Ma femme, ivre, se laisse séduire.

Récit érotique écrit par mazaudier le 15-06-2022
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Catégorie Infidélité

Cette histoire s’est passé, il y a deux ans, alors que nous étions invités, mon épouse et moi, chez des amis aux Saintes Marie de la mer. Je me Prénomme Pascal, j’ai trente quatre ans, et Karine, ma ravissante épouse, vingt neuf. Nous sommes mariés depuis deux ans maintenant. Je dois vous dire que ma femme adore le sexe, et que je ne peux assouvir tous ses fantasmes, n’étant pas porté sur la chose. Aussi, je lui accorde une totale liberté sexuelle. N’ayant pas un physique bien attirant, j’ai accepté tout ses écarts, jusqu’à recevoir des amants à la maison. Il n’est pas rare, lors d’une fête, qu’elle s’absente une demi-heure, pour aller se faire baiser par un inconnu. La dernière fois, c’était lors de la kermesse des écoles. Alors que je la cherchais, je l’ai trouvée en train de se faire enfiler sur le capot d’une voiture. Elle proposait au mec de l’enculer, quand elle ma vue. Elle m’a fait les gros yeux, de l’avoir déranger. Mais je l’adore, et bizarrement, elle aussi malgré ses infidélités. Nous arrivons chez nos amis Angelo, Marisa, la quarantaine, et leur fils Chicot, dix huit ans. Ils sont issus d’un famille gitane, très connu dans le coin. Je ne savais pas, à ce moment là, que le malheur était dans l’air. Pourtant, tout avait bien commencé. Après une savoureuse gardiane de taureau, nous étions aller promener dans les marais, admirais les troupeaux de taureaux, de chevaux, le tout sous un magnifique vol de flamands roses. Puis, nous avons visités la ville, l’église Sainte Sarah, la vierge noire, nous avons marchés sur les plages de sable fin, arpentes les rues, c’était la fête partout. Nous étions accompagnés au son des tambourins et des violons. Karine, folle de danse, prenait le rythme, faisait la farandole, sautait d’un pied sur l’autre. Les gens s’arrêtaient, tapaient dans les mains, l’encourageaient. Certains venaient la toucher. Elle était le clou du spectacle. Le problème, c’est que très souvent, nous nous arrêtions dans un bar, ou une terrassa de café, pour ses désaltérer. Je me souviens, dans un bar, elle s’est absenté pour aller aux toilettes. J’ai vu un homme d’un certain âge rentrer derrière elle. Je n’y ai pas prêté attention. Elle a du rester un bon quart d’heure. Quand elle est revenu, je l’ai vu s’essuyer les lèvres, et l’homme derrière elle, souriant, remontait sa braguette. Il pendit un objet à la pompe à un doseur de whiskie. Je m’approchais, et reconnu la culotte de ma femme. A table, discrètement, elle saisit une serviette et glissa sa main sous la table. Je me penchais, et la vit, sa robe retroussée à la taille, jambes écartées, en train d’essuyer sa chatte. La salope s’était faite branler. Le soir, on était invités à une soirée gitane, avec pour seul éclairage, des feux de camp, allumés ça et là. Le son des guitare résonnaient dans la clairière. Les jeunes gitanes en robe traditionnelle, se déhanchaient au son d’un flamenco. Ma femme, déjà bien éméchée, se jeta sur la piste de terre, et se mis au rythme de la danse. Les gens avaient un cercle, tapaient des mains pour l’encourager. Soudain, la danse allait se terminer, qu’une femme arriva derrière elle, prit le bas de la robe, et la fit passer par dessus la tête de Karine. Celle-ci n’avait rien dessous, et se retrouva entièrement nue, devant les yeux émerveillés de la communauté gitane. - Ouah...quelle est belle, vantait l’assistance. Karine ne se démonta pas, et accepta l’invitation du patriarche, soixante dix ans, bien sonnés, qui l’invitait à venir s’asseoir sur ses genoux. Karine me regardait en souriant. Elle s’assit, passa ses bras autour de son cou, et l’embrassa sur la joue. Pendant ce temps, la main du vieux s’était mis en quette de recherche. Elle arpentait le corps de ma femme, les seins, le ventre, puis les endroits plus intime, comme la chatte, ou le petit trou. Lentement, les doigts écartèrent , et pénétrèrent les lèvres intimes, arrachant les premiers gémissements à mon épouse. Puis ce fut autour du clitoris, qu’il décalotta entièrement, pour mieux le doigter. Karine gémissait de plus en plus fort, sa respiration s’accélérait. Elle se tordait, se cambrait sur les doigts qui la faisait jouir maintenant. Soudain… - Oh oui...je jouis, hurla-t-elle...encore...bien sur mon clito...ah… Karine eut un orgasme terrible, que je lui ai jamais connu à ce jour. Elle fût ovationné par les invités qui assistaient au baptême du feu de ma ravissante épouse. - C’est la tradition, me dit Angelina, ne prends pas ça pour de l’infidélité. Je me retournais juste pour accueillir ma femme dans mes bras. - Oh mon chéri...si tu savais comme c’était bon...quel vicieux...t’es pas fâché ? - Heu...mais non ma chéri, un peu surpris de leur tradition. - Je t’aime mon amour...on peut rester encore...j’ai tellement envie de danser. - Vas-y ma chérie...amuses toi… Angelo me prit par l’épaule, m’entraîna à une caravane ou il y avait des boissons. Il m’offrit une bière. - Tu sais Pascal, si ta femme avait été moche, il ne serait rien passé. Mais quand la jeune gitane lui a ôté sa robe, et qu’ils ont vu cette superbe femme, mon vieux n’a pas pu résister. - Et là...il est rentré se couchait ? - Penses-tu il doit être sous une tente en train de se faire sucer. Depuis qu’il a perdu sa femme, il a juré qu’il ne baiserait plus jamais aucune femme. Mais s’amuser avec la chatte d’une jeune femme, ou se faire tailler une pipe de temps en temps, il aime bien. Surtout avec les femmes mariées, qu’il juge être insatisfaites. - Mais la mienne est satisfaite...enfin, je crois. - L’as-tu déjà faite jouir comme lui la fait ? - J’avoue que non...il est très doué pour ça...mais au fait...ou est mon épouse. - Laisse tomber...trinquons. J’ai l’impression que tout est fat pour m’éloigner de ma femme. - Alors Pascal, me dit Angelina, ça va ? Je pensais pas ta femme si chaude. Tu as entendu comme elle a crier quand il l’a faite jouir. Elle a vraiment aimé se faire branler et se faire doigter son petit bouton....Il est très doué pour ça le vieux. Il me le fait de temps en temps ce salaud, tu l’entendrai rire quand j’atteins l’orgasme. - Quel salaud...ma femme m’a fait voir son clito, il était tout rouge tellement il l’a doigtée...au fait, tu l’aurai pas vu ma femme. - Si, Chicot l’a emmené poursuivre la fête dans une bodéga en ville. Je te rassure, elle avait remis sa robe, maintenant, est-ce qu’elle la toujours, c’est moins sur. Belle comme elle est, je pense qu’elle va se le faire mettre grave. Et je connais les mecs, ils sont montés comme des taureaux, ce qui n’est pas ton cas, d’après ta femme. Elle va s’en prendre plein la chatte. Et est-ce quelle aime le sperme ? - Je sais pas, elle ne m’a jamais sucé. - A bon...parce que là bas, elle va en tailler des pipes, et tout avaler. Vers quatre heures du matin, une voiture s’arrêta devant la porte. Karine en sortit, accompagnée de deux mecs. Elles les invita à prendre un verre. Ma curiosité fut mise en éveil, quand j’entendis des bruits provenant du salon. J’entre baillais la porte, et la vis empalée sur la bite d’un, tandis qu’elle suçait l’autre. Je me retirais quand ils engageaient une double pénétration. Je fus obligé de boucher mes oreilles pour ne pas entendre ses cris de plaisir. Le lendemain, Angelina avait organisé une paella dans la cour de l’hacienda. Une trentaine d’invités était présent. Après un apéro, ou mon épouse s’était encore fat remarquer, Un groupe de gitans joua quelques morceaux. C’est là que j’aperçus Karine sur les genoux du vieux. J’entre voyais sa robe enroulée à sa taille, et le doigt du patriarche parcourir sa fente, avant de s’y introduire. Karine écarta elle même sa culotte, qui, par miracle, était encore en place. Juste après avoir joui, Angelina proposa de passer à table. Celle-ci avait organisé un tirage au sort, pour que les convives soient mélangées, afin de faire connaissance. Karine se trouvait à côté de Chicot, moi à l’autre bout de la table, avec Angelo. Je voyais Chicot murmurait à l’oreille de ma femme, qui éclatait de rire. Je la voyais acquiescer de la tête...à quelle question ? Je ne pouvais le savoir, puis je compris en voyant le gras de Chicot, disparaître sous la table. Cinq minutes plus tard, je vis mon épouse fermer les yeux ; pencher sa tête en arrière, puis porter sa serviette à sa bouche, comme pour étouffer un cri. Je me penchais et regardais sous la table. Il était tout simplement en train de doigter son clito, et de lui branler la chatte. Il ressortit sa main avec la culotte de Karine, avec laquelle il avait essuyé son minou plein de mouille. Je lis le mot « Salaud » sur les lèvres de mon épouse. Puis il lui prit la main, et la força à la glisser sous la table. Je me baissais à nouveau et voyais la queue décalottée de Chicot coulisser entre les doigts de Karine. Soudain, je vis la tête de mon épouse apparaître, et prendre la bite en bouche. Elle se mit à lui pomper le dard, jusqu’à ce qu’il éjacule. Elle garda la queue en bouche, jusqu’à ce qu’il est fini de vider ses grosses couilles. Elle avala tout, nettoya le gland, et se releva. Personne n’avais rien remarqué. Après le repas du soir, je cherchais mon épouse, pour passer au moins une nuit avec elle. Mais elle avait décidé de la passer avec Chicot. Je les vis en ombre chinoise, à travers la fenêtre de la caravane. Ils étaient en train de s’embrasser farouchement. Je pris mon visage à deux mains, me mis à pleurer. Soudain, une main se posa sur mon épaule...Angelina. -Tu devrais allait te coucher, me dit-elle. Je connais mon fils, il va la baiser toute la nuit. Quand elle va rentrer, au petit matin, épuisée, les yeux cernés, c’est là qu’il te faudra prendre une décision. Angelina me prit le bras, et m’emmena dans sa caravane.



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15-06-2022 0 12174

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