J’ai un problème, je suis amoureuse de mon fils. Michael et moi avons  toujours été fusionnels. C’est comme ça depuis sa naissance. Nous sommes  liés par quelque chose d’indéfinissable, un sentiment encore plus fort  que l’amour. A tel point que mon mari est devenu jaloux de cette  relation, et nous avons fini par divorcer. Je n’ai jamais expliqué à  Michael les raisons de notre séparation; j’ai eu peur de trop affecté  mon petit chéri! Michael a aujourd’hui 17 ans, il est devenu un grand et  beau jeune homme. J’ai aussi un autre fils, Nathan, de deux ans moins  âgé. Celui-ci est tout le contraire de son frère: timide et réservé, il  semble mal dans sa peau quand Michael respire la joie de vivre! J’aime  Nathan comme une mère aime son fils, mais avec Michael c’est vraiment  spécial. Il est mon confident, la personne en qui j’ai le plus  confiance, celui qui me console quand je suis triste… Bref, il est mon  âme sœur!
 Cela fait maintenant 5 ans que je suis divorcé. Depuis, j’ai eu des  aventures mais jamais rien de sérieux. Du coup, je me masturbe souvent  le soir dans mon lit. Et à chaque fois que je passe mes doigts sur mon  sexe, une image me vient à l’esprit: mon fils Michael! C’est comme ça.  Je n’y peux rien. Mon fils se glisse dans mes pensées malgré moi chaque  fois que je m’excite. J’ai bien essayé, au début, de ne pas penser à  lui. Rien à faire! J’ai donc fini par l’accepter, et je me masturbe  désormais en pensant à mon fils. Mais forcément, le désir de passer de  la fiction à la réalité est en moi grandissant. J’ai tellement envie de  caresser son corps, de l’embrasser partout, de lui faire du bien à mon  petit chéri. Je me retrouve alors tiraillée entre ce désir et la morale  qui m’empêche de le réaliser. J’ai fini par couper la poire en deux:  j’ai décidé de sucer Michael! De cette manière, je réaliserai mon  fantasme mais comme il ne me pénétrera pas, l’inceste ne sera pas  complet et la morale sera "un peu sauve". Il restait maintenant le  problème de faire accepter cela à mon fils. J’ai donc élaboré un  stratagème.
 Un jour, Michael rentrait du lycée à 15 heures et son frère avait encore  cours jusqu’à 17 heures. Cela nous laissait donc du temps rien que pour  nous deux. J’avais pour ma part posé un RTT. Je mis un décolleté  plongeant, une jupe, et me maquillais pour recevoir mon fils. Quand il  arriva, je demandais comme d’habitude à Michael s’il avait passé une  bonne journée. Il me répondit que oui puis s’assit sur le canapé du  salon.
 -Ho, tu as l’air fatigué mon chéri! dis je. Tu veux que je t’apporte quelque chose à boire?
 Il me demanda un Coca et j’allais le lui chercher à la cuisine. Quand je revins, il me remercie et après avoir bu il ajouta:
 -J’aime bien comme tu es habillée aujourd’hui Maman. Tu es belle.
 Je m’assis à mon tour sur le canapé et embrassa Michael sur la joue.
 -Toi aussi tu es beau mon fils, lui susurrai je à l’oreille.
 Je lui passai une main sur la joue avant de dire:
 -Tu sais à quoi je pense?
 -Non Maman.
 -Je pense à toi quand tu étais bébé.
 Mon fils sourit.
 -C’était géniale cette période, on était tellement proches toi et moi.
 -Mais on est toujours très proches ma petite Maman…
 -Oui je sais mon chéri. Mais à l’époque c’était spécial.
 -Pourquoi? Qu’est-ce qui était spécial.
 -On avait une fusion charnelle. Alors maintenant on discute sans arrêt,  on se confie l’un à l’autre. C’est super, mais c’est pas pareil.
 Michael prit un air interrogateur puis demanda:
 -Comment ça, « une fusion charnelle »… Je ne comprends pas.
 -Ben tu sais, quand je t’allaitais. J’avais vraiment l’impression que  nos deux corps étaient en harmonie. Cette sensation me manque  aujourd’hui.
 -Ah d’accord. Je comprends. Mais tu sais, je ne m’en souviens pas alors…
 -Justement! Tu ne voudrais pas essayer de te souvenir.
 -Comment ça?
 -Ben me téter, comme quand tu étais petit. Je n’ai plus de lait  évidemment, mais ça te feras peut-être remonter des souvenirs. Et moi ça  me feras du bien!
 A l’expression sur le visage de mon fils, je sus qu’il était abasourdi. A cet instant, j’ai eu peur d’être allé trop vite.
 -Mais… Mais Maman… On ne peut pas! finit il par balbutier.
 -Pourquoi pas! Tu l’as bien fait quand tu étais bébé. Quel mal y a-t-il alors?
 Michael ne dit plus rien, mais il baissa les yeux vers mon décolleté.
 -Ils te plaisent, n’est-ce pas? demandai je.
 -Oui bien sûr, mais…
 -Mais quoi? S’ils te plaisent vas y!
 -Mais non Maman! On ne peut pas!
 Devant ce refus, je pris un air triste et dis:
 -Mon chéri, s’il te plaît! C’est très important pour moi.  J’ai en vraiment besoin.
 Il hésita encore un peu, puis finit par accepter:
 -Tu sais que je ne peux rien te refuser ma petite Maman.
 Toute contente, j’enlevai mon décolleté puis mon soutien-gorge.
 -Tes seins sont magnifiques, me complimenta Michael.
 Je me couchais sur le canapé.
 -Viens là mon chéri. Tête moi les seins, comme quand tu étais petit.
 Mon fils se coucha sur moi, la tête au niveau de ma poitrine. Il lécha  mon téton gauche et pris mon sein droit dans sa main. Il mit ensuite mon  sein dans sa bouche. Mon Dieu, que cette sensation était bonne! Michael  aspirait mon mamelon comme s’il voulait faire sortir du lait maternel.   Il tétait, suçait, mordillait gentiment mon sein tout en malaxant  l’autre. J’avais l’impression d’avoir retrouver la fusion de ses  premières années. Il infligea ensuite le même traitement à mon sein  droit; tandis que je poussais des petits gémissements.
 -Ho, mon chéri. C’est bon ce que tu me fais!
 Il continua de plus belle pendant encore quelques minutes, puis je lui  dis de remonter vers moi. Je lui fis un bisou sur la bouche "il se  laissa faire" puis je lui dis:
 -Tu m’as bien sucé les seins. Et pour te remercier, c’est moi qui vais te sucer!   Michael pris son air interloqué mais avant qu’il n’ait pu ouvrir la bouche, j’ajoutai:
 -Je sais que tu en as envie mon petit chéri.
 Cela devait être vrai car il n’objecta pas. Je le fis asseoir sur le  canapé et lui enlevai son T-shirt. Qu’il était beau mon fils torse nu!  Je donnai des baisers à ses pectoraux, puis descendis plus bas. Je lui  enlevai son pantalon, et le fis lever pour enlever son caleçon. Au  moment où je baissai celui-ci, je ne pus m’empêcher de lâcher un petit  cri. J’avais connu plusieurs hommes dans ma vie, mais jamais un aussi  bien membré! Je restai bouche bée quelques secondes, contemplant ce  magnifique objet, tendu devant moi. Je finis par m’exclamer:
 -Waouh! Mon chéri, elle est… Grosse! Énorme même.
 Je pris son sexe dans ma main.
 -Tes copines doivent être contentes! ajoutai je en riant.
 Comme nous étions des confidents, je savais que Michael avait déjà eu des aventures.
 -Oui, c’est vrai, répondit il. Elle plaît souvent aux filles.
 -Je les comprends! Heu… Juste par curiosité, tu l’as déjà mesurée?
 -Oui, 24 centimètres.
 -Vingt-quatre centimètres! Et regarde, je n’arrive même pas à faire un tour complet avec ma main!
 A ce moment là, j’étais très fière d’être la mère de Michael, encore  plus fière que d’habitude. Je commençai à masturber mon fils et  approchai ma langue des testicules. Je les léchais avec amour puis  remontais le long de sa verge. Je mis ensuite son énorme gland dans ma  bouche. Qu’elle était bonne cette colonne de chair! Qu’elle avait bout  goût! Je la sortis néanmoins de ma bouche un instant pour dire à mon  fils de se rasseoir car il serait plus à l’aise. J’enfonçai de nouveau  sa grosse bite dans ma gorge. J’essayais d’aller le plus profond  possible pour donner le plus de plaisir possible à mon petit chéri. Je  caressais ses couilles et je le suçais frénétiquement! Pendant ce temps,  il gémissait et me caressait les cheveux de ses mains. Il finit par  m’appuyer un peu sur la tête. Je ne dis rien, jamais ça. La plus belle  fellation de toute ma vie! Un homme extrêmement bien membré me tenait  fermement la tête pendant que je le suçais, et de plus, c’était la  personne que j’aimais le plus au monde: mon fils! Je n’aurais pas pu  rêver mieux. Je continuais donc de pomper Michael de plus en plus vite;  mais dans un gémissement, il dit:   -Ho Maman! J’ai envie de te baiser!
 Alors je me relevai, car je n’avais pas oublié la promesse que je m’étais faite, et d’un ton vif je répondis:
 -Non Michael! Je suis ta mère, tu ne peux pas me pénétrer! D’accord pour  des caresses et une petite pipe. Mais ça ne doit pas aller plus loin  entre nous.
 -Mais enfin Maman, c’est toi qui m’a excité et maintenant tu te refuses à moi!
 -Je comprends ce que tu peux ressentir mon chéri, mais me pénétrer serais un acte trop grave.
 - Laisse moi au moins voir ton sexe.
 J’acquiesçai et enlevai ma jupe puis ma petite culotte.   -Elle est magnifique ta chatte ma petite Maman! s’exclama mon fils. Je peux la lécher?
 -OK.
 Je m’assis sur le canapé et mon petit chéri se mit à genoux. Il passa sa  langue sur mon clitoris, puis sur mes lèvres. Il rentra légèrement les  doigts dans mon vagin. Je gémis.  Mon fils était un vrai pro, on voyait  qu’il avait déjà eu plusieurs copines. Il commença à murmurer des choses  tout en continuant son cunnilingus.
 -Ho Maman, elle est bonne ta chatte! J’ai vraiment envie de toi.
 Je le laissai dire et poursuivit simplement mes gémissements. Mais au bout d’un moment, il prit un coup de sang.
 -Oh puis merde! J’ai vraiment trop envie !
 Il se releva.
 -Que fais tu? demandai je légèrement apeurée.
 Il ne répondit rien et me pénétra d’un coup sec!   -NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON! criais je, même si en même temps cela me procura un plaisir intense.
 Michael commença à faire des va et vient en moi.
 -Arrête! Arrête ça tout de suite! implorai je.
 Mais mon fils de m’écouta pas. Je finis par ne plus rien dire et je me  mis à pousser des cris à chaque coups de butoir qu’il me mettait. En  fait, même si pour des raisons morales, j’avais refusé la pénétration;  au fond de moi je ne demandais que ça. Me faire limer par cette bite  énorme. Elle envahissait mon vagin, et j’adorais cette sensation de me  sentir remplie. Michael accéléra, et mes cris devinrent presque des  hurlements.
 -HO OUI ! C’EST BON MON CHERI! HO OUI! TA BITE EST BONNE! ELLE EST TELLEMENT GROSSE MON CHERI!
 J’atteins l’orgasme à un niveau que je n’avais jamais connu jusqu’à  présent. Heureusement qu’on était l’après midi et que tous nos voisins  étaient au travail, sinon le cri que j’ai poussé à cet instant aurait  ameuté tout le quartier. Ensuite, mon fils se coucha complètement sur  moi. Il arrêta d’aller et venir mais il garda son sexe dans le mien.
 -Tu as bien joui, ma petite Maman? demanda-t-il.
 -Ho oui, mon chéri! C’était magnifique! Je n’avais jamais connu un plaisir aussi intense. Et toi, tu as joui?
 -Non. Pas encore. Je voulais juste faire une pause.
 -D’accord. Mais comme tu m’as déjà donné un orgasme, si tu veux tu peux jouir dans ma bouche.
 Michael accepta, ce qui était bien pour moi car j’avais très envie de le  sucer encore une fois. Il se mit debout et je m’agenouillai devant lui.  De nouveau, je mis son gros sexe dans ma bouche. Je lui taillais une  bonne petite pipe pendant de longues minutes. Puis, en levant les yeux  vers lui, je lus sur son visage que sa jouissance n’était pas loin. Et  là je sortis sa bite et le masturbai frénétiquement. Je plaçai mon  visage sous son sexe, et ce qui devait arriver arriva: mon fils  m’aspergea d’un long filet de sperme! J’en avais du menton jusqu’aux  cheveux! Je remis son engin dans ma cavité buccale, et sentis deux  nouvelles giclées dans ma gorge en entendant Michael pousser des râles.  Ensuite, j’avalai tout ça. Je remerciais mon petit chéri et le suçais  encore un petit peu, histoire de bien nettoyer l’instrument qui m’avait  donné tant de plaisir, et rendu si heureuse.
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