Brésil, sur la grande île (1)

Récit érotique écrit par Kewine le 19-02-2022
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Catégorie Couple

Une île sans voitures, tout se fait à pied, en bateau ou 2 roues…Arrivés la veille, bien reposés, nous partons explorer l’île en randonnée. Il y a des tonnes de chemins, de quoi passer 10jours si l’on veut les faire tous.

Avec ma compagne nous choisissons un parcours pour la journée, alternant randonnée et plages sur différents côtés de l’île. Ça grimpe pas mal, les chemins sont bien tracés au sein d’une végétation luxuriante. Il fait chaud, dans les 30 degrés, et humide. Nous transpirons bien mais sur la crête de l’île sommes cueillis par une douce brise qui fait un bien dingue. Nous restons quelques minutes, buvons quelques gorgées et nous volons mutuellement un bisou bien chaleureux. C’est parti pour la descente, d’un bon quart d’heure, et arrivons sur une petite plage. Ni une ni deux , nous voilà en maillots de bain et plouf…rafraîchissant à souhait. Nous nous laissons flotter dans cette eau chaude, puis faisons quelques brasses. L’eau est claire, s’approfondit rapidement dans un beau bleu. Nous remontons sur la plage et nous étendons main dans la main sur nos paréos. Un petit bisou et une petite sieste des plus agréables. Nous reprenons notre marche, traversons une crête et voyons en contrebas une immense plage de sable quasiment blanc. Nous sommes à nouveau trempés de sueur. Nous y allons. C’est une superbe plage, il y a quand même du monde mais on peut se tenir à distance des autres tant elle est grande. Masque, tuba et nous revoilà dans l’eau. C’est chouette et agréable après cette touffeur dans la forêt. Il y a pas mal de poissons, dont un minuscule tout rouge pointé de noir, que nous suivons quelques instants. Zen, ça relaxe! Nous picniquons et repartons, mais sans remettre nos shorts et T-shirt cette fois. Il fait encore plus chaud maintenant. Ça tape. Encore une crête atteinte après bien des efforts à enjamber tant de racines d’arbres, comme un escalier pour géants. Nous dégoulinons de sueur mais nous faisons quelques bisous bien poisseux. Vivement le prochain bain de mer. Nous redescendons et arrivons sur un sentier littoral. C’est magnifique. Il serpente entre plage et arbres grandioses en fleurs, des rochers aux formes douces, et petites rivières qui se jettent dans la mer. Tout est fait pour faciliter la vie: des pontons en bois pour passer les ruisseaux, une petite échoppe pour prendre un verre avec des jus de fruits frais délicieux, des petits bancs en bois…nous ne croisons personne, il faut dire que peu de monde doit s’aventurer jusque là à pied vu la distance à la seule ville, et aucun bateau n’a dû passer dans le coin. Nous décidons de faire halte et nous mettons à l’eau. Nous allons explorer le bord de la plage, parsemée de gros rochers tout arrondis. C’est hyper agréable. À un moment nous arrivons comme dans un petit amphithéâtre de rochers ronds, avec juste un passage vers la mer. L’eau y est calme et peu profonde. On s’assied dans l’eau et on souffle. C’est tellement romantique. On se promène à quatre pattes ensuite mais je commence à avoir quelques idées derrière la tête. Cet endroit secret, voir ma copine ne promener à quatre pattes devant moi, ces rochers en forme de mamelons bien lisses…Je lui dit qu’on est tellement tranquilles ici qu’on pourrait se mettre tout nus sans que personne nous voit, même si quelqu’un se promenait sur la plage. Chiche elle me dit. Chiche. Je suis tout nu et met mon maillot de bain à sécher sur une pierre. À toi maintenant ! Toute timide elle me fait une moue gênée et rougit. Je m’approche d’elle, l’embrasse et la rassure en lui disant que personne d’autre que les petits poissons ne peut nous voir. Je « l’aide » en faisant glisser les bretelles de son haut de maillot de bain. Elle le retire entièrement et fait aussi glisser le bas à ses chevilles, avant de les disposer sur une pierre. On recommence à barboter. Je me retourne dans l’eau devant elle, avec mon membre dressé qui la fait sourire. Elle se retourne et nage devant moi. Mmmmh c’est magnifique. Je vois ses jambes, ses fesses et son petit abricot fendu…je lui attrape une jambe et fond sur elle pour l’embrasser dans le cou. Elle se retourne et se met à genoux devant moi. Je prend ses seins dans mes mains et l’embrasse langoureusement. Au passage elle a bien vérifié d’une main baladeuse que je bandais toujours. Pardi…et comment ! On est chauds, c’est certain. Je m’écarte un peu d’elle pour admirer sa poitrine. Elle est magnifique. Ses seins blancs contrastent avec le bronzage de son torse. Je suis la ligne blanche des bretelles jusqu’à ses tétons qui pointent. Le soleil brille sur ses seins mouillés. Je prend de l’eau dans mes mains en coupelle et lui fait couler entre les seins. C’est plus agréable que la sueur de tout à l’heure…je recommence sur chacun de ses seins. Elle fait comme moi maintenant. Elle me verse délicatement de l’eau sur le torse. Je me redresse sur mes genoux et elle fait couler de l’eau sur mon sexe en érection. Le soleil se reflète sur mon gland gonflé et tout lisse. Elle me caresse doucement la base des testicules. C’est délicieux. Je caresse son cou, ses seins, son ventre. Je m’approche d’elle et glisse une main entre ses cuisses. Je touche son abricot des doigts. Je remonte jusqu’à ses seins, puis redescend, passe sur son abricot et remonte ma main derrière elle jusqu’en haut de la raie de ses fesses, tout en faisant pression sur son abricot de mon avant bras. Elle m’embrasse goulûment…je reviens à sa fente et cherche entre ses lèvres. Je sens son vagin appeler mes doigts. J’e fait le tour et feint d’y pénétrer, mais continue plutôt de la caresser. Elle a empoigné mon sexe et fait glisser ma peau dessus jusqu’à ce que mon frein soit tendu au maximum…elle me maintient comme cela, ça m’excite terriblement, si bien que je peux résister à l’envie de glisser mon doigt en elle. Elle cambre son bassin et l’appuie bien fort contre la main, histoire de me sentir bien profondément en elle. Là elle consent à relâcher la pression de mon prépuce étiré quasiment jusqu’à la base de mon membre, puis elle remonte encapuchonner mon gland avec mon prépuce, en tirant toute ma peau jusqu’à en tendre la peau de mes bourses. Elle redescend puis remonte, ça me fait du bien. Je sens une grosse goutte poindre au bout de mon gland et rouler jusqu’à mon frein. Elle étale ce liquide partout sur mon gland qui brûle d’excitation. Je fais pareil en elle. Elle est bien mouillée. Nous haletons d’excitation. Je l’incite à se retourner en se mettant à quatre pattes. Ses fesses blanches sont magnifiques avec leur trace de bronzage. Je fais glisser mon sexe sur la fente, sur sa raie, et redescend pour le tapoter contre son abricot. D’une main elle écarte la bas d’une fesse et m’incite à la pénétrer. Mon gland vient se placer entre ses lèvres. J’ai l’impression qu’il est énorme tellement il est excité. Je me presse contre ses fesses et coulisse délicieusement en elle. Son sexe m’enserre fermement. Je glisse en elle jusqu’à plaquer mon bassin contre ses fesses, que je saisis par le côté pour pénétrer encore plus profondément…


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19-02-2022 3 656

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