J’aime regarder les filles qui marchent sur la plage

Récit érotique écrit par Odan le 24-11-2023
Récit érotique lu 514 fois
Catégorie Partouzes-Orgies

J’aime regarder les filles qui marchent sur la plage

Leurs poitrines gonflées par le désir de vivre

 

Vous connaissez sûrement cette chanson. Moi, elle me fait fantasmer depuis toujours, si bien que j’ai pris l’habitude de ne fréquenter que les plages naturistes. Et vous savez ce que c’est : il y a les plages naturistes « familiales Â», et puis il y a les autres. Et dans les autres, c’est assez simple aussi : il y a les plages homos, et les plages hétéros, même si c’est parfois – et tant mieux – mélangé. Dès que le soleil commence à réchauffer le sable, je vais régulièrement à la plage. Non seulement j’adore être nu en plein air, sentir le soleil me caresser doucement, mais encore je ne déteste ni être vu, regardé, et parfois même évalué, je le vois bien, ni voir, regarder, et parfois même évaluer, je dois l’avouer… Et si je sais bien qu’il n’y aura pas à chaque fois une occasion à saisir, il y a toujours une excitation latente qui est toujours un plaisir.

Le plus souvent, il ne se passe rien. Je m’étends nu sur la plage, je regarde, je me caresse distraitement, j’ai le sexe encore à moitié mou. J’aime sentir le soleil sur mon ventre, sur mes cuisses, j’aime sentir mes boules réchauffées. Si j’ai trop chaud, je vais me baigner dans l’eau parfois très fraîche, et je remonte ensuite la plage vers ma serviette, lentement, en observant et étant observé. Je n’hésite pas à regarder très directement. Beaucoup sont là pour ça, aiment être vus et vues, et je ne vois pas pourquoi je priverais de prendre ce plaisir et de le donner.

Des fois, c’est plus chaud. Souvent, les couples qui ont envie de sexe s’installent dans les dunes. Je vais m’y promener, je regarde. Une femme caresse le sexe d’un homme, ça reste très sage, ils s’arrêtent quand on s’approche, ils veulent rester discrets. Là, la caresse est plus franche, la femme s’est penchée sur l’homme, elle a pris son sexe dans sa bouche. Ceux qui veulent qu’on s’approche font un signe ; avec les autres, il faut rester à distance, ne pas gêner. Il y a parfois des femmes seules, à l’écart, dans les dunes, et si un homme qui passe leur plaît, elles font un signe ; elles sucent parfois, elles se font prendre d’autres fois. C’est beaucoup plus rare, mais ce sont des fois plusieurs hommes qui sont invités…

J’ai rencontré un couple, une fin d’après-midi. L’homme caressait la chatte de sa femme ; quand je les ai aperçus, elle m’a fait signe de m’approcher. Je suis donc allé vers eux. L’homme ne m’avait pas vu, j’étais dans son dos. La femme s’est redressée, écartant les jambes pour que l’homme continue à la caresser, et éventuellement la lèche ; et elle a tourné la tête vers moi, pour prendre ma bite dans sa bouche. Une fois que j’ai été bien dur, elle s’est mise à quatre pattes pour que l’homme la prenne par derrière, tandis qu’elle continuait à me pomper le dard. Il s’est mis à la pilonner fermement, tant et si bien qu’elle a été obligée de me lâcher pour gémir très fort, avec l’orgasme qui venait. Lui accélérait encore son mouvement, et elle a crié très fort. Plusieurs hommes se sont approchés, qui se branlaient, leur bite dressée dans la main, une très courbe, une autre assez grosse mais courte. La femme était très excitée de voir tous ces sexes d’hommes qui étaient comme un hommage. Le mec continuait à la pilonner sans relâche. Elle a repris ma bite dans sa main, puis m’a demandé de lui gicler sur le visage. Quand je suis venu, elle a ouvert la bouche pour en prendre le maximum. Puis l’homme et elle se sont vaguement nettoyés, et sont partis.

Une autre fois, c’est une femme qui est venue vers moi, alors que j’étais sur la plage et non dans les dunes. Elle m’a dit qu’elle m’avait déjà vu, qu’elle aimait beaucoup la forme de mon sexe – il n’a rien de particulier – et qu’elle aimait quand je me caressais et que mon sexe était dur. Elle avait de beaux seins lourds, était très bronzée. Elle s’est levée, je l’ai suivie. Une fois dans les dunes, elle s’est allongée pour que je la prenne, d’abord en missionnaire, puis en levrette. Quand elle a senti que je risquai de venir, elle m’a fait m’allonger pour me chevaucher. Ses seins ballotaient au-dessus de moi à chacun de ses mouvements, et elle m’avait complètement oublié ; elle prenait son pied sur moi sans se soucier de qui regardait ou pas. Il y avait un couple, qui s’était arrêté, et l’homme regardait pendant que sa femme le branlait ; et plusieurs hommes, bite en main. Au bout d’un moment, j’ai giclé en elle puissamment et je crois qu’elle a aimé sentir mon foutre chaud dans son ventre. Quand elle s’est dégagée, mon sperme lui coulant sur les cuisses, elle est allée directement à l’un des hommes, qui avait un très gros sexe, et lui a demandé de la finir… La femme qui regardait avec son mari est venue me lécher, me faisant presque immédiatement rebander, et elle m’a demandé si je voulais bien la prendre devant son mari. Le mec était d’accord ; je l’ai culbutée là, sans autre façon. Elle n’était pas belle ni jeune, mais la situation était très excitante. L’autre femme, celle aux gros seins, a crié très fort quand le mec à la belle bite l’a enculée. Les autres hommes nous entouraient, ils se branlaient, et plusieurs ont éjaculé sur le sable.

Récemment, j’ai trouvé dans les dunes un petit couple, des jeunes. Je crois que c’était la première fois qu’ils faisaient l’amour dans la nature. Ils avaient l’air timides, je me suis écarté. Mais l’homme m’a rappelé : ils voulaient savoir ce que ça faisait de faire l’amour en étant regardés, mais ils avaient peur qu’il y ait trop de monde. La fille m’a demandé si je voulais bien les suivre chez eux, ils avaient loué un bungalow pas loin. Une fois chez eux, je me suis installé dans un fauteuil en me branlant tranquillement, pendant qu’ils se caressaient sur le canapé. Régulièrement, la fille jetait un coup d’œil dans ma direction. Je crois que le mec était très excité, et elle plutôt gênée. Mais ce qui devait arriver arriva : à peine entré en elle, le mec a tout lâché, alors qu’elle était très loin de l’orgasme. Il était rouge, confus, a commencé à s’excuser. Tant pis pour toi, lui a-t-elle dit, et elle s’est approchée de moi. Je peux, m’a-t-elle dit en m’enjambant, puis en glissant mon sexe bien dur en elle et en s’asseyant ainsi sur moi. Elle était délicieusement serrée. Une vraie jeune chatte sans trop d’expérience. J’ai empaumé ses petits seins durs, la laissant monter et descendre sur moi. Puis j’ai glissé une main vers son clitoris que j’ai commencé à agacer, tandis que la respiration de la fille devenait haletante. Son mec, sur le canapé, nous regardait, tout rouge : il était à la fois jaloux, blessé, et fasciné. Au bout d’un moment, il s’est approché d’elle pour l’embrasser. Elle s’est laissée faire, mon pouce lui écrasant le clito, mon sexe profondément en elle. Quand j’ai senti qu’elle allait venir, j’ai brusquement retenu ses hanches, puis je me suis enfoncé en elle le plus loin possible, déclenchant un orgasme puissant. Elle a crié son plaisir, bruyamment, sans retenue, tandis que je lâchai ma purée dans ses entrailles. Elle s’est alors écroulée sur moi, ne revenant à elle qu’au bout de longues minutes. Le mec était inquiet, il craignait je ne sais quoi ; elle se reprit, nous dit à tous deux qu’elle n’avait jamais joui ainsi, et me demanda si je pouvais l’enculer, qu’elle avait envie de connaître ça, et qu’elle pensait que je pourrais l’initier. Son mec était là, tout penaud, toujours très excité, le sexe bien droit. Je la fis se mettre à quatre pattes sur le canapé, et avec sa mouille abondante, je commençai à lui lubrifier le petit trou. Pendant ce temps, elle avait pris sa bouche le sexe du mec. Je présentai mon gland à l’entrée de sa rondelle, et je poussai doucement, tout doucement. Elle avait un joli cul rose, pâle, une peau très douce, et sa rondelle se dilata doucement. Le mec, la bite savamment léchée, essayait en même temps de voir. Elle dégagea ses cheveux pour mieux le sucer, tandis que brusquement, ses sphincters se relâchant, j’entrai en elle. Elle poussa un gros soupir, pendant que je commençai de lents va-et-vient. J’avais adoré la baiser devant, j’adorais la baiser derrière. Et son mec avait l’air d’y trouver son compte, à entendre les soupirs qu’ils poussaient et qui annonçaient son plaisir prochain. Mais elle le relâcha, et lui demanda de se calmer et de se retenir : si elle pouvait, elle ne savait pas trop, elle aimerait peut-être qu’il la prenne en dessous pendant que je l’enculai. C’est sûr, elle se lâchait. J’aimais bien cette débauche soudaine, et je commençai à lui labourer le cul avec force et méthode. Et elle aimait ça, elle avait crié tout à l’heure, et elle criait de nouveau. Très obscène, la petite… Puis je ralentis le mouvement en lui demandant si elle voulait tenter la double. Elle pleurait de plaisir, mais elle n’osa pas. Non, je veux juste que tu me défonces le cul, me dit-elle, vas-y, je veux ta bite. Et elle jeta un regard amoureux à son mec, assis à l’écart, la bite violette et tendue, en lui demandant de s’approcher, et qu’il vienne lui gicler dessus. J’accédai à ses désirs, je m’enfonçai en elle sans douceur, et son cul si serré sur ma bite me provoqua une seconde éjaculation. Elle se tut soudain quand elle sentit son ventre réchauffé par mon sperme : elle resta un instant muette, puis pris le sexe de son mec dans sa bouche et le fit gicler à son tour, avalant tout, peut-être pour la première fois. Quand nous nous désencastrâmes, sa bouche, son cul et ses cuisses dégoulinant de sperme, elle avait un air angélique et heureux assez surprenant. Elle voulait que je reste dîner avec eux, imaginant sans doute une nuit de folie. Mais je ne voulais pas détruire ce petit couple, et aux regards du mec, je préférais m’inventer une excuse. Je partis, les couilles vidées. Mais deux jours après, alors que je m’allongeais sur le sable, le mec est directement venu vers moi : je peux te parler, me dit-il ? Il voulait que je les rejoigne, elle m’avait vu arriver, elle voulait absolument que nous baisions ensemble. Je lui demandai son avis. Il voulait ce qu’elle voulait, il ne savait pas lui résister. Je lui dis que s’il voulait la garder, il faudrait peut-être qu’il assure davantage ; il ne savait pas quoi dire, quoi faire. Je la baisais ainsi pendant presque deux jours, la faisant crier dans la dune, devant plusieurs mecs aux sexes dressés ; elle se fit prendre en double par un autre mec et moi, puis je ne les revis plus…

Elle avait vraiment ameuté la dune. Le lendemain, une nana assez jeune, ses assez gros seins rosis par le soleil – elle n’avait manifestement pas l’habitude du naturisme – vint me trouver, prétextant qu’elle n’avait pas pris de crème solaire. C’est sûr, elle en avait besoin… Je lui étalai donc généreusement de la crème sur les seins, les massant de façon délibérément suggestive, et ne cachant rien de mon érection naissante, qu’elle observait avec appétit. Je lui expliquai que le soleil était agressif, et que toutes les parties du corps qu’on n’avait pas l’habitude d’exposer devaient être particulièrement protégées, donc ses seins. Et donc votre sexe aussi, me dit-elle ? Exactement. Et elle commença à me branler en m’enduisant de crème. Comme nous étions sur la plage, je lui indiquai que la dune serait probablement plus appropriée… Elle ne se fit pas prier. Avec la crème qu’elle m’avait étalé sur la bite, pas besoin de lubrifiant : elle me poussa par terre et vint directement sur moi, en écartant ses fesses pour s’empaler par la petite porte, en me tournant le dos. Puis, alors qu’elle montait et descendait en rythme avec ses gros seins roses qui accompagnaient l’ensemble de soubresauts assez furieux, elle me demanda si elle pouvait inviter un ou deux des mecs qui s’étaient approchés pour mater. Pourquoi pas ? Elle en héla deux, et se penchant en arrière vers moi, elle indiqua assez clairement à l’un d’entre eux que sa chatte était bien esseulée, et fit s’approcher l’autre pour le sucer. On s’était rencontrés il y avait moins de dix minutes, et elle se faisait déjà trois mecs en même temps : ça, c’est du désir de vivre ! Autant dire que le spectacle attira les bites et les chattes du coin… Une très jolie fille, que j’avais déjà repérée, s’approcha de moi, et me demanda si elle pouvait : si elle pouvait quoi ? Elle écarta les lèvres de sa jolie vulve rasée, et vint s’asseoir sur ma bouche, en malaxant par derrière les seins de l’autre. Et de quatre ! Mais comme sa bouche était vide, un mec s’en approcha, et elle le prit sans rechigner : et de cinq ! Heureusement pour moi, c’était bientôt la fin de l’été : à ce rythme, je n’aurais pas tenu très longtemps…



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