Les nuits avec ma soeur

Récit érotique écrit par Odan le 18-10-2023
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Catégorie Inceste

               J’ai toujours rêvé de baiser ma sÅ“ur. Elle a dix ans de plus que moi, et elle est la source de mes premiers émois érotiques. Quand j’étais petit, vraiment petit, deux ou trois ans, elle m’emmenait avec elle pour prendre son bain, et me lavait en même temps. Elle a arrêté de faire ça quand j’ai eu sept ou huit ans. Quand les choses du sexe ont commencé à m’intéresser, vers douze ans, elle en avait donc vingt-deux. C’était une fille assez libre, qui multipliait les petits copains, mais comme elle ne voulait pas que les parents le sachent, je lui servais souvent de caution : du coup, nous allions faire des courses ou nous promener, et en réalité, elle retrouvait des mecs dans des endroits variés – chambres de bonnes, appartements prêtés, mais aussi caves ou abris de jardin. Evidemment, j’étais censé aller traîner ailleurs ; mais assez souvent, je me planquais pas loin, et je venais observer le plus souvent possible. Je ne voyais pas grand-chose, mais cela m’excitait au plus haut point. J’entendais ses gémissements, ses petits cris, parfois je voyais une forme, un bout de sein. Elle le savait pertinemment, mais dans le fond, ça ne la dérangeait pas. Une fois, dans le petit appartement d’une de ses copines, je réussis à rester : il pleuvait, j’avais froid, je ne voulais pas ressortir. Elle accepta que je reste dans une chambre à côté de celle où elle allait s’envoyer en l’air, en me disant d’être discret, et de lire ou d’écouter de la musique avec un casque. Mais elle oublia – volontairement ou non ? je ne sais pas – de fermer la porte, de sorte que je pus tout mater ; très vite je me mis à me branler en la voyant chevaucher un mec du coin ; elle était de dos, je voyais ses fesses monter et descendre, et je l’entendais gémir de plus en plus fort. J’éjaculai dans ma main, et quand elle vint me rejoindre pour quitter l’appartement, elle me regarda bizarrement. M’avait-elle vu, avait-elle su, avait-elle voulu que je la voie ? A vingt-cinq ans, elle a trouvé un mec et a déménagé. Comme ce mec était un con fini, ils se sont rapidement brouillés avec tout le monde, et on ne les a plus vus.

               Quelle n’a donc pas été ma surprise quand, il y a une semaine, elle m’a appelé. J’ai aujourd’hui vingt-deux ans, et je fais des études à Paris. J’ai donc répondu à un appel inconnu, mais immédiatement, j’ai reconnu sa voix. Elle voulait me voir, rapidement. Je lui ai donc dit de venir chez moi, dans la piaule dans laquelle je crèche, mais elle ne voulait pas. Elle m’a indiqué une adresse, et on a convenu de s’y retrouver vers 19 heures. C’était un hôtel miteux, dans un quartier assez glauque. Elle m’attendait dans le hall ; elle avait l’air fatiguée, vieillie – je ne l’avais pas vue depuis sept ans… On a quitté l’hôtel pour s’installer dans une pizzeria pas beaucoup plus reluisante que l’hôtel… Manifestement, elle était dans la dèche. Elle avait plaqué son connard quelques mois avant, s’était tirée, mais elle ne voulait pas qu’il la retrouve… Son récit était embrouillé, tout cela avait l’air un peu louche et elle ne me disait manifestement pas tout. Elle me demanda si elle pouvait venir dormir chez moi. Sauf que, chez moi, c’est une piaule d’étudiant, avec un lit simple et un minuscule espace salle de bains. Mais évidemment, je ne pouvais pas refuser, surtout pour ma sÅ“ur chérie. Elle est donc remontée rapidement à l’hôtel, en est revenue avec un sac dans lequel elle n’avait que quelques affaires, presque rien, pas de valise. Une fois chez moi, elle a voulu prendre une douche, et avant que je réponde quoi que ce soit, elle s’est foutue à poil et est entrée dans la douche qui n’est pas fermée. Elle a cherché un rideau, mais je lui ai dit : tu sais, je suis seul ici, le vieux rideau pourri, je l’ai viré, je n’en ai pas besoin… Oui, évidemment, mais du coup, elle s’est douchée longuement, prenant manifestement plaisir à l’eau brûlante qui l’apaisait, qui glissait sur son corps. Elle est toujours magnifiquement foutue, ma frangine ! Des seins qui tiennent tout seuls, et qui vous narguent de leurs jolies pointes roses, une chatte rasée sous un ventre plat, musclé – elle a toujours été sportive – et des jambes à vous faire perdre la tête. Et une chevelure blonde épaisse, qui dégouline sur ses épaules, sur son dos, jusqu’à son cul ferme et rond, un cul à damner un saint ! je crois qu’elle m’avait presque oublié, quand elle s’est soudain rendue compte que j’étais assis sur le lit, à quelques mètres d’elle. J’essayais de ne pas trop la regarder directement, mais bon, c’était pas facile et très tentant ! Ca va, tu t’es bien rincé l’œil ? Eh, soeurette, je suis désolé, mais la chambre est petite, je n’ai pas un palace à t’offrir, et franchement, t’es grave bandante… Ah oui ? et tu bandes, là ? après tout, tu me mates à poil depuis dix minutes, j’ai bien le droit de voir moi aussi : enlève ton pantalon. Elle n’avait pas tort, mais c’était tout de même un peu gênant… et très excitant aussi. Donc je retirais mon jean, et comme elle faisait un signe de tête pour que j’enlève aussi mon boxer, je me mis à poil. Pour sûr, je bandais : mon sexe est sorti de sa boîte d’un coup, raide, épais, tendu, nervuré… Ah oui, quand même, fit-elle en me regardant et en s’esclaffant ! Tu devais être méchamment serré… Elle prit une serviette et commença à s’essuyer, tout en regardant ma bite qui ne dégonflait pas du tout. Tu sais quoi, tu devrais te soulager, parce qu’à mon avis, si tu restes comme ça trop longtemps, ça va finir par être douloureux. Oui, pourquoi pas, mais… tu voudrais pas m’aider ? T’aider ? tu crois pas que j’en aie fait assez en étant à poil ? Ben justement, c’est un peu de ta faute, alors je crois que, pour te racheter en quelque sorte, tu pourrais m’aider : la main, je t’en demande pas plus, mais au moins ça, quoi… Elle me regarda longuement, pour la première fois souriante depuis qu’on s’était retrouvés. Et son sourire, franchement, ça m’avait manqué. T’as pas de copine ? Non. Et depuis quand t’as pas baisé ? Ben, plusieurs mois… Plusieurs mois ? ça doit te manquer ! C’est sûr, oui, alors bien sûr, je me branle de temps en temps, mais ça remplace pas. Plusieurs mois, putain ! Et elle vint s’asseoir à côté de moi, nue, me demandant de retirer le t-shirt que j’avais gardé. Je me retrouvais là, nu, le sexe bandé à mort, à côté de ma frangine, nue aussi, toujours aussi belle, absolument sublime en fait, et elle prit mon sexe dans sa main, le serrant doucement. Mmmh, j’adore, c’est tout chaud et tellement dur… Elle caressa doucement mon sexe, puis cracha dans sa main pour me reprendre et faire glisser ses doigts le long de ma tige. Je m’étendis à moitié, et elle s’installa mieux elle aussi, me caressant les couilles, bien pleines, avec son autre main. Quand je voulus lui caresser les seins, elle s’écarta : eh, pas touche, je suis ta sÅ“ur, quand même ! je te branle, ok, mais c’est tout. Elle reprit son geste, me serrant très fort et me caressant en même temps : c’était délicieux. Je sentais ses cheveux caresser mon ventre, je sentais son odeur mêlée à celle du savon, et plus que tout, je la voyais attentive à mon sexe, je voyais ma sÅ“ur penchée sur moi, regardant les soubresauts de ma bite dans sa main, ses yeux sur moi, ses cheveux sur moi, ses seins au-dessus de moi… J’allais bientôt tout cracher, je le lui indiquai pensant qu’elle allait s’écarter, mais pas du tout ; elle s’approcha de moi et me fit juter sur ses magnifiques seins. Puis elle se redressa, me regarda, et étala mon sperme chaud sur sa poitrine en se passant la langue sur les lèvres ! Alors, petit frère, ça t’a plu ? Et sans attendre ma réponse, elle se nettoya et se glissa sous la couette : je suis vannée, je vais dormir. Je fis de même, en enfilant d’abord le t-shirt avec lequel je dormais. Mais c’était un lit une place, et elle était nue. Quelque position que je prenne, je me trouvais ou la bite coincée entre ses fesses, ou une main sur un de ses seins… Alors qu’elle s’était endormie sans tarder, autant dire que j’eus du mal à trouver le sommeil. Et quand au petit matin, comme tous les matins, ma bite se mit au garde-à-vous, au lieu de ne trouver que le contact de la couette, elle se heurta à un cul chaud et rebondi. D’ordinaire, ça ne me réveille pas ; mais là, rien à faire. J’avais le sexe tendu, j’étais collé au corps dénudé, chaud, souple, de ma frangine, qui dormait encore, nos jambes emmêlées, de sorte que sa chatte s’offrait presque à mon sexe, et si je cherchais à bouger pour me dégager, alors ma main ne pouvait s’agripper à rien d’autre qu’à son bras et de la sorte, découvrir davantage encore l’un de ses seins. J’étais tétanisé : je n’osais pas bouger, je bandais comme un cheval, mais je ne pouvais me résoudre à fermer les yeux devant le spectacle qui m’était offert : sa peau légèrement hâlée, ses seins si ronds, ses cheveux épars, son cul, ses cuisses… Elle bougea en essayant de se retourner, de sorte qu’une de ses mains atterrit directement sur mon sexe tremblant, et sa poitrine vint se coller à la mienne. J’avais un bras coincé sous elle, et le seul mouvement que je pouvais opérer consistait à le relever doucement, pour finir par le poser… sur une de ses fesses. Elle finit par se réveiller doucement, sa main toujours posée sur mon sexe toujours tendu… Dis-donc, frérot, quelle forme le matin ! dit-elle en riant et en caressant paresseusement mon sexe érigé. J’adore me réveiller avec une belle bite dans la main, mais là, je suis servie. Je pressais sa fesse machinalement avec ma main, comme pour la coller davantage à moi. Oh, monsieur est entreprenant… Comme elle ne se dégageait pas, je fis glisser ma main entre ses fesses, continuant à la caresser comme elle-même le faisait avec moi. Elle ne broncha pas, pressant ses beaux seins sur moi et serrant sa main sur ma bite. Je fis glisser un doigt entre ses fesses, je cherchais sa chatte. Plus bas, me susurra-t-elle… J’allais plus bas, et trouvais en effet sa fente entr’ouverte, et humide. Elle était d’humeur sensuelle, semblait-il, j’en profitais. J’introduisis un doigt, elle recula ses fesses pour me rendre l’accès plus aisé, tandis qu’elle me branlait maintenant carrément. Attends, fit-elle. Elle se releva, me fit m’allonger et vint au-dessus de moi, en 69 : je pensais qu’elle allait continuer à me branler mais, tandis qu’elle positionnait sa vulve juste au-dessus de ma bouche, elle se pencha et commença à me sucer. Je faillis éjaculer de surprise. Oh, tout doux, pas si vite ! Je repris le contrôle, et vint prendre sa chatte avec ma langue. Elle avait un goût très inattendu : une sorte de mélange de miel et d’épices, quelque chose de très sucré, un peu fort. Je la lappais avec appétit, lui écartant les fesses avec les mains, lui palpant le cul, et enfonçant ma langue en elle comme un petit sexe. Elle avait l’air d’apprécier, en tout cas, elle gémissait bruyamment. Et elle n’était pas en reste sur moi, me gobant jusqu’au fond, me palpant les couilles et l’anus, m’entortillant la langue autour de la bite : c’était une aspiration incroyable, c’était ma sÅ“ur qui me pompait le dard, ma frangine adorée en train de me baiser, et en train de se laisser baiser. Il y avait entre nous une connivence, une harmonie qui datait de l’enfance, et alors même que nous nous baisions mutuellement, nous retrouvions comme une fusion perdue. Elle se redressa pour gémir très fort, serrant très fort ses jambes autour de ma tête, dans un râle assez rauque. Puis elle s’effondra à moitié, coincée entre mon corps et le mur. Elle avait lâché mon sexe et reprenait son souffle. J’en profitai pour changer de position à mon tour, et tandis que je bougeais, elle s’allongea sur le ventre ; je me plaçai donc au-dessus d’elle, et fit glisser ma bite dans sa chatte trempée. Elle se cambra pour que je la pénètre mieux, acceptant mon sexe en elle, l’appelant de ses fesses écartées. Je la ramonais avec application, avec fougue, avec joie, avec brutalité et douceur, avec violence et passion, mon sexe la fouillait, cherchant au fond du sien toutes les parois émues, vibrant avec le sien dans chaque mouvement ténu ; je la prenais en m’accrochant à ses hanches, à son cul sublime ; elle secouait la tête et ses cheveux emmêlés et touffus formaient une sorte de crinière sauvage et superbe. Je ne savais plus où j’étais, quelle cérémonie cruelle et primitive j’accomplissais, j’avais atteint une transe fusionnelle, dans laquelle ma sÅ“ur et moi n’étions qu’un corps de plaisir et d’extase, un corps trempé de sueur et de désir, un corps dont chaque vibration qui émanait de l’un faisait trembler l’autre de la tête aux pieds, et chaque tremblement de l’autre se répercutait dans les os et les nerfs de l’un. Quand enfin j’atteignis l’orgasme, quand je déchargeais puissamment mon foutre au fond de son ventre brûlant, en plusieurs saccades que je ne contrôlais pas, elle cria un oui de jouissance qui dut réveiller tout le voisinage. Nous nous écroulâmes ainsi, mon sexe encore en elle, trempés, gluants, heureux. Tu sais, lui murmurai-je à l’oreille, combien j’ai rêvé de te baiser, pendant toutes ces années où tu me traînais avec toi ? Bien sûr que je le sais, j’adorais savoir que tu bandais à côté, ou imaginer que tu te branlais… Tu sais combien tu m’as manqué, depuis ton départ ? Moi aussi, frérot, ça m’a manqué de savoir ton désir ; je crois que des fois, je me tapais un mec juste pour que tu te rinces l’œil, juste pour savoir que tu t’astiquais en m’écoutant… et depuis, franchement, le sexe sans toi, c’était moins fun ; mais j’avoue, je n’imaginais quand même pas que j’irai si loin dans le sexe avec toi… Tu regrettes ? T’es fou ? regretter quoi ? que tu m’aies faite jouir comme une folle, regretter ta bite de compétition ? pas une seconde, on est peut-être dingue, mais j’ai adoré, j’ai adoré te sucer, j’ai adoré te sentir éjaculer au fond de moi, et plus que tout, j’adore ton regard sur moi : je me sens belle. Pendant qu’elle parlait, je m’étais doucement décalé, et mon sexe encore gluant d’un mélange de sperme et de cyprine, mais ramolli, était sorti de son fourreau. Elle se retourna et se redressa pour me regarder. J’avais la tête à hauteur de son ventre, et elle s’était reculée, ses seins me faisant face. Elle me regardait avec l’infinie tendresse de ma grande sÅ“ur qui m’avait bercé si petit, lavé, changé, et elle lisait dans mon regard tout l’amour que j’avais pour elle, mais aussi quelque chose de plus, quelque chose de nouveau, qu’elle ne connaissait pas chez moi : eh, je crois que mon petit frère est vraiment devenu un homme ! quand tu me regardes comme ça, je te vois comme l’adorable bébé grincheux que tu étais, et je vois en même temps un homme que mes seins excitent, un homme dont le désir remonte déjà… Elle ne se trompait pas, ses cheveux couvrant ses épaules, ses seins si arrogants, cette femme dans la petite trentaine nue devant moi, qui venait de jouir, et qui me regardait avec une telle tendresse, cela m’excitait au plus haut point. Je me levais, et mon sexe de nouveau grossi, gonflé de désir, lui fit face. Elle le caressa, s’avança, le reprit dans sa bouche, le nettoyant des marques du plaisir passé, puis elle se leva à son tour, collant ses seins contre moi : frérot, j’adorerais que tu me baises encore, là, maintenant, j’adorerais venir sur toi, j’adorerais t’offrir mon petit trou, mais on va retarder ce moment délicieux. J’ai plein de trucs à régler, tu m’en as donné le courage, il faut que je fasse ça. Elle sortit de son sac les quelques vêtements qu’elle avait emportés, presque rien, enfila un jean hyper serré sans même mettre de slip, un t-shirt moulant sur sa poitrine dressée, prit son blouson, mit ses chaussures, me taxa quelques billets et disparut. Je ne la vis pas pendant plusieurs jours, pensant même qu’elle avait de nouveau disparu ; certes, elle avait laissé son sac, et même ses papiers, mais il n’y avait tellement rien là-dedans que j’étais pessimiste : dans quelle galère était-elle, que pouvais-je faire pour elle ?

               Elle réapparut aussi soudainement qu’elle avait disparu, il y a deux jours. Elle était maquillée, habillée avec classe, et commença par me rendre ce qu’elle m’avait emprunté en y ajoutant la même somme. Je n’y comprenais pas grand-chose. T’occupe, ne pose pas de questions, et profite. On sort, ce soir, ça te va ? Bien sûr, on va où ? On va au concert, habille-toi. Elle m’emmena dans une boîte de jazz très sympa, paya tout, puis me dit : écoute, je ne veux pas que les parents sachent que je suis revenue – tu ne leur as rien dit ? non, je n’avais rien dit – et je ne vais pas non plus squatter dans ta piaule : c’est vraiment très petit. Je te propose plutôt l’inverse : j’ai un appartement assez grand – t’occupe pas, c’est à moi – et tu y seras beaucoup mieux. Et, au moins pour quelques nuits, peut-être pas pour toute la vie, je te propose aussi mon lit, un grand lit… Difficile de refuser… Je ne posais pas de questions, je fis comme elle me le disait, et le soir-même, je débarquais dans un appartement assez luxueux. Le lit était grand en effet, autrement confortable que ma paillasse d’étudiant fauché, et je m’y vautrais avec délice. Je me prépare, me dit-elle… ça valait le coup d’attendre : elle me rejoignit seulement vêtue d’un collier de perles dont je préférais ne pas imaginer le prix, délicatement parfumée, sublime et féline, à la fois aguicheuse et douce, sensuelle et simple, et quand elle grimpa sur le lit, elle fit immédiatement battre mon cÅ“ur à un rythme soutenu. Je l’attendais nu, moi aussi, mais je me sentais si simple et modeste, face à elle. Mais mon sexe ne m’abandonna pas, donnant immédiatement à ma mise une tournure plus haute, plus ferme, plus tendue. Je suis déjà trempée tellement j’ai envie de toi, me dit-elle, ne bouge pas, laisse-moi venir sur toi. C’est ce qu’elle fit, faisant glisser mon membre chaud en elle avec une déconcertante facilité. Et elle commença sur moi une danse endiablée, ses seins virevoltant sous mon nez, ses seins que je massais, que j’embrassais, que je tétais avec ardeur, ses cuisses serrées autour des miennes, ses cheveux comme des chevaux sur sa tête, courant en tous sens, son regard perdu, ailleurs, intérieur, son souffle de plus en plus rauque. Elle ne s’occupait pas du tout de moi, elle était comme venue s’empaler sur une source d’énergie qui la traversait, à laquelle elle puisait sans réserve, et plus mon sexe grossissait en elle, plus elle s’enfonçait sur lui avec rage, plus elle prenait force et vigueur, belle comme jamais elle n’avait été ; elle ne gémissait plus, elle criait ; elle ne criait plus, elle rugissait, elle feulait, elle hurlait à la lune comme une meute de loups, elle était un soleil en feu au-dessus de moi, une femme en extase. Et de là où j’étais, j’admirais ma sÅ“ur, ma si belle grande sÅ“ur, ma sÅ“ur délicieuse aux seins dressés, ma sÅ“ur adorée à la vulve enflammée, tous ses muscles serrés sur mon sexe tendu, sur le plaisir qui m’envahissait à mesure qu’il la dévastait, et quand elle fut traversée par l’orgasme, soudain silencieuse comme le sont les tempêtes à leur paroxysme, quand son corps ne fut plus qu’un infini tremblement, quand sa cyprine abondante se mit à me couler sur les cuisses tandis qu’elle était en apnée, la bouche ouverte, les yeux presque révulsés, je sus que jamais aucune femme ne me ferait jouir comme elle me faisait jouir, je sus que jamais aucune femme ne m’aimerait comme elle m’aimait, et que jamais aucune femme ne serait à moi comme elle était à moi en ce moment, entière, abandonnée, offerte. Et ce sentiment était si puissant qu’il me fit décharger en elle, accroissant encore de ce jet brûlant l’orgasme qui l’avait foudroyée.

               Revenue à elle, elle me reprocha de ne pas m’être retenu : je t’avais promis mon petit trou, fit-elle en minaudant… Je n’y ai pas renoncé, lui répondis-je avec assurance. Ce fut la plus brûlante nuit de sexe de mon existence : combien de fois cria-t-elle ? sur quelle partie de son corps, dans quelle partie de son corps n’épanchai-je pas ma semence ? où ses mains me trouvèrent-elles ? où ma langue la lécha-t-elle ? Nous mangeâmes par intermittence, nous bûmes sans le savoir, nous nous endormîmes encastrés, nous nous réveillâmes empalés, je crus avoir une vulve, elle crut me prendre avec mon sexe ; le matin, elle était pâle et bleue, cernée et épuisée ; j’étais fatigué et vidé, flasque et atone. Je nous fis couler un bain brûlant, dans lequel nous restâmes longtemps en silence, enlacés. Elle commanda à manger et nous reprîmes petit à petit quelques forces.

               Alors elle décida de me raconter ce qu’avait été sa vie, parce qu’avant de décider de ce que nous ferions plus tard, il fallait que je sache par où elle était passée.

               Ce sera un autre récit.



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