gorille me sort de mes pensées en poussant ma tête sur son mandrin. Je le prends en bouche, et entame de lents va et vient. Je le suce, mon menton collant du reste de barbe à papa se mélange dans ses poils. Les deux mains dans mes cheveux, il me donne de petits coups rapides dans la bouche pour terminer son affaire au plus vite. Je vois son masque velu tourner de gauche à droite, de peur d’être vu. Je n’aperçois de lui, que ses petits yeux noirs, brillants, et son sexe toujours en érection.
Ses va-et-vient sont de plus en plus saccadés,.
Il continue de jouer son rôle de primate en grognant de terreur. Je ne peux m’empêcher de sourire avec sa queue en bouche. La lumière du jour apparaît au bout du tunnel, nous sommes à quelques mètres de la sortie lorsque je sens sa semence envahir ma bouche endolorie, il ne me laisse même pas le temps de lui vider entièrement les bourses, il se retire d’un coup, laissant partir ses dernières éjaculations dans le vide. Un fin filet blanchâtre vient s’écraser sur ma poitrine.
Juste avant de quitter le wagon, je le vois m’attraper une poignée de cheveux pour s’essuyer son gland, il le presse bien pour en déposer une belle gerbe. Il saute du wagon la queue à l’air, afin de retrouver sa caverne.
J’ai passé un moment de pur plaisir, c’était la première fois que je taillais une pipe, que j’avalais, et j’y trouvais un excellent goût.
Je ressors du train toute étourdie, j’ai son goût de sperme dans la bouche. Je réajuste mon petit haut qui se colle contre mes seins souillés, recoiffe mes cheveux ébouriffés, mes mèches sont engluées de sperme, je m’en sers comme d’un gel pour les remettre en place… Sans penser aux détails, je pars à la recherche de mon copain. Je le trouve toujours avec ses potes, sur le circuit du grand huit. Il me signe « cinq ». Oh putain, encore cinq tours.
J’ai encore du temps...je retourne à la confiserie, achète des sucreries pour lever le goût du sperme de ma bouche.
Je sais que les tours du train fantôme se ressemble, que les scénario sont les même. C’est pourquoi, je me dirigeais au guichet, prendre un autre ticket. Je veux à tout prix, retrouver mon singe.
Soudain, j’entends des bruits et des éclats rire soutenus. Je me retourne, et les vois. Cinq militaires s’amusent à un stand de tirs. On peut lire la joie sur leur visage, l’envie de s’amuser. Ils sont certainement en permission, avant de rejoindre leur corps d’armée. Je suis heureuse de les entendre rires, et leur souhaite beaucoup de chance. Deux jeunes recrues m’aperçoivent, se dirige vers moi en souriant.
- Mademoiselle...venez avec nous...vous nous porterez chance…
- Je ne suis pas une fine tireuse vous savez...mais je veux bien essayer…
- Essayez, insiste un jeune appelé...c’est pas grave si vous loupé.
C’est vraiment pour leur faire plaisir, et leur donner du moral pour leur nouvelle destination. Bien évidemment, les petits canards qui flottaient sur l’eau, flottent toujours.
Ils deviennent de plus en plus joueurs. Il m’entourent, me propose de boire de la vodka à la bouteille. J’en bois une gorgée, ce n’est pas mon truc. Il me font tourner, me passent dans les bras l’un à l’autre.
L’un d’eux, très beau gosse, se détache du groupe, et s’approche de moi.
- Je m’appelle Rémi...On vous a déjà dit que vous étiez très belle.
- Heu...moi, c’est Mélanie….peut-être...on me la dit, dis-je en rougissant.
- Je vous offre un tour de train fantôme, ça vous dit.
- A ouais...j’adore…
- Joël, appelle Rémi, tu montes avec nous ?
- Ouais...je finis et j’arrive.
En effet, sa série de cartouches terminés, le jeune militaire nous rejoint, me prend directement par la taille. Je le repousse gentiment, ne voulant pas que Luc nous voit. Je m’aperçoit que Rémi s’attarde à la caisse, discute avec la caissière. Il doit la prendre par les sentiments, jouer sur son départ pour resquiller des tours gratuits.
Bref, je jette un dernier regard pour voir si je ne vois pas mon copain pour l’inviter à nous rejoindre, car il est extrêmement jaloux. Puis je monte dans le manège, la bras de Joël ayant repris sa place, autour de ma taille. C’est à ce moment que je croise le regard de Luc...mais c’est trop tard, le tour est parti.
A ce moment là, ce n’est pas le singe qui intervient, lui, il a apparemment disparu du circuit...Je sens les mains de Rémi se glisser sous mon ventre, saisir mes bourgeons qu’il fait rouler entre ses doigts. Ce ne sont plus les caresses velus du singe, mais je les trouve, douces, très agréable. Il fait faire un demi-tour à ma tête, et me prend les lèvres. Nos langues un moment se croisent, puis, tout en ôtant mon petit haut, il me tire en arrière et m’assoit sur ses genoux.
Lentement, sa main glisse sous ma jupe, atteint les lisière de ma culotte. Je lui fait les gros yeux, lui rappelant que j’ai un copain. Mais je sens dans son regard, la tristesse d’un départ prochain, peut-être sans retour.
Je décide de laisser faire, et de succomber à ses avances. Je lui prends les lèvres, tandis que d’une main habile, il se débarrasse de ma culotte. Je suis entièrement offerte aux caresses de ce militaire. Je sens ses doigts sur ma chatte parfaitement épilée, courir sur ma fente humide, le fourreau de mon clitoris glisse vers le haut, pour mieux l’extraire.
Le majeur y tourne dessus, me rend folle.
Puis ce sont d’autres doigts qui pénètrent ma chatte, ceux de Joël. Ils sont plus gros, plus courts.
Je passe une main en arrière, et tombe en arrêt devant un sexe énorme, en érection, entièrement décalotté. Rémi me force à incliner le tête, et prendre sa bite en bouche, tandis que Joël glisse la sienne entre ma main. J’ai deux bites rien que pour moi, une que je branle, une que je suce. Ce qui n’empêche leurs mains de s’occuper de moi. Malgré le côté inconfortable, les deux appelés parviennent à insérer leur doigts. Rémi dans ma chatte, Joël dans mon petit trou. Ils rentrent en action simultanément.
Je sens le désir monter en moi, la mouille facilite l’accès à mes orifices, et j’espère atteindre l’orgasme avant la sortie du wagonnet.
Soudain, la wagonnet s’ébranle, et s’arrête en plein milieux de la salle des tortures. La peur m’envahit...mais comprends de suite. Le discussion de Rémi avec la caissière, c’était un deal entre eux. bien sur. Du fait que c’était leur dernier jour de permission, elle voulait à sa manière, leur faire un cadeau. Baiser une jeune future mariée, dans les galeries d’un train fantôme.
Et je ne fut pas déçue.
Rémi cessa de faire coulisser sa queue dans ma bouche, me prit sous les aisselles et me fit passer par dessus la barre de sécurité. La main encrée profondément dans ma chatte, Joël suivit le mouvement en me branlant. Rémi me fit glisser sur son ventre, jusqu’à ce que ma chatte soit à la hauteur de sa bite. C’est moi même qui, d’une simple poussée, m’y empalé dessus.
- Enfoiré, soufflais-je...comme tu me niques...oh oui...Joël, ta queue...je veux ta queue dans ma bouche...oh oui...comme ça...hum….
Au bout de deux minutes, la bite de Joël dans ma bouche, prit une tout autre direction. Elle descendit jusqu’à se trouver au niveau de mon petit trou. Il frottait son gland sur le petit orifice, comme s’il voulait le préparer. Petit à petit, il le pénétra avec douceur, sans douleur, puis se mit en place. Pas un cri, si ce n’est de plaisir. Puis les deux pistons se mirent en action, simultanément, réglé comme métronome. D’un doigt, Joël grattait mon clitoris, tandis que Rémi me caressait les seins durcit par le désir. J’étais prise dans une tourmente de jouissance extrême, comme les deux ou trois orgasmes qui accouchèrent de cette intense relation.
Joël, prêt à jouir remonta sur moi, plaça sa queue au bord de mes lèvres. Je sentais sa queue vibrer quant elle me pénétra. Elle vibrait encore plus quand il vida son abondante semence au fond de ma gorge. Rémi, lui, se contentait de larguer son sperme chaud dans ma chatte.
Je restais pantelante dans le wagonnet, laissant faiblir les derniers spasmes d’un plaisir intense
Les deux militaires me remercièrent de m’être offerte à eux, pour leur dernier jour de liberté. Je leur répondis que tout le plaisir, c’est moi qui l’avait eu. Je les embrassais et partais à la recherche de mon copain.
Je le trouvais...sur le grand huit.
Je décidais de ne pas l’attendre, et me dirigeais vers le train fantôme.
La caissière me fit un grand sourire, et m’offrit mon ticket.
Je n’eus pas attendre longtemps pour voir arriver mon sympathique gorille, à visage découvert cette fois, tout comme son imposante bite qui dépassait de son déguisement. Il me souleva du wagonnet, me prit par la taille, et m’empala sur sa queue. J’atteins un terrible orgasme, mais il ne fut pas le dernier, car la gérante du manège avait consigné l’accès, et nous voilà partis, le chimpanzé et moi pour un tour gratuit.
Je sors en vrac du manège, les jambes flageolantes, du sperme éparpillé sur tout le corps. Au pied des marche, une surprise m’attend. C’est la caissière du train fantôme qui m’offre une énorme peluche que Rémi lui a laissé pour me remercier.
Sans penser aux détails, je retrouve mon copain, devant le stand à confiseries, alors que j’étais en train de manger une pomme rouge…Il rigole aussitôt en me voyant.
- Oh la...la gourmande…mais ça fait combien que tu en manges…
- Deux mon chéri...et une barbe à papa…
- Je vois bien, tu en as plein les cheveux, et le menton.
« Mon pauvre chéri, si tu voyais ou il y en a encore »
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