Jocelyn

Récit érotique écrit par cerebrox le 30-07-2014
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Catégorie Sadomazo

Jocelyn est un Antillais de 52 ans qui, bien que marié, s'invite chez nous quand ça lui chante, en journée ou en soirée, pour venir baiser ma femme et se les vider sans plus de formalités. Pas même un bonjour ni la moindre amabilité. Il est chez nous comme chez lui et se plait à nous humilier. Nous l'avons rencontré suite à une annonce explicite que nous avions postée sur un site SM, l'an dernier. C'est un homme séduisant, très grand et musclé, une force de la nature monté comme un cheval auprès de qui je suis bien sûr très complexé. C'est un taureau qui fait hurler Monique par l'endurance de ses puissants coups de queue. Il aime la défoncer avec vigueur et brutalité jusqu'à ce qu'elle demande grâce, les larmes aux yeux, les orifices explosés, au bord de l'évanouissement : "Heureusement que je suis là pour donner des putains d'orgasmes à ta femelle, hein, sale enculé ! Regarde comme je lui donne son compte à cette chienne!" Il la manipule à chaque fois comme de la viande à disposition, se régale à la saisir par les cheveux ou par les tempes pour lui niquer la bouche en gorge profonde. Je peux voir ma femme, au bord de l'asphyxie, la face déformée par le gourdin qui lui fouille le gosier, baver tout ce qu'elle peut et tousser. Elle encaisse, sans ménagement, de lourdes claques sur le fessier, prise sauvagement par le trou du cul enflé, des gifles la bouche pleine, des mordillements, des tiraillements et de douloureux pincements de tétons lorsqu'il se la rentre, en forçant, jusqu'aux couilles dans sa chatte dilatée. Ma femme est empalée et énergiquement pistonnée sous les insultes et les crachats du black qui s'en donne à cœur joie, visiblement content de pouvoir se défouler gratuitement sur une blanche mariée qui râle, se pâme et jouit sous les coups portés comme la dernière des putains. Je bande. J'ai la permission de toucher en regardant, de lui sucer le cul, de lui gober les boules et d'aider mon épouse à le pomper. ça l'excite vraiment de sentir le travail de deux bouches gourmandes sur son attirail de Tarzan. Il me montre souvent son derche pour une feuille de rose appliquée qu'il savoure en vantant mes qualités de langue. Mais, c'est avec ma femme qu'il prend véritablement son pied. Je sais que ce qu'il apprécie chez elle, outre sa docilité, c'est le fait qu'elle soit encore étroite du fion: "Tout juste bonne à se faire enculer, ta femme. Regarde comme je l'ai arrangée !" Quand il décule, on doit nettoyer sa grosse pine souillée. Et quand il estime en avoir assez profité, soit deux bonnes heures au moins, il se finit au fond du vagin béant de Monique dont les nombreux orgasmes ont été très violents ou dans nos bouches ouvertes qu'il aime arroser abondement de sa bonne crème testiculaire et de pisse, après . Je me garde alors de tout avaler pour aller embrasser celle qui a tellement reçu qu'elle n'a plus même la force de desserrer les dents une fois l'ouragan calmé...Provisoirement calmé. Quant à moi, une fois Jocelyn parti, il ne me reste plus qu'à me masturber, allongé, cuisses ouvertes, aux côtés de celle que j'ai épousée, mais qui, pour l'heure, est trop fatiguée pour me sucer.

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30-07-2014 0 4600

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