Soumise à une femme

Récit érotique écrit par mazaudier le 15-02-2022
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Catégorie Lesbiennes

Bonjour. Je m’appelle Martha, la cinquantaine, un mètre soixante dix, au physique plutôt croustillant, d’après les homme qui me tournent autour. Mon mari n’a jamais été trop porté sur le sexe, et moi, pas plus que ça, mais bon, j’aime quand même. Surtout quand Claude, mon mari, est en déplacement, et que Jean, son meilleur pote, viens me baiser une bonne parti de la nuit.

Un jour jour que je me trouvais dans une maison de la presse, je suis tombée sur un magazine qui a des photos de couverture assez suggestives. C’était il y a un an et demi déjà. J’ai donc acheté ma première revue, et je suis rentrée à la maison. Je l’ai déballé et je me souviens qu’à la première lecture illustrée. Tous les récits m’excitaient. Je découvrais toutes les pratiques, pimentées par les belles photos et les récits croustillants. Que ce soit le candaulisme, les rapports sexy et la sodomie que je ne connaissais pas…

Mais un jour, je me suis fait surprendre dans ma lecture par ma belle-fille. La femme de mon fils, Estelle, la trentaine, grande brune très belle. J’étais tranquille dans ma chambre, il était autour quatorze heures, et je lisais mon livre, allongée sur mon lit, à moitié dévêtue en me caressant la chatte et en suçant un gode. Je lisais l’histoire d’une relation entre femmes et ça m’excitait, alors je commençais à m’enfoncer le gode dans la chatte, allongée sur le dos, les cuisses écartées, les yeux fermés, et je gémissais. Tout à coup, j’ai senti une autre main tenir la mienne sur le gode et le pousser dans ma fente. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu Estelle, là plantée au-dessus de moi.

- Alors, on s’amuse bien, belle-maman ? On est une grosse cochonne à ce que je vois ! 

Je me suis relevée, hyper gênée. Rien que d’y penser, mon écriture déraille.

- Euh non, Estelle, excuse-moi.

- Ah, en plus vous avez de sacrées lectures et vous aimez les histoires entre femmes ! 

- Euh non, pas spécialement. 

Elle me maintenait allongée sur le lit. J’essayais de cacher ma chatte et mes seins, mais elle me faisait ôter mes mains et prenait un ton autoritaire.

- Qu’est-ce qu’il dirait Claude, s’il savait tout ça ? 

- Non, non, pitié, ne dis rien, je ferai ce que tu veux , ai-je supplié.

- J’espère bien. D’ailleurs, continuez ce que vous faisiez, faites-vous jouir ! 

Voyant que j’hésitais, elle prit elle même le gode, m’a fait mettre sur le dos pour me l’enfoncer tout en le remuant très fort.

Je ne sais pas si c’était le ton où les mots qu’elle prononçait, mais je me suis mise à remuer mon bassin vers le gode en gémissant.

- Vous voyez, je vous ai dit, une vraie garce comme vous, c’est fait pour jouir ! 

Je l’a voyais triomphante, alors que j’avais un orgasme très fort et me mettais à crier en me tordant comme un ver sur le lit. Quand je me suis remise de mes émotions, Estelle était assise sur le bord du lit et me regardait.

- Alors, ça fait longtemps que tu te branles comme ça ? .

- Depuis un an et demi. Tu sais, je ne fais rien de mal, je n’ai jamais trompé Claude, mentais-je, mais j’en avais besoin.

- Oh, tu as des gros besoins, on va s’en occuper, ne t’inquiète pas.

- Pas un mot, hein, dis ? .

- Tu m’as dit que tu ferais tout ce que je veux. Bon, rendez-vous demain, même heure, même lieu, OK ?.

- Euh, oui. À demain. 

Toute la nuit, je repensais à elle, le sourire qu’elle avait quand j’ai joui. Et puis, qu’allait-il bien pouvoir se passer le lendemain.

À quatorze heurs, j’étais dans ma chambre en pantacourt et chemisier. J’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir, puis un bruit dans les escaliers. Mon cœur battait. Elle est entrée, habillée d’un jean moulant, et d’un tee-shirt tout aussi moulant, sans soutien-gorge, si bien que je voyais ses bourgeons pointés.

- Bonjour Martha. Mais, tu devrais être toute nue...allez, enlève-moi tout ça. 

J’enlevais mon chemisier et mon pantacourt. Je gardais ma culotte et mon soutien-gorge.

- Tout, j’ai dit. 

J’enlevais tout. Elle s’est assise sur le bord du lit et m’a fait défiler devant elle.

- Avance, tournes, viens par là. 

Je lui tournais le dos. Elle a écarté mes fesses avec ses mains et m’a complimentée sur mon cul, avant de se mettre à caresser ma chatte. Je mouillais.

- Hum, mais tu es déjà mouillée, ma salope. 

Elle a promené son doigt enduit de mouille sur mon œillet.

- Tu y as déjà eu droit par ce trou ? Tu verras, tu vas aimer, tu en redemanderas. 

Elle m’a fait me retourner et poser un pied sur le lit pour que ma chatte soit bien écartée. Elle a mis sa main dessus pour la triturer.

- Tu es une vraie garce, je vais pouvoir t’en mettre…

Elle s’est mise nue, s’est allongée sur le dos et a écarté les cuisses.

- D’abord, c’est moi ta maîtresse, qui doit jouir en premier.

Elle m’a alors plaquée la tête entre ses cuisses.

J’ai failli m’étouffer. Je suçais son clito, elle avait une chatte magnifique. Elle a joui très fort. Puis elle a sorti un gode-ceinture de son sac.

- Je l’ai acheté exprès pour toi, regarde, il te plaît ? 

Il était énorme, je vous jure. Elle se l’est attachée à la taille et m’a fait asseoir au bord du lit.

- Allez, suce le, salope, et comme il faut. 

Je ne pouvais pas le mettre en entier dans ma bouche tellement il était large.

- Ah, comme je suis bien membrée hein, on va bien s’amuser ! Dis-moi que tu es une truie, faite pour être baisée. Une truie qui se fait prendre par-derrière, comme, une chienne.

Puis je me suis mise à quatre pattes. Elle m’a écartée les fesses et a posé son gode à l’entrée de ma fente.

- Allez, recule sur mon gode, prends-toi la chatte, salope. Mouillée comme tu es, ça devrait rentrer tout seul. 

J’ai eu du mal à le faire rentrer et au bout d’un moment, elle l’a enfoncé presque à fond. Je sentais le gode jusqu’au fond de mon vagin. Elle m’a baisée ainsi un bon quart d’heure. J’ai joui deux fois, pendant qu’elle me traitait de tous les noms. Une fois qu’elle en a eu assez, elle m’a fait nettoyer le gode avec la langue tout en me caressant le cul.

- La prochaine fois, entraîne-toi, parce que c’est ton petit trou qui va prendre. 

La semaine suivante, je l’attendais à la maison et elle m’a appelée pour me dire que c’était à moi de venir chez elle.

- Tu vas mettre une jupe très courte, pas de culotte, un tee-shirt moulant sans soutien-gorge et des escarpins ! A ordonné ma maîtresse.

Une demi-heure plus tard, je montais dans sa voiture.

- Pas mal, dis donc, tu fais vraiment pute comme ça. Relève ta jupe que je vois ta petite chatte. Hum...caresses-toi et remontes ton tee-shirt sous les seins.

Nous sommes arrivées au niveau d’un feu rouge et j’ai interrompu mon geste.

- Non, continue, c’est maintenant que les chauffeurs peuvent se rincer l’œil. 

L’un d’eux était d’ailleurs en train de faire signe à Estelle de me branler. Elle l’invita à nous suivre. Nous avons arrêté la voiture dans un lieu tranquille en rase campagne et Estelle est allée parler au bonhomme.

- Allez, descends, il a envie de te mettre un coup de queue , m’a-t-elle ordonné.

Elle m’a prise par la main pour me mener à la voiture du gars, qui devait déjà avoir sorti sa bite.

- Allez, suce-le et bien. »

Je l’ai pris en bouche, il avait une drôle d’odeur. Estelle m’appuyait sur la tête.

- Tu aimes ça, hein, belle-maman ?

- Ah mais c’est votre belle-mère ? En tout cas, elle se débrouille bien, je crois que je vais cracher…oh putain...elle a un don pour tailler les pipes...je jouis...ouah...

- Oui, vas-y, remplis-lui la bouche, qu’elle avale tout cette garce !

Et le jus m’inonda le gosier. »

Puis nous avons repris la route. Une fois arrivées chez elle, nous sommes montées dans sa chambre et elle m’a forcée à la faire jouir comme une dernière fois, avant de « s’harnacher ». Je lui ai demandé d’aller doucement.

- C’est moi qui décide ! J’espère que tu as préparé ton petit trou. 

Elle m’a fait me retourner et a mis du gel sur le gode et mon petit orifice, avant de m’enculer pendant une demi-heure. Elle s’amusait à écarter mes fesses. Je ne sentais plus ma rosette.

- Oh putain, si tu voyais le puits que tu as, tu vas vraiment pouvoir prendre des queues de malade. 

Voilà, désormais j’attends qu’elle me livre à d’autres queues !



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15-02-2022 0 6288

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