JAMAIS TROP TARD 5

Récit érotique écrit par portois1954 le 24-12-2019
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Catégorie Couple

Il ne nous fallut pas beaucoup de temps de la gare à chez elle et dans l'habitacle de la voiture flottait une bonne odeur liée sans doute aux phéromones que Gourmande dégageait alors que je lui caressais la nuque, la faisant tressaillir et frissonner. Je n'abusais pas trop de la situation pour ne pas rendre sa conduite dangereuse quand bien même profitant d'une portion de route droite, je pris sa main pour la poser sur la protubérance qui bombait sous mon jean. Enthousiaste, Gourmande me serra la queue fortement, geste qui ne laissait pas de doute à l'envie de la libérer du jean, carcan de tissu inconvenable à la superbe érection qu'elle constatait. A peine le seuil de sa maison franchie, porte refermée à la va vite, je la collais contre le mur et tout en lui prenant sa langue en un baiser violent, je fourrageais sous sa jupe, la retroussant sur ses belles fesses mettant ainsi sa vulve à disposition. Deux de mes doigts dans sa chatte, je pouvais sentir ses parois vaginales gonflées tant elle bandait intérieurement. Son utérus, aussi turgescent, était descendu comme pour bloquer l'entrée de son vagin. Qu'il était bon de palper cette organe interne, muscle strié, tout enrobé de mouille crémeuse. Je l'embrassais partout, plongeant ma langue dans l'échancrure de ses seins, les faisant jaillir hors des bonnets du soutien gorge qui maintenant les maintenaient hauts et fiers. Tétons pointés, le pourtour froncés de ses aréoles se marquait des petits picots de chair dus à la fièvre bienfaitrice qui la gagnait. Portée par la vague du désir, Gourmande, sans même s'en rendre compte, fléchissait ses jambes, ce qui faisait ouvrir sa chatte d'avantage. Je la besognais encore plus profondément de bien plus de doigts et le bruit produit par la course de mes doigts tous poisseux de sa liqueur était bruitage divin d'un sexe en regain de vie. Elle cria quand une première jouissance l'envahit. Tout son corps était pris de tremblements et le mien, en soutien, l'empêcha de s'effondrer sur ses jambes. Elle haletait comme si elle venait de courir un long moment. Je reculais un peu ma tête pour voir ses beaux yeux verts. Ils étaient révélateurs de la forte jouissance qui venait de la transporter. Elle serra ses cuisses comme pour m'indiquer d'en retirer ma main, déboucla ma ceinture, s'impatienta sur le bouton de mon jean et quand elle parvint à le défaire, elle le baissa avec avidité en même temps qume le slip dont je savais être imbibé de ma cyprine, et emboucha ma bite fièrement tendue et douloureuse. Gourmande s'appliquait, courbée en avant, cul magnifiquement exposé, incitatif à souhait et disponible pour une reconnaissance digitale. Ma bite était énorme dans sa bouche et elle me léchait avec application, englobant mes couilles dans sa main à la chaleur bienfaitrice. Mon majeur se fit fureteur et glissa dans sa raie culière, trempée de la mouille de sa chatte. Quand je parvins à son anus, je le sentis se contracter juste un instant, puis il s'ouvrit de lui même comme pour gober mon doigt. Je la pénétrais doucement et je ressentis foule de contractions autour de mon majeur. Son cul mouillait tout autant que sa chatte. Excité par ces sensations, je lui bloquais la nuque et e soulevant un peu sur la pointe des pieds, je violais sa bouche lui faisant avoir un mouvement de recul par l'inconfort provoqué. Elle m'excitait et je voulais le lui démontrer.

Me tenant par la queue, elle m'amena dans son salon aménagée pour l'occasion d'un matelas à même le sol, nid douillet et confortable, qui allait devenir un lieu incontournable de nos joutes amoureuses jusqu'aujourd'hui. Une table basse et un canapé complétait le décor, absolument utile pour se positionner en levrette et pour recevoir tous les jouets et autres choses qui nous serviraient à mieux élaborer et réaliser la conquête de nos corps et des orifices dont ils sont dotés.

Nos physiques de seniors bons vivants, font que nous préférons toujours la position en levrette et comme mon intention était de l'enculer directement avant toute autre pénétration ce soir là, je la commandais de se positionner à quatre pattes. D'instinct, elle écartait ses cuisses pour que je me positionne entre elles. Superbe vision de son œillet froncé quand je lui écarte les fesses. J'adore voir son anus se contracter et se dilater comme s'il était doté d'une vive énergie qui invite à sa prospection. Gourmande gémit quand mon gland qui vient au contact de son trou la rend fébrile. Je fais durer son impatience un moment pour qu'elle soit encore plus réceptive au moment ou je l'enculerai d'un coup jusqu'à coller mon pubis contre ses fesses investies. Pur bonheur que de voir mon mandrin s'enfoncer en elle sans qu'elle émette une plainte, sans qu'elle ne se lasse que je la défonce agrippé à ses hanches. Durée du plaisir, incitation vocale, caresse de son clitoris, de son dos, de ses fesses, frissons et enfin cris de délivrance et multi-contractions de ma bite fichée dans son fondement pour autant de giclées de foutre déversées en elle. Puis resté là, un moment, profiter de la douce texture de nos foutres mélangés avant que de sortir de son cul, à regrets.



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24-12-2019 0 2161

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