L'amour d'une mère

Récit érotique écrit par fulvia41 le 24-12-2015
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Catégorie Inceste

L'amour d'une mère...

L'incroyable découverte

Adossée à l’huisserie de la porte séparant la cuisine de la salle à manger, Germaine surveillait d’un Å“il impatient le groupe d’hommes d’affaires qui n’en finissaient pas de dîner. C’étaient les derniers clients ; l’horloge au-dessus du bar indiquait vingt-deux heures trente. Habituellement à cette heure-là, elle se trouvait chez elle, auprès de son fils Julien. Évidemment, elle lui avait téléphoné afin de le prévenir qu’elle rentrerait un peu plus tard, mais le savoir seul à l’appartement la perturbait. Malgré ses seize ans, Julien raisonnait encore comme un enfant ; et cela du fait du décès brutal de son père survenu lors d’un accident de voiture trois ans plus tôt. Ce jour-là, Julien se trouvait endormi sur la banquette arrière de la voiture. Les secours l’avaient transporté, inconscient à l’hôpital. Victime d’un traumatisme crânien, le gamin était resté trois jours dans le coma. A son réveil, les médecins avaient constaté quelques séquelles mineures qui d’après eux devaient s’atténuer avec le temps. Or trois ans après l’accident, force était de constater pour Germaine que son fils continuait à se conduire comme le gamin qu’il était à l’époque du drame.  

Après l’horrible tragédie, Germaine s’était retrouvée seule avec un garçonnet de treize ans terriblement perturbé par le traumatisme qu’il avait vécu. Julien avait dû suivre diverses séances chez une psychothérapeute. Celle-ci avait diagnostiqué chez l’enfant un blocage cérébral, dû certainement à la disparition brutale de son père ; blocage qui devrait s’atténuer avec le temps l’avait-elle rassuré. Elle avait alors conseillé à Germaine de remplacer le manque affectif que connaissait le gamin, par un surplus de tendresse et d’amour de sa part.

Aussi, oubliant sa propre détresse, Germaine s’était investie à fond dans la thérapie conseillée par la psy. Elle avait alors confiné son fils dans un giron plein d’affection et d’amour. Chaque instant de sa vie avait été alors consacré à Julien, au bonheur de Julien, au bien-être de Julien. Rien n’était trop beau pour son fils chéri. Elle s’arrangeait pour devancer les moindres de ses désirs, et ceci au préjudice de sa propre vie. Depuis trois ans, plus rien ne comptait pour elle, hormis le bonheur de son enfant. Son amour maternel s’en était trouvé décuplé. Julien au fil de mois était redevenu son bébé. Son amour pour lui s’en était accru. Il était devenu son petit homme, comme elle aimait l’appeler. Il avait en quelque sorte, pris dans son cœur la place de son mari décédé. En mère attentive, Germaine partageait son temps entre son travail et son fils, et rien d’autre ne comptait pour elle.

Son premier but, après les obsèques de son mari, avait été de chercher rapidement un job. N’ayant jamais travaillé (le salaire de son mari suffisait largement pour les faire vivre tous les trois), la quête d’un emploi avait été des plus difficiles. Ce n’est qu’avec l’aide d’un conseiller municipal, ami de feu son mari, qu’elle avait obtenu le poste de serveuse dans ce restaurant situé pas très loin de chez elle.

Là, elle avait eu la chance de rencontrer Isabelle, la seconde serveuse du restaurant. Plus âgée qu’elle, cette dernière, veuve également, savait lui remonter le moral et la réconforter dans les moments d’affliction qu’elle connaissait de temps à autre. Un jour, cette dernière lui avait fait gentiment remarquer qu’elle se conduisait avec son fils, plus comme une amante que comme une mère. Cette remarque avait étrangement perturbé Germaine et dans son fond intérieur elle avait bien dû reconnaître qu’Isabelle avait un peu raison. Elle avait ensuite essayé de modifier cette relation équivoque qui la liait à l’adolescent. Mais ce dernier, ne comprenant pas ce changement d’attitude de sa part, sombra rapidement dans un tel état de tristesse que Germaine reprit immédiatement ses habitudes, pour le plus grand plaisir des deux. Que pouvait comprendre Isabelle au merveilleux bonheur qu’elle ressentait, lorsque Julien venait se blottir sur ses genoux, son bras passé autour de son cou, sa tête reposant sur sa poitrine. Dans ces instants, il revenait son bébé, ce nourrisson qu’elle avait nourri de son sein, ce bambin qu’elle avait amoureusement cajolé, et en même temps elle le considérait comme son petit homme qu’elle devait défendre et protéger.

Comme pour la centième fois elle jetait un coup d’œil sur les aiguilles de l’horloge, une main se posa sur son épaule :

—     Allez, file ! Isabelle nettoiera la salle demain matin...

Tout heureuse d’échapper à la corvée du nettoyage et ravie de pouvoir enfin rentrer chez elle, Germaine s’empressa de quitter le restaurant après un dernier regard en direction des dîneurs…

Empruntant le trottoir, Germaine demeura étonnée en découvrant le monde circulant encore à cette heure. N’ayant jamais terminé son service si tard, elle ne s’était jamais imaginé que les gens pouvaient flâner à une heure aussi tardive ; il est vrai, reconnut-elle que c’était l’heure à laquelle les salles de cinéma libéraient leurs flots de spectateurs. Ce qui la surprit, tout en marchant, fut la douceur de l’air ; en cette fin de mois de mai, la température était particulièrement agréable, et les glycines le long de certains murets exhalaient leurs parfums grisants.

Alors qu’elle se frayait un chemin parmi les noctambules, son regard fut attiré par quelques couples tendrement enlacés qui déambulaient lentement devant elle, s’arrêtant de temps à autre pour échanger un baiser. Spectacle pourtant bien anodin d’amoureux avançant vers un avenir encore incertain, mais plein d’espoirs heureux. La vision de ces jeunes gens étroitement accolés déclencha chez Germaine une étrange émotion... En fait, cela faisait plusieurs jours que ses sens, jusque-là en complète léthargie, venaient la perturber insidieusement. Le décès brutal de son mari l’avait si douloureusement frappé, qu’une partie d’elle-même avait comme cessé d’exister. La seule raison qui la faisait réagir un tant soit peu était l’amour qu’elle portait son fils. Aussi depuis trois ans elle avait vécu dans une abstinence sexuelle complète. Aucun homme ne l’avait détourné du souvenir de son époux, ce qui occasionnait de nombreuses discussions avec sa collègue Isabelle : celle-ci l’encourageant à trouver un compagnon, ne serait-ce que par hygiène sexuelle. Mais jamais elle n’avait consenti à ce qu’un homme vienne partager, ne serait-ce que quelques jours, l’intimité qui s’était installée entre son fils et elle.

Tout en continuant son trajet, Germaine se surprit à rechercher du regard les couples enlacés, silhouettes discrètes se fondant dans l’ombre des arbres. Chaque nouvelle découverte lui apportait un étrange plaisir et en même temps une excitation suave. Etait-ce dû à ce printemps particulièrement doux ou à un réveil de sa libido, depuis trop longtemps apathique, de brusques accès de désir accompagnés de bouffées de chaleur venaient par instant la perturber, et cela, dans des endroits, et à des moments inattendus. Il suffisait que son patron vienne à poser la main sur son bras nu, comme il en avait l’habitude, sans attention équivoque, pour que tout son corps soit parcouru par un frémissement sensuel. Il en était de même lorsque les lèvres d’Isabelle venaient par mégarde effleurer les siennes, lors du bonjour matinal. Germaine s’était longuement interrogée sur cette transformation qui peu à peu perturbait ses sens, sans vraiment trouver une réponse satisfaisante.

Tout en suivant du regard les amoureux enlacés qui la précédaient, Germaine se rappela avec émoi le temps merveilleux où elle aussi se promenait ainsi, le bras de son mari encerclant sa taille. Des foules de souvenirs lui revinrent brutalement en mémoire :

« Lors de leurs promenades d’amoureux, comma ces couples qui déambulaient devant elle, celui qui allait devenir son époux aimait lui encercler la taille de son bras. Et tout en marchant tendrement enlacés, il s’ingéniait à venir frôler son sein de sa main, le pressant doucement de ses doigts. Elle adorait ces attouchements, éprouvant une douce félicité sous les palpations de son sein. Un jour elle avait décidé de remplacer ses corsages par des Tee-Shirts, dans l’espoir que son futur époux ose glisser sa main dessous pour lui caresser plus intimement la poitrine. Son attente avait été comblée au centuple. A peine avait-il fait quelques pas, que Louis, son futur mari, lui encercla la taille et sans hésitation glissa une main curieuse sous son vêtement. Â»

 Germaine perçut un long frisson lui parcourir le corps, aux souvenirs de cette scène, lorsque les doigts masculins vinrent palper les dentelles de son soutien-gorge, avant de se glisser à l’intérieur pour presser son sein durci par me désir.

« Il suffisait alors que son compagnon se saisisse de son téton érigé et le malaxe entre ses doigts pour que la jeune fille qu’elle était ressente cette même chaleur qu’elle percevait actuellement entre les cuisses. Â»

« Le jour qu’elle s’était rendue à leur rendez-vous en ayant décidé de ne pas porter de soutien-gorge, elle avait cru que son amoureux en prenait une crise d’apoplexie tant la surprise pour lui fut totale. Dans un réflexe d’émotion intense, il l’avait attiré à lui pour un baiser d’une telle intensité passionnée, qu’elle s’était réellement sentie fondre de volupté. Les jambes flageolantes, elle se serait écroulée si Louis ne l’avait fermement tenue par la taille. »

« Au souvenir de ce moment d’intense sensualité due à son initiative érotique, Germaine décida quelques jours plus tard de renouveler l’expérience. Mais jugeant que l’absence pour la seconde fois de son soutien-gorge n’aurait plus le même impact sur la libido de son fiancé, elle réfléchit à ce qui pourrait affoler suffisamment de nouveau son compagnon. Se souvenant que Louis lui avait annoncé qu’il désirait l’amener au cinéma,  et sachant comment se passaient les séances dans la pénombre de la salle, la solution lui apparut évidente. Elle se rendrait à leur rendez-vous sans aucun vêtement intime : en plus de ses seins qu’elle laisserait libres de toute entrave sous son Tee-Shirt, elle décida qu’elle ne porterait pas non plus de culotte. Ainsi, lorsque son amoureux, à son habitude, dès les lumières éteintes, glisserait une main impatiente sous sa jupe, la surprise de découvrir sa vulve offerte à ses investigations devrait le bouleverser et l’exciter au maximum. Â»

 

Si Louis avait été un merveilleux époux, qui sexuellement la comblait au-delà de tout, lui procurant des jouissances intenses qui la laissaient pantelante, c’était toujours elle qui dans leurs jeux  Ã©rotique prenait les initiatives.

C’est ainsi que, perdue dans ses pensées, Germaine arriva devant le parc public, fierté de la commune. Habituellement, elle évitait de s’y aventurer passée une certaine heure, mais ce soir les nombreux badauds qui y circulaient la rassura. La traversée de ce parc raccourcissait son trajet de dix minutes, ce qui n’était pas négligeable vu son impatience à se retrouver chez elle. Malgré l’heure tardive, la lune dans un ciel dégagé de tous nuages éclairait parfaitement le lieu, ce qui permit à Germaine lors de son cheminement de distinguer çà et là des couples allongés à même le gazon et d’autres étroitement enlacés sur les quelques bancs publics. Jeunes amoureux se prouvant leurs passions, comme cela se faisait depuis le début de l’humanité. Par endroits, la blancheur d’une cuisse féminine tranchait dans la pénombre de cette nuit de printemps. La vision de ces couples enlacés dans des positions des plus sensuelles ne fit qu’accentuer encore le trouble que Germaine ressentait ce soir. Ses sens lui procuraient des sensations qu’elle avait crues oubliées, lui rappelant brutalement qu’elle était une femme pouvant encore ressentir du désir. Le spectacle de tous ces jeunes gens tendrement enlacés ranimait sa libido et par voie de conséquence, déclenchait une certaine fièvre au creux de ses entrailles. Cet embrasement sexuel, quelle redécouvrait ce soir, s’était éteint à la mort de son mari et elle avait cru ne jamais plus le ressentir. Affolée par cette résurrection inattendue de sa sensualité, elle accéléra le pas, pressée de se retrouver chez elle, dans ce douillet cocon qu’elle avait amoureusement édifié et où elle serait à l’abri de ce désir pernicieux qu’elle sentait naître dans son bas-ventre.

Délaissant le sentier gravillonné qui serpentait entre les arbres, Germaine s’engagea à même le gazon, malgré le panneau l’interdisant, ce qui devait lui permettre de gagner quelques minutes. Mais comme elle contournait un bosquet, elle se heurta presque à un couple fort occupé à se procurer du plaisir. Ce n’était pas les premiers amoureux qu’elle croisait, mais ceux-ci, se croyant certainement à l’abri des regards indiscrets, se livraient à un exercice beaucoup plus impudique que tous ceux qu’elle avait aperçus auparavant. La fille se tenait à genoux à même le sol, la tête reposant sur ses avant-bras repliés, sa jupe largement retroussée sur ses reins. Sa croupe blanche qu’aucune culotte ne voilait tranchait dans la semi-obscurité du lieu. Son compagnon à genoux également, derrière elle, la maintenait par les hanches et les mouvements saccadés qu’il imprimait à ses reins attestaient, s’il en était nécessaire, à quel genre d’activité il s’adonnait.

Surprise par la découverte de ce couple en pleine activité sexuelle, Germaine s’immobilisa, ne sachant trop que faire. Sa raison lui dictait de se retirer discrètement, alors que sa libido perturbée l’incitait à demeurer sur place et assister à cet accouplement champêtre. Trop occupé à se procurer du plaisir, le couple ne l’avait pas remarqué et continuait ses ébats sexuels. Le garçon pistonnait allègrement sa partenaire, qui sous les coups de boutoir se cambrait langoureusement en émettant une douce plainte amoureuse. La gorge étrangement nouée, le bas-ventre dévoré par ce désir qui s’était soudain éveillé, Germaine demeura immobile, les yeux fixés sur le corps arqué de la jeune fille... Une pensée incongrue lui traversa l’esprit ; il y avait si longtemps qu’elle n’avait ressenti cette sensation voluptueuse, que procure l’introduction d’un membre masculin à l’intérieur de son sexe. Elle s’imagina ce que devait ressentir la fille agenouillée à quelques mètres d’elle. Elle devait percevoir avec plaisir le sexe masculin de son partenaire, forcer l’ouverture de sa vulve, repousser ses chairs intimes, les écarteler, pour venir se loger au plus profond de son vagin affamé… Un flot de souvenirs, qu’elle avait cru oubliés, lui revint soudainement en mémoire : des scènes identiques à celle qui se déroulait là, à quelques mètres d’elle défilèrent devant ses yeux. Combien de fois s’était-elle pliée aux désirs qu’elle avait provoqués chez son mari avant même d’être mariée ; que de fois avaient-ils fait l’amour dans les endroits les plus incongrus : parkings souterrains de certaines grandes surfaces, toilettes publiques, arrière d’un car lors d’un voyage... Les souvenirs des jouissances fulgurantes qu’elle ressentait, du fait des endroits incongrus choisis, procurèrent à Germaine un long frémissement de tout son être.

Le spectacle érotique qui se déroulait sous ses yeux, plus les souvenirs des instants où elle et son mari se conduisaient de la même manière que ce couple, provoqua chez Germaine un inquiétant malaise sexuel. Elle prit soudainement conscience qu’une abondante humidité avait pris naissance au creux de sa vulve. C’était incroyable, s’affola-t-elle, la vision de ce couple occupé à faire l’amour la faisait mouiller comme au plus beau temps de sa jeunesse ! Cela ne lui était plus jamais arrivé depuis le décès de son époux, trois ans plus tôt. Depuis ce temps, son sexe était devenu un terrain aride, d’où plus aucune source n’avait émergé ; la seule fois où il s’humidifiait était lors de ses mictions ; ce qui n’avait rien de sexuel... Elle comprit alors que quelque chose venait de se régénérer au plus profond de ses entrailles... Effarée par cette constatation, elle s’éloigna rapidement du spectacle trop excitant pour une femme comme elle, qui avait été privée d’amour depuis si longtemps. Les sens extrêmement perturbés elle quitta enfin le parc. Les images de ce couple faisant ainsi l’amour dans un lieu public, à la vue d’un quelconque promeneur, défilaient dans son esprit. Les sens exacerbés, elle pressa le pas, impatiente de se retrouver chez elle... A cette heure, Julien devait dormir, pensa-t-elle, elle irait l’embrasser avant d’aller prendre une douche qui calmerait cette chaleur qui embrasait son bas-ventre, et surtout expulser cet afflux de sécrétion vaginale. Elle eut une pensée pour sa culotte qui ayant épongé sa liqueur intime devait être particulièrement trempée...

Se retrouvant enfin entre les quatre murs de son cocon familial, à l’abri de toutes les visions affolantes qu’elle avait dû subir, Germaine se sentit quelque peu apaisée. De la chambre de Julien lui parvint le son du poste de télévision. Un sentiment de bonheur l’envahit ; son fils l’avait attendu malgré l’heure tardive. Le cÅ“ur débordant d’amour pour son « bébé Â», elle se dirigea en direction de la chambre d’où s’échappait le son. Au premier coup d’œil, elle comprit amusée qu’elle s'était trompée ; Julien dormait profondément, malgré le son assez élevé de la télévision. Connaissant particulièrement bien son fils, elle savait que celui-ci avait le sommeil si profond que rien ne pouvait le réveiller lors de son premier somme. Aussi décida-t-elle d’aller d’abord éteindre la télé avant de venir l’embrasser.

Le silence revenu dans la chambre, Germaine jeta un coup d’œil critique autour d’elle ; au sol traînaient des chaussettes, un tee-shirt et un slip. Malgré ses perpétuelles remontrances au sujet du rangement de ses affaires, Julien n’en faisait toujours qu’à sa tête ! Si bien qu’elle avait renoncé à faire comprendre à son fils qu’il devait ranger ses vêtements le soir ! Mais après tout n’était-elle pas là ? N’était-elle pas en tant que mère, appelée à être plus ou moins la bonne de son fils, comme elle l’avait d’ailleurs été avec son père ? Isabelle n’aurait certainement pas été d’accord avec ce point de vue ! Mais qu’importait son avis ! Son amie ne pouvait imaginer l’amour qui la liait à son fils.

Le linge ramassé et soigneusement plié sur une chaise, Germaine s’approcha alors de son fils endormi. Longuement, elle contempla le visage juvénile que le sommeil rendait extrêmement doux. Avec ses boucles blondes retombant sur son front, Julien ressemblait à l’un de ces anges que l’on voit sur les gravures religieuses. Le drap repoussé au niveau de la taille découvrait le torse fin et musclé de l’adolescent, féru de natation. Germaine était fière de son fils ; il était bien évidemment le plus beau des garçons du quartier. La seule ombre qui venait assombrir sa joie était que si le corps de Julien suivait une croissance normale, son mental ne suivait pas la même évolution. Il avait bien trois ans de retard. La psychiatre l’avait bien prévenu que cela allait s’arranger avec le temps, aussi Germaine s’accrochait-elle à cet espoir. Ainsi endormi, le visage reposé, Julien avait une certaine ressemblance avec son défunt père. Attendrie et pleine d’amour, elle se pencha pour déposer un baiser sur le front de son fils tant aimé. Quelques gouttes de sueur perlaient à la racine des boucles blondes, dues à la chaleur de cette soirée de printemps particulièrement précoce. S’asseyant à même le lit, Germaine entreprit alors d’éponger délicatement le front moite de son fils à l’aide d’un mouchoir, éprouvant un certain plaisir à accomplir cette tâche.

Après avoir longuement essuyé la sueur qui perlait au front de son « bébé Â», comme elle aimait à l’appeler, Germaine se décida à aller enfin prendre cette douche qui calmerait son corps encore sous le coup de cette étrange montée de désir. Comme elle se relevait, Julien, certainement incommodé par la chaleur, remua brusquement, repoussant quelque peu le drap sous lequel il dormait. En mère attentive, Germaine décida de recouvrir le corps de son fils avant de quitter la chambre. Mais comme elle s’apprêtait à remonter le drap qui avait glissé, ce qu’elle découvrit la statufia sur place ; elle demeura la main tendue, incapable de terminer son geste. Le drap froissé laissait apparaître l’extrémité du sexe de Julien ; ce qui en soi n’aurait rien eu de choquant du fait des circonstances, si ce n’est que le gland qui émergeait des draps parut anormalement volumineux aux yeux de Germaine.

Stupéfiée par cette découverte inattendue, Germaine demeura comme pétrifiée, se refusant à croire ce qu’elle voyait. Ce ne pouvait être ce qu’elle pensait !... Elle demeura un long moment à fixer ce morceau de chair, incrédule. Julien n’était encore qu’un enfant : Il ne pouvait ressentir ce à quoi elle pensait… Ses sens exacerbés par ce qu’elle avait vu dans le parc faussaient son jugement… Il n’y avait là rien d’anormal… Cependant au bout de quelques minutes à fixer ce dôme de chair qui émergeait de dessous le drap, Germaine se décida à en avoir le cÅ“ur net. Délicatement, elle repoussa le tissu qui lui cachait ce qui la perturbait. Ce qu’elle découvrit alors allait bien au-delà de ce qu’elle imaginait !... Dans son sommeil, Julien était victime d’une incroyable érection. La gorge soudainement nouée par ce qu’elle constatait, Germaine fixa médusée, ce sexe raidi et gonflé, ne pouvant accepter la réalité. Son « bébé Â» ne pouvait avoir ce genre de réaction, ce n’était encore qu’un enfant... A seize ans, un garçon ne pouvait connaître une pareille turgescence ou alors ce ne pouvait être qu’accidentel... Mais à fixer incrédule le gland à la chair extrêmement lisse, Germaine dut se rendre à l’évidence : Julien bandait réellement... Celui qu’elle considérait encore le matin même comme son enfant était devenu un homme, sans qu’elle ne s’en soit rendu compte, sans que rien ne l’avertisse de ce changement...

Acceptant, bien malgré elle que Julien puisse avoir une érection, une question lui traversa l’esprit : à quoi pouvait rêver son garçon pour bander ainsi. Posé bien à plat contre le ventre musclé, la jeune verge reposait telle l’épée sur les tombeaux des gisants, véritable pal de chair volumineux et étonnement long. Le prépuce repoussé par la dilatation du membre, laissait libre le gland rose, lisse et fendu en son centre de sa minuscule brèche. A fixer incrédule, le membre érigé et largement décalotté, Germaine sentit de nouveau à l’intérieur de ses entrailles, ce brasier qui avait pris naissance dans la soirée, lui irradier de nouveau le bas-ventre, tandis que son pouls s’accélérait.

Tout en s’interrogeant sur la réalité de ce qu’elle découvrait, Germaine ne pouvait détacher son regard de ce gland inconvenant qui semblait la narguer. Encore sous le coup de l’ahurissement provoqué par l’incroyable découverte, elle ressentit le besoin de s’assurer de la véracité de ce qu’elle voyait. C’était la première fois depuis le décès de son mari qu’elle contemplait un sexe masculin en érection. Même si le membre qu’elle fixait ardemment appartenait à son fils, l’excitation ressentie n’en était pas moins considérable. Un détail cependant la laissait troublée. Comment un gamin de seize ans pouvait-il posséder un sexe aussi long !... Son père, à ce qu'elle s’en souvenait, était convenablement fourni côté appareil génital, mais ne possédait pas un engin aussi développé...

Combien de temps resta-t-elle ainsi à fixer le jeune membre viril distendu, qui tel un bélier de chair serait prêt à défoncer le faible rempart protégeant l’hymen féminin, Germaine n’aurait pu le dire… Mais un désir insidieux s’insinuant en elle, elle ressentit le besoin de se saisir de cette virilité en érection, de la presser entre ses doigts. Il y avait si longtemps qu’elle n’avait pas palpé un sexe masculin ; qu’elle n’avait pas perçu sa douceur et sa fermeté en même temps. Elle se rappela alors du plaisir qu’elle prenait à branler son mari, à sentir sa queue, comme il aimait à nommer son sexe en érection, frémir contre sa paume, se durcir au moment de l’éjaculation… L’esprit complètement perturbé par ses sens embrasés, oubliant le lien de parenté qui la liait au possesseur de cette virilité convoitée, Germaine referma ses doigts autour de la colonne de chair dilatée. Aussitôt une onde d’une intensité prodigieuse lui parcourut le creux des reins et le bas-ventre. Percevant contre sa paume la tiédeur et la dureté en même temps de l’organe viril, elle retrouva cet émoi qui la saisissait à l’époque. Esclave de cette fièvre sexuelle qui l’avait soudainement frappée dans la soirée, elle pressa fermement ses doigts autour de la verge durcie, appréciant la fermeté et la tiédeur qui s’en dégageait. Mais alors, échappant à sa volonté, comme animée d’une vie propre, sa main se souvenant de certains mouvements effectués jadis s’activa doucement le long de la verge bandée. Coulissant depuis la racine jusqu’au prépuce dilaté, sa main devenue complètement indépendante de sa volonté, exécuta une lente masturbation le long de la jeune bite en érection. La gorge nouée, une boule au niveau de la poitrine, Germaine fixait incrédule le gland dilaté, qui tel un diablotin jaillissant de sa boite, émergeait d’entre ses doigts refermés en anneaux.

Incapable de se dominer, Germaine ne tarda pas à ressentir un indéfinissable plaisir à branler la jeune verge... D’étranges sensations renaissaient en elle. De nouveau, cette source qu’elle avait cru tari à jamais, jaillissait des tréfonds de son vagin, humidifiant les grandes lèvres de sa vulve, alors qu’une étrange chaleur lui irradiait les entrailles. Complètement perturbée, inconsciente de ce que ses attouchements avaient d’immoral, Germaine pressa fortement la verge gonflée dans sa main, oubliant que le sexe qu’elle tenait en main appartenait à son fils.

A un moment, elle perçut conte sa paume, les pulsations du membre qu’elle enserrait, ce qui augmenta encore le trouble sexuel qui l’habitait. Combien de fois n’avait-elle pas effectué ce genre de caresse à son mari, éprouvant un plaisir évident lorsqu’elle sentait la bite raidie palpiter dans sa main, signe avant-coureur de l’éjaculation. C’était ce même plaisir qu’elle ressentait ce soir, à la différence que la queue qui frémissait dans entre ses doigts n’était pas celle de son défunt mari, mais celle d’un adolescent et que cet adolescent était son propre fils. Ce plaisir diffus, provoqué par la présence du membre frémissant contre sa paume, avait toujours particulièrement attisé ses sens, ce qui la rendait présentement impatiente.

Comme elle accélérait légèrement le va-et-vient de ses doigts le long de la colonne de chair devenue extrêmement dure, un sursaut du corps nu de Julien la surprit, lui faisant stopper immédiatement sa masturbation. Paniquée à l’idée d’être surprise par son fils dans une occupation qui n’avait rien de maternelle, elle tourna son regard en direction du visage de l’adolescent. Son cÅ“ur reprit sa cadence normale quand elle constata que Julien ne s’était pas réveillé comme elle l’avait craint ; un souffle régulier s’échappait de sa bouche entrouverte.

Cette alerte ramena Germaine à la réalité, lui faisant prendre conscience de ce qu’elle était en train de faire. Quelque peu confuse, elle lâcha avec regret le membre viril de son fils, décidée à regagner sa chambre. Avant de se lever du lit sur lequel elle s’était assise, elle jeta un dernier regard sur la virilité de son « bébé Â». La vision de la verge monstrueusement gonflée, au gland rose et dilaté, reposant mollement sur le bas-ventre de son fils endormi, la fit revenir sur sa décision. Elle avait éprouvé un tel plaisir à caresser le membre viril à la texture si douce, les sensations qu’elle en avait ressenties avaient été si sensuellement intenses, qu’elle ne pouvait y renoncer si facilement.

Jetant un dernier regard sur le visage de Julien, elle fut rassurée : celui-ci dormait profondément. Alors, dans un geste assuré, Germaine s’empara de nouveau de la virilité convoitée : « encore cinq minutes décida-t-elle, puis je m’en irais... Julien dort trop profondément pour qu’il se réveille... » Fixant avec envie le gland dilaté, elle reprit sa sensuelle masturbation, éprouvant de nouveau ce plaisir indéfinissable qui lui donnait toutes les audaces, tandis qu’une étrange émotion s’emparait de tout son corps.

« Monica Bellucci sort des vagues. Le corps ruisselant de milliers de gouttes d’eau, les seins débordant de son maillot trop petit pour sa somptueuse poitrine, les hanches évasées mises en valeur par un bikini particulièrement étroit. Elle s’avance de sa démarche sensuelle. Tout son corps attise les désirs les plus fous Â».

« Elle s’approche, un sourire complice aux lèvres. Julien n’en croit pas ses yeux ; son idole, son fantasme, est là, près de lui. Elle s’agenouille sur le sable chaud où il est étendu. Elle ne dit rien ; ce n’est pas nécessaire, son merveilleux regard parle pour elle. Julien ne peut détacher son regard des dômes charnus qui émergent des balconnets trop petits du maillot de bain. Toujours sans un mot, Monica frôle de ses mains si douces son torse parcouru de frissons voluptueux, avant d’effleurer son ventre crispé par le désir, puis son slip de bain déformé par une incontrôlable érection. Avec un sourire ensorcelant, Monica crochète l’élastique de son maillot de bain. Â»

« C’est fait, son rêve se réalise : Monica vient de refermer ses doigts autour de sa verge dilatée par l’intense désir qui le travaille, et dans un lent mouvement de va-et-vient, elle le masturbe... Tout le bas du ventre tétanisé, Julien apprécie cette caresse qu’il est le seul à se prodiguer habituellement. La main de Monica, si légère, si experte lui procure un plaisir d’une rare intensité. Jamais ses masturbations solitaires ne lui avaient provoqué une telle félicité. Sa jeune bite, comme animée d’une vie propre, frémit, se gonfle, se dilate sous les frôlements experts et terriblement voluptueux des doigts féminins. Le bas-ventre littéralement embrasé par l’intense délectation que lui procure cette masturbation, Julien sent soudain ses couilles se rigidifier, prémices de cette jouissance libératrice. Â»

« Pris de panique à l’idée de décharger aussi inopinément, de souiller les doigts de son égérie, Julien tente de se rebeller contre son désir. Que va penser Monica à recevoir sa substance virile au creux de sa main ? Dans un effort prodigieux, il se cambre frénétiquement afin de stopper l’éruption de sa semence qu’il sent sur le point de jaillir de sa verge gorgée. Â»

Tout à son combat contre l’éminence de son éjaculation, Julien émergea soudainement de son rêve érotique. Réalisant que ce qu’il venait de vivre n’était en fait qu’un effet de son imagination, Julien demeura immobile les yeux clos, tentant de replonger dans ce songe si sensuel… Cependant au bout de quelques secondes, l’adolescent réalisa que l’étrange et merveilleuse sensation due à la masturbation de Monica Bellucci, perdurait au niveau de sa verge. Comment son égérie pouvait-elle continuer à le branler de si troublante façon, alors qu’il était bien réveillé ? Stupéfait de ressentir une si agréable sensation, alors qu’il était complètement éveillé, Julien ouvrit les yeux et dirigea son regard en direction de son bas-ventre… Stupéfait, il reconnut en la femme qui délicatement le branlait d’une main insistante, sa propre mère. Penchée sur sa besogne sexuelle, cette dernière ne s’était pas rendu compte qu’il venait d’émerger de son somme. Le visage penché sur son activité, elle semble complètement accaparée par sa tâche. Devant ce spectacle insensé que jamais il n’aurait osé imaginer, même dans ses fantasmes les plus érotiques, Julien ne peut s’empêcher de s’exclamer :

— Maman !

Pétrifiée par l’interjection soudaine de son fils qu’elle croyait profondément endormi, Germaine s’immobilisa confuse, sans pour autant lâcher la verge qu’elle maintenait serrée au creux de sa main. Cherchant désespérément une explication plausible pour justifier son occupation incestueuse, elle ne réussit qu’à bégayer :

— Tu... tu étais découvert, tenta-t-elle de s’expliquer... Je désirais te recouvrir...

Mais alors qu’elle essaye de se justifier, Germaine se rendit compte soudainement que dans sa précipitation à s’expliquer, elle n’avait pas lâché le jeune membre viril, toujours aussi dur et ferme dans sa main. Comme si la verge bandée lui brûlait brusquement la main, elle la relâcha précipitamment.

Ne percevant plus la chaleur de la main autour de sa verge, et surtout l’indicible plaisir que lui procurait l’attouchement de mère, Julien osa quémander d’une voix timide :

— Oh, non... Continue... C’était trop bon...

Germaine demeura un instant sans voix devant la demande de son fils. Devait-elle faire semblant d’être offusquée par cette sollicitation... En fait, reconnut-elle, si elle se trouvait devant pareille situation, elle ne devait s’en prendre qu’à elle-même ; quelle folie l’avait poussé à vouloir caresser le sexe de son propre enfant. Il est vrai que la soirée avait été quelque peu perturbante pour ses sens. Jamais elle n’avait ressenti un tel besoin sexuel. Et la vue du jeune membre en érection de Julien avait déclenché en elle cette pulsion, qui la mettait maintenant dans une situation extrêmement gênante vis-à-vis de son fils. Ses sens ceux-ci avaient pris le dessus sur sa raison. Plus rien n’avait alors compté pour Germaine que, son désir de se saisir de ce membre gonflé, pour en sentir la douceur et la fermeté au creux de sa main.

Après quelques instants de réflexion, Germaine se persuada que c’était presque son devoir, après sa folie, de contenter son fils : comme elle le faisait chaque fois que celui-ci émettait une envie, un besoin. Mais au plus profond d’elle-même, elle dut se l’avouer, elle mourrait d’envie de sentir de nouveau cette jeune verge frémir au creux de sa main. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait ressenti cette sensuelle sensation. Qu’importe si cette colonne de chair tant désirée appartenait à son fils ! Si elle pouvait apporter du plaisir à ce dernier et en ressentir elle-même par la même occasion, chacun y trouverait son compte ; et cela resterait entre eux. Comme Julien d’une petite voix gémissante insistait pour qu’elle reprenne sa masturbation, elle décida de le contenter : ne l’avait-elle pas toujours fait ?

— Tu veux que Maman... te... te fasse du bien, mon chéri ? demanda-t-elle d’une voix enrouée par l’émotion.

— Oh oui !... S’il te plait Maman !

— D’accord… … Mais cela doit rester entre nous... Tu me le promets ?

— Oh oui maman !... Je te le promets !

Ayant pris sa décision, Germaine s’installa alors commodément sur le lit, s’asseyant de trois quarts par rapport à son fils allongé. Avec une intense émotion, du fait du regard de Julien épiant ses gestes, elle s’empara de nouveau du jeune membre viril qui à son étonnement était toujours aussi raide. Faisant lentement coulisser sa main refermée le long de l’étonnante colonne de chair, elle entama une douce masturbation. A sentir la peau mobile du prépuce patiner sur le pourtour du gland, Germaine ressentit de nouveau une douce félicité envahir son esprit. Non seulement le fait de branler cette jeune verge lui était des plus agréable, mais en plus apporter du plaisir à son « bébé Â» la comblait de joie.

Comme le silence s’installait entre Julien et elle, Germaine, détournant son regard du bourgeon de chair qui émergeait d’entre ses doigts refermés en anneaux, scruta le visage de son fils :

— Tu aimes, questionna-t-elle ?...

En guise de réponse, elle eut droit à une sorte de grognement.

— C’est pas bon, insista-t-elle ?...

— Oh si s’empressa d’acquiescer Julien, affolé à l’idée que sa mère abandonne sa caresse…

Sans cesser sa sensuelle masturbation, Germaine, retrouvant soudain ses instincts maternels, voulut savoir : 

— Tu as souvent ce genre de... problèmes, questionna-t-elle, curieuse.

— Ouuiii... Tous les matins, quand je me réveille, avoua de bonne grâce Julien.

Attendrie devant le fait que son fils, son « cher bébé Â», soit devenu un homme, Germaine continua de se renseigner, sans toutefois cesser de dispenser à la verge gonflée une lente masturbation :

— Pourquoi ne m’en as-tu pas parlé, insista-t-elle ?... J’aurais su te conseiller !

— Ben... Heu... Je n’ai pas osé, geignit Julien dont les légères caresses le long de sa verge le ravissaient, sans toutefois lui apporter le plaisir qu’il en avait escompté.

— Pourquoi ?... Je suis ta maman... Tu sais, on peut tout dire à sa maman...

— … … …

— Et tu faisais comment pour te calmer, appuya Germaine, éprouvant soudain un certain plaisir pervers à interroger plus intimement l’adolescent ?

 

Terriblement gêné, Julien demeura un instant sans répondre. Devait-il tout dire ?

— Eh bien, se décida-t-il... Je me... caressais...

— Tu veux dire que tu te branlais, précisa Germaine à qui l’hésitation de Julien n’avait pas échappé !... C’est comme ça que l’on dit, n’est-ce pas ?

— Ouuiii, murmura dans un souffle Julien quelque peu gêné que sa mère emploie ce terme, qu’il utilisait avec ses camardes...

— Tout seul, continua Germaine prise dans la folie de sa perversité ?... Tu n’as pas de petite copine ?...

— Heu non...

Soudainement confus, Julien préféra ne pas faire état des séances de masturbations qu'il pratiquait avec René. Comment expliquer à sa mère qu'il lui arrivait quelquefois de se branler mutuellement avec son camarade de classe ; ce dernier, pourtant légèrement plus jeune, était plus au courant que lui pour tout ce qui touchait au sexe.

« Lors d'une visite chez son camarade, en l'absence de ses parents, René lui avait montré une revue porno. Ce qui avait au premier abord surpris Julien, c'est que la revue ne montrait que des hommes ; soit ceux-ci se branlaient, soit ils se suçaient et même s'enculaient. René semblait fortement apprécier les images, au point qu'au bout d'un moment, il avait déboutonné son pantalon pour en extraire son sexe en érection. Puis sans se soucier de la présence de son camarade, il avait empoigné sa verge tendue et s'était masturbé avec frénésie. D'abord excité par les images, c’était la première fois qu’il découvrait  que deux hommes pouvaient se procurer du plaisir, Julien l'avait été encore à assister à la masturbation de son camarade. Tout en se branlant d’une main énergique, René l'avait vivement encouragé à l'imiter : Â»

« â€” Tu n'as pas envie de te branler ?

— Heu, si, avait-il acquiescé, les yeux fixés sur la main active de son camarade.

— Alors, fais-le, l’encouragea René !... C'est rudement bon !... Â»

« Terriblement excité, et par les photos qu’il venait de découvrir et par le spectacle de son camarade se masturbant, Julien n’avait pu résister au besoin d'imiter son compagnon. N’éprouvant aucune gêne, il avait sorti son membre dur et tendu de son pantalon et avait accompagné René dans sa masturbation. D'une main déjà habile à ce genre d'activité, il avait entrepris de se branler avec consciencieusement. Â»

« Cependant, les deux complices avaient très vite négligé la revue érotique pour se concentrer sur leur plaisir, s'épiant l'un l'autre. Si bien qu'ils avaient pratiquement joui ensemble. Julien avait dû reconnaître qu'il avait ce jour-là, éprouvé un plaisir intense à se branler en compagnie de son camarade. Â»

« Cette séance de masturbation leur ayant tellement apporté une telle exaltation, les deux adolescents n'avaient pas tardé à recommencer. Puis un jour, René avait émis l'idée de se branler mutuellement. Toujours prêt à suivre son camarade plus expérimenté que lui, Julien avait accepté. Et c'est avec un étrange plaisir qu'il avait empoigné la verge tendue de son complice, alors que la main de ce dernier enserrait sa propre queue. Le fait d'être branlé par une main étrangère avait procuré à Julien un plaisir décuplé ; c'était nettement meilleur que lorsqu'il se le faisait lui-même. La double masturbation n'avait pas duré longtemps ; très vite, ils avaient déchargé de concert, leurs spermes, tels deux geysers avaient jailli simultanément, leur poissant les doigts. Ce jour-là, Julien avait alors découvert le fait que de se faire branler par une main étrangère était bien meilleure que lorsqu'il se masturbait soi-même. Aussi avait-il pris goût aux séances de masturbations communes, ne s'y refusant jamais lorsque René le lui proposait. Â»

« Or quelques jours plus tôt, lors de l'une de ces séances de masturbation érotiques, René, qui le branlait s’une main experte, lui procurant un délicieux plaisir, s'était brusquement penché en avant. Et sans le prévenir de ce qu'il allait faire, il avait refermé sa bouche autour de son gland déjà frémissant. Puis, comme si cela était normal, il avait entrepris de lui sucer la verge d’une manière douce et voluptueuse. Le va-et-vient des lèvres de son camarade le long de sa bite l’avait rapidement amené à l’euphorie et il n'avait pas eu le cran de repousser le visage ami. Il avait laissé René s'escrimer autour de sa queue frémissante, ravi de l'audace de son camarade. La jouissance l'avait saisi beaucoup plus rapidement que lors des séances de masturbation. Gêné à l'idée de jouir dans la bouche de son camarade, il avait voulu se retirer de la cavité buccale qui le pompait si délicieusement. Mais il en avait été empêché par René, qui ayant compris son intention, lui avait agrippé les fesses pour l'obliger à demeurer dans sa bouche accueillante. Alors dans un sursaut de tout son être, dans un orgasme encore jamais atteint, Julien avait déchargé la totalité de son sperme au fond du gosier de René, qui avala goulûment ce nectar qui lui emplissait le gosier. Lorsqu'il eut entièrement avalé son sperme, pourtant copieux, René relâcha le membre de son camarade, pour s'exprimer : Â»

« â€” C'était rudement bon !... Tu veux me sucer à ton tour ? Â»

« Malgré l’intense jouissance qu’il avait ressenti, Julien ne ressentait pas l’envie de recevoir la semence de son complice au fond du gosier. Aussi avait-il refusé catégoriquement de se plier au désir de son compagnon. Ce qui avait quelque peu refroidi leur complicité sexuelle. Â»

Tout en fixant le visage attentif de son fils, Germaine avait continué sa lente masturbation le long de la verge dressée de celui-ci.

— Tu te rends compte de ce que tu me fais faire, tenta-t-elle de plaisanter... Il faut vraiment que je t'aime...

— Moi aussi je t'aime, maman... Huummm...

Retrouvant sa dextérité d’antan, lorsqu’elle branlait ainsi son mari, Germaine tenta de se souvenir des gestes que ce dernier appréciait lorsqu’elle lui prodiguait ce genre de caresse. Un détail lui revint en mémoire ; Louis aimait qu’elle repousse le plus loin possible la peau mobile de son méat, pour pouvoir lui masser de ses doigts la couronne du gland. Elle entreprit alors d’exécuter cette manÅ“uvre sur le sexe de son « bébé Â», à laquelle elle s’appliqua. Au fur et à mesure qu’elle prodiguait ce type de caresse, Germaine ne tarda pas à constater la dilatation du bourgeon de chair. Cette constatation la combla de joie, lui procurant mille frissons aux creux du ventre. Tout en patinant sensuellement la partie du bourgeon de chair sensibilisé, Germaine surveilla le visage de Julien afin d’y lire les effets de sa caresse. Celui-ci avait fermé les yeux, pour certainement mieux apprécier l’attouchement dont il était l’objet. Comme elle accélérait le mouvement de va-et-vient de ses doigts sur le pourtour de la couronne du gland, elle vit les traits de son fils se figer soudainement. Comprenant que son « bébé Â» ressentait les prémices du plaisir, elle modifia sa caresse. Abandonnant le massage de la collerette du gland qu’elle prodiguait depuis cinq minutes, elle laissa glisser sa main le long de la verge tendue, entamant une sensuelle masturbation. Puis au bout de quelques va-et-vient de bas en haut sur toute la longueur de la queue juvénile, elle reprenait la friction de la couronne du gland fortement sensibilisée.

Toute à sa besogne érotique Germaine éprouvait une merveilleuse euphorie à branler la jeune bitte encore vierge, même si ce sexe quelle pressait de ses doigts appartenait à son fils. Une chaleur irradiait de nouveau ses entrailles, alors que le débit de cette source intime qui avait pris naissance au plus profond de sa vulve s’intensifiait. De nombreux souvenirs lui revenaient en mémoire ; souvenirs du temps où elle pratiquait ce genre d’attouchement à son mari. A la différence, qu’à l’époque ce genre de caresse se terminait, soit par une fellation, soit par une pénétration vaginale où anale.

Comme Julien tendait convulsivement son bas-ventre, offrant son membre à sa caresse, elle comprit que ce dernier appréciait ses caresses. Néanmoins, elle prit un malin plaisir à questionner :

— C’est bon, mon chéri ?... Tu aimes ce que maman te fait ?

— Oh oui... murmura Julien d’une voix enrouée.

— C’est meilleur que lorsque tu le fais toi-même ?

— Oh oui...

L’adolescent n’en revenait pas du plaisir qu’il ressentait sous cette masturbation. Cela n’avait rien à voir avec ce qu’il éprouvait lorsqu’il se branlait le soir, seul dans son lit. Sa mère avait une manière très particulière, très sensuelle de palper sa queue, qui le menait inexorablement à la jouissance, sans qu’il puisse s’en empêcher. Déjà avec son camarade René, il avait constaté combien cette caresse pouvait être plus agréable, pratiquée par quelqu’un d’autre, mais la main de sa mère œuvrait avec une telle onctuosité qu’il sentit le plaisir l’envahir plus rapidement que d’habitude. L’euphorie qu’il ressentait à cette masturbation n’avait rien de commun avec tout ce qu’il avait éprouvé jusque-là. Il aurait voulu que cette merveilleuse sensation qui se diluait dans son bas-ventre et dans son sexe ne cesse jamais. Aussi faisait-il des efforts désespérés pour contenir la montée de sa sève intime qu’il sentait sur le point de jaillir.

A s’activer ainsi sur le membre de son fils, à percevoir la tiédeur ainsi que les frémissements de la jeune bite au creux de sa main, Germaine ressentait un étrange plaisir l’envahir. La félicité qu’elle ressentait à branler une verge en érection, après tant d’années de veuvage, la faisait mouiller comme aux meilleurs temps de son mariage. Et le fait qu’elle branlait son propre fils accentuait encore cet émoi érotique. Cependant, restant avant tout une mère aimante et affectionnée, elle s’obligea à procurer un maximum de plaisir à ce fils qu’elle chérissait plus que tout au monde. Fixant le gland qui, lui semblait-il, se dilatait de plus en plus, l’envie lui prit de le prendre en bouche pour le sucer, comme elle le faisait avec Louis son malheureux époux. Comme elle aurait aimé sentir la verge tressauter entre ses lèvres, lâcher sa semence virile au fond du gosier... Un dernier reste de pudeur vis-à-vis de son fils la retint de mettre son désir à exécution. Qu’allait penser Julien si elle osait cette caresse ?... Comment allait-il la juger ?...

Inconscient du trouble qui perturbait sa mère, Julien se laissait peu à peu emporter sexuellement par l’affriolante masturbation dont cette dernière le gratifiait. Il éprouvait un plaisir étrange à fixer la main de cette dernière qui coulissait le long de sa queue érigée, soit lentement, soit plus rapidement… Cependant, un détail troublant frappa son regard ; du fait de la position qu’avait adoptée sa mère, sa jambe droite repliée sur le lit et la gauche reposant au sol, sa courte jupe s’était largement retroussée, laissant apercevoir une bonne partie de ses cuisses nues. La vision de la chair blanche des deux jambes écartées accentua encore son trouble érotique. Son regard se figea sur la partie plus sombre, tout en haut des cuisses, que lui cachait malheureusement la jupe. Cet endroit où se nichait ce mystérieux sexe féminin, objet des fantasmes les plus fous de son imagination. L’envie le saisit de poser sa main sur cette peau nue exposée à son regard ; pouvoir caresser cette chair à l’aspect si soyeux, la presser de ses doigts. Mais la crainte que sa mère n’apprécie pas son initiative, et que pour le punir de cette excursion intempestive, elle cesse sa caresse retint son geste.

Inconsciente du soudain désir de son fils pour ses cuisses offertes, Germaine continuait à s’appliquer dans sa tâche érotique, branlant la jeune bite arrogante d’une main aussi douce que possible. Fixant le gland rose tendre au centre duquel s’ouvrait la minuscule bouche du méat, elle se prit à attendre l’éjaculation qui allait en jaillir, s’impatientant même. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait vu jaillir ce geyser séminal lors de la jouissance d’un homme. Cette pensée l’affola si fort qu’elle accéléra le mouvement de va-et-vient de sa main le long du membre qu’elle sentait palpiter contre sa paume, le branlant de plus en plus vélocement.

Surpris par cette soudaine accélération de la masturbation dont sa virilité était l’objet, Julien sentit la jouissance l’envahir inexorablement, sans qu’il ne puisse rien faire pour la juguler. Sous la violence de l’orgasme qui le submergea, il griffa les draps alors que tout son corps s’arquait. Dans un grognement,


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24-12-2015 0 20109

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