Laure, mariée et maman corrompue

Récit érotique écrit par mazaudier le 01-12-2023
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Catégorie Infidélité

Nous étions fin juin, et déjà les vacances approchaient.

La sonnette de la porte retentit, vers dix sept heures. J’étais seule chez moi, attendant que Mike, mon mari revienne avec les enfants. Le moment tant attendu arrivait enfin pour toute la famille, et pour moi, de faire la connaissance de Gino, le correspondant Italien de Sylvie. C’était la période des vacances, et un an auparavant, c’est Sylvie qui s’était rendu en Italie.

Impatients de le connaître, Mike et mes deux enfants, Jean et Sylvie étaient allés trois fois à l’aéroport pour accueillir Gino.

De mon côté, malgré mes quarante ans, je voulais être présentable aux yeux de l’ami de ma fille. Une jupe mi-genoux noire, chemisier blanc, des petits talons compensés, et une pointe de maquillage, feront l’affaire. Je me regarde dans la glace, me trouve séduisante.

Mike entra le premier, avec un sourire sincère, sous-entendant que c’était à moi, une femme, de juger si le correspondant de Sylvie était un jeune homme convenable. Sylvie ouvrit le chemin à Gino, et je le vis pour la première fois. Gino était très beau gosse, vêtu d’une marinière rayée, rappelant le style italien. Il mesurait environ un mètre soixante quinze, brun au cheveux court, avec un regard qui retint particulièrement mon attention.

Après les présentations d’usages, et une collation prise au salon, je propose à Gino de monter installer ses affaires dans la chambre qu’il devait occuper pendant quinze jours.

Ma fille, du même âge que Gino était heureuse de passer des vacances avec lui. Elle me tira par le bras, me proposa de partager son lit avec lui, mais vu leur âge, je m’y opposais fermement.

Je ne voulait pas qu’ils vivent ce que j’avais vécu quand j’avais dix huit ans, lors de vacances passées chez mon correspondant de l’époque, ou après m’être refusée à lui, je m’étais faite baiser une partie de la nuit, par un de ces oncles. Cette nuit là, il avait profité de mon innocence et de mon inexpérience, pour faire de moi, ce qu’il voulait.

Accompagnant Gino à l’étage, je passais la première, et m’imaginais qu’il ne put se retenir, de poser ses yeux sur les longues jambes qui le devançaient. Il faut dire que je me sentais très attirante à mon age, un mètre soixante neuf, cheveux blonds mi-long, et ce semblant de maturité qui me rendait sensuelle et charnelle, n’étaient que d’autant plus accentués par ma tenue, dont mes jambes gainées couleur chair, se terminaient par de somptueuses chaussures compensés.

Arrivés dans la chambre, Gino ne pouvait détacher son regard de mes jambes. Sont esprit devait s’essayer à quelques scénarios érotiques, et quand je me retournais, je le surpris en trains de me regarder. Étonnée mais amusée, je ne m’en offusquais point, lorsque Gino baissa les yeux, et fit mine de contempler la chambre à coucher. Pourtant, dans ma tête, j’étais ravi de constater qu’à mon âge, je pouvait encore séduire, attirer le regard de jeunes hommes tels que Gino.

Les trois premiers jours se passèrent normalement. Je constatais que le regard de Gino croisait souvent mes cuisses, mais je pris ça comme un jeu, et ne faisait rien pour l’en détourner. Cependant, cela commença à l’exciter, lorsque le soir du troisième jour, Gino fit tomber sa serviette au sol, uniquement pour essayer d’apercevoir mon entre cuisse.

Un sourire en coin, je les écartais sensuellement. Il est vrai que Gino avait effectivement prit l’habitude de s’attarder sur mon corps, et sans doute que le soir venu, la branlette qu’il devait pratiquer sous les draps, n’était pas de trop pour soulager ses pensées, qui s’orientaient toutes vers moi.

De plus, quelque chose d’anormal le rendait curieux depuis deux jours.

Ma famille s’absentait pratiquement tous les jours. Mon fils allait voir son copain, mon mari était aux bureaux, et Sylvie était allé rendre visite sa grand-mère.

Gino s’intriguait de savoir ce que je faisais dans cette pièce attenante à nôtre chambre conjugale. C’est vrai que cela faisait maintenant trois jours, que je m’éclipsais dans cette pièce, chaque fois que mon petit monde était parti. Certainement animé par sa curiosité, Gino devait chercher un moyen pour tirer ça au clair, dès qu’il en aurait l’occasion.

C'est le soir du quatrième jour que l'opportunité venait à lui. Il était dans la salle de bain lorsqu'il entendit mon mari me crier, alors que j’étais dans la serre, qu'il partait avec les deux enfants rendre visite à leurs grands-parents. S'en suivit plusieurs claquements de portières et le bruit d'un moteur mis en route. Gino avait presque fini de se doucher, lorsque quelques minutes après le départ de ma petite famille, il devinait que je retournais dans cette pièce secrète à ses yeux. Du fait que j’étais la prochaine à utiliser la salle de bains, j’avais anticipé, et passé un peignoir.

Je l’imaginais, de peur qu'il ne rate cette occasion de savoir, qu’il se séchait rapidement, enfilait un peignoir et sortir de la salle de bains. Il avait envie de frapper à la porte, pour m’annoncer que la salle de bains était libre, et que si je voulais en disposer, je pouvais.

En réalité il voulait ainsi comprendre ce que je faisais alors, dans cette pièce secrète. Quand il frappa et entrebâillât la porte, je l’aperçu, le regard fixé sur mon écran d'ordi.

Dans mon inconscient, je pensais que Gino avait tout prévu, et que son plan se déroulait comme convenu, en commençant par m’informer que la salle de bains était disponible. Je lui répondis d’un signe approbateur sans détourner le regard de mon écran. Le jeune garçon décida alors, avec un certain culot, d’entrer dans la pièce, et s’informer de ce que je faisais, par curiosité.

Je n'eus pas le temps de réagir que Gino était déjà derrière moi en train de fixer l'écran. J’étais en train de dialoguer sur le net. Gino comprit mon embarras lorsqu'il vit, aux bannières publicitaires, qu'il s'agissait d'un chat érotique. Essayant de garder une certaine contenance, je lui expliquais que je dialoguais en ligne avec des amis, comme si le jeune correspondant voyait un chat pour la première fois de sa vie. Le garçon poussa encore plus loin sa curiosité, saisissant alors une chaise du bureau pour prendre place à mes cotés. J’étais de plus en plus gênée.

Dans un français plus que convenable il me dit alors.

- Et quel est le sujet de ce chat ?

Troublée et un peu en colère quand même, je répondit.

- Tu n'as qu'à lire par toi-même et tu verras.

Là, fut l'erreur, car à l'écran défilaient des scènes, des textes très chauds entre membres, et même obscènes de plusieurs protagonistes en plein dialogue érotique.

Certains hommes vantaient, les prouesses de leur femme au lit avec d’autres mecs, prenaient un réel plaisir de les voir se faire prendre. On voyait des maris encourager leurs épouses à se faire baiser en levrette, dans différent trous, ou tailler des pipes, pour finir en jets de sperme dans leur bouche. Ils faisaient appel à de nouvelle adhérentes, et Gino put voir que mon nom était sur la liste, et qu’un message m’était personnellement adressé.

« Ma chérie, pourquoi n’es-tu pas venue l’autre soir...J’ai bien reçu ta photo, tu es belle tu sais...Je suis sûr que tu baises bien, et que tu aimes bien te faire baiser. Tu vas avoir un vrai succès...si tu savais. Je t’imagine évoluer à quatre pattes sur les grands matelas rouge, te faisant prendre le petit trou par un black monté comme un dieu. Les mâles adoreraient quand tu leur offrirais ta chatte, ou quand ils te prendraient en levrette.. J’espère que la prochaine soirée, tu seras là ».

Ce message était une invitation à une soirée libertine, que j’avais programmée avec un inconnu. J’étais vraiment confuse, car ce n’était pas cette page que je voulais ouvrir. Une simple erreur de manip, et me voila prise sur le fait. Car mon mari n’était bien sur pas au courant de mes projets d’escapades nocturnes.

Gino comprit ma détresse. Je lui avouais que j’étais insatisfaite sexuellement, que mon mari n’était pas un étalon au lit, que j’étais vraiment en manque, ce qui expliquait mon inscription sur ce site de rencontre.

Au bout de quelques minutes de lecture et d’images, et probablement excité par la situation, Gino devait commencer à avoir une érection. Je sentais également son envie monter mais je dus réfréner le désir de me caresser à cause de la présence du jeune correspondant de ma fille, lorsque celui-ci me dit.

- Je suis vraiment désolé, Madame.

- Désolé pour quoi ? Demandais-je.

- Pour m’être immiscé dans vôtre vie privé. Mais aussi pour ça, poursuit-il en désignant du doigt son entre jambe ou je pus constater, un mat horizontal, formant un chapiteau, érigé par la queue de Gino, durcissant sous le peignoir.

Je ne répondit rien mais sentit mon esprit flageoler. Je fixais alternativement le visage du bel ado, et le pieu que formait son érection, alors que celui-ci continuait sa lecture. Ne se contenant plus Gino passa sa main sous le doux coton du peignoir, et commença visiblement à se caresser doucement. Excitée mais ne voulant pas le montrer, je tentais de le reprendre :

- Mais dis donc, que fais-tu Gino ?

- C'est trop excitant, madame, dit-il alors que les pans du peignoir glissèrent, laissant apparaître à mes yeux le poing du garçon refermé sur ce sexe dur comme le béton. Gino ajouta.

- Et en plus, être avec vous ici n'est pas pour arranger les choses, vous êtes tellement belle et si sexy.

Tout en prononçant ces paroles, sa main s'activait, raidissant d’avantage son membre. J’étais comme hypnotisait, alors que je mouillais à la perspective de ce qui se passait. C’en était trop. Je cédais alors à des paroles qui ne pouvait stopper la situation :

- Qu'aimes-tu chez moi Gino ?

- Vos fesses et votre façon de vous habiller, j'ai vu que vous portiez des bas hier sous la table, c'est excitant.

J’avais passé ma main sous mon peignoir, et me caressait la chatte, n'en pouvant plus. A cet instant je ne pensais plus à rien d'autres qu'à ce qui se passait.

- Tu aimes les femmes comme moi Gino ? Enfin, je veux dire de mon âge ? Tu penses qu'elles sont aussi coquines qu'elles le présentent ?

Pour seule réponse Gino soupira, sa respiration était roque et il fermait les yeux tout en se branlant de plus en plus vite. Transformée, je pris le poignet de Gino pour retirer sa main de son sexe puis le pris dans ma propre main pour la remplacer. Je commençais à branler cette jeune queue doucement et me penchais en avant pour la prendre en bouche. Gino se laissait faire alors que je m'activait, mes lèvres glissant de plus en plus rapidement sur la chair durcie. Je n'avait jamais sucé mon mari, mais là j’aimais ça. La sensation d'avoir cet objet de désir dans la bouche me rendit encore plus mouillée. Je ne voulais pas m'arrêter quand le jeune correspondant s'exclama :

- C'est bon ! Continuez madame !

Il ne fallait pas me prier pour poursuivre ma fellation, et m’imaginais être une de ces femmes, que je visionnais sur mon ordi, et qui se délectaient de tailler des pipes à leurs partenaires, et avaler leur sperme. Là, c’était un jeune garçon, qui avait l’âge de ma fille, et que je prenais plaisir à branlait de plus en plus vite avec ma bouche...

Je commençais à varier ma technique. Je ressortais la queue de ma bouche pour lécher le gland et ses énormes couilles, puis je le reprenait en bouche jusqu'à toucher de mes lèvres ses poils pubiens.

L'odeur que dégageait le sexe de mon partenaire, par cet ébat, m'excitait davantage, j’en voulait plus. Je ne connaissait pas le goût du sperme, j’en avait été privée, mon mari jugeant cette pratique vulgaire. Mais en entendant la respiration de plus en plus précipitée de Gino, je savais que ce jour serait mon baptême. Rien n'aurait pu m'empêcher d'aller jusqu'au bout, je voulais maintenant que le jeune garçon me jouisse dans la bouche, avaler cette crème dont j’avais vu certaines femmes s'en délecter. Il ne fut plus longtemps pour que Gino explose. Je sentis sa queue vibrer dans ma bouche, et cinq puissants jets successifs s'écraser contre mon palais, le dernier se posant lentement sur ma langue. Je déglutissait et avalait la semence par à-coups. Je fus surprise du goût, mais de manière agréable. Je pompais le jeune homme jusqu'à la dernière goutte tant la viscosité et la saveur salée du sperme me ravissait.

Soudain, je me sentis partir en arrière. C’est Gino qui inclinait la chaise. Calmement, il ouvrit mon peignoir, découvrant ainsi ce corps sur lequel il avait tant fantasmé. Sa main glissa sur mes seins, caressa les pointes durcis par le désir. Puis sa main passa sur mon ventre, pour se loger ma fourche intime. Des doigts glissèrent sur ma fente, l’un d’eux monta jusqu’à mon clitoris, qui s’amusa à exciter. Puis deux doigts pénétrèrent ma chatte, se mirent à la branler. Mon excitation était telle, que je ne tardais pas à atteindre un orgasme qui fit trembler les murs de la pièce. Je me pendis à son cou, et lui pris les lèvres pour un tendre baiser.

Il me prit par les hanches, m’allongea sur la moquette, écarta mes jambes. Il enfoui son visage, et commença à me lécher la chatte. J’ondulais, me cambrais sur cette langue qui me rendait folle. Un deuxième orgasme fusa, plus puissant que le premier. Puis sa queue remplaça la langue. Elle s’activait en moi. Son sexe était dur et sensible. Ses yeux se posaient avec amour sur mon corps de femme délaissée, faisant tout pour ranimer ma flamme. Il s’allongea sur le dos, m’obligea à m’empaler sur sa bite. Le corps cambré sur ce fabuleux membre, les mains sur les hanches, j’ondulais au rythme de mes coups de reins, tandis qu’il me pétrissait les seins. Je vis le sourire moqueur de mon jeune amant, quand j’atteignis le troisième orgasme. Il se releva et présenta sa queue à ma bouche, voulant l’honoré une dernière fois. J’écartais les lèvres et l’engloutis pour satisfaire son plaisir.

La dose fut moindre, mais n’avais rien perdu de sa saveur. Quand je le libérais, c'est une bite amollissante que je laissais à la place.

J’étais écartelée au sol, mon corps évacuant les derniers spasmes. Gino se dirigea vers la lavabo de la chambre, se lava les mains, et le bout de sa queue. Pourtant, je lui avait prodigué un savant nettoyage de son gland avec ma langue. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir avec mon mari. J’aurais tant voulu qu’il soit là, face à moi, en train de me regarder me faire enfiler par un gamin, qui le narguait du haut de ses dix huit ans, qui se déplaçais de façon à lui montrer comment il me pénétrait...et dans quel trou. J’aurais tant voulu qu’il voit comment de toute sa puissance, un jeune adolescent peut faire crier une femme mariée, sa femme, en la faisant jouir, et l’emmener jusqu’à l’orgasme. J’aurai tellement aimé qu’il voit comment je le suçais, ce qu’il avait toujours répugné, et lui montrai le nectar blanc posé sur ma langue, et tout avaler d’un trait. Et pourquoi il n’aurait pas profité de la vision de sa femme, en train de se faire prendre en levrette, pour y prendre lui aussi un certain plaisir. Il aurait peut-être compris ce qu’une femme attend de son mari, sexuellement. - Ne pars pas, le suppliais-je, baises-moi encore...tu m’as pas sodomisée... Il passa fièrement devant moi, sans un mot, m’ignorant totalement.

Mais je ne lui en voulais pas. Il m’avait rendue heureuse, même si ce ne fut qu’un trop court instant. J’étais heureuse, satisfaite de ma nouvelle expérience mais un peu honteuse tout de même. Je ne savais plus trop où me situer. Devais-je finalement me contenter de mon aventure ou m'en punir ? Avais-je fauté vis à vis de mon mari de faire l’amour avec ce jeune homme sous nôtre propre toit.

De son coté Gino, était aux anges. Il ne comptait pas se dérober mais se promit de passer les plus jouissives de ses vacances. J’en pris acte.

A peine remis de nos ébats, que la porte du rez-de-chaussée s'ouvrit, la famille rentrait. J’eus juste le temps de réajuster mon peignoir, avant de descendre pour m’apercevoir qu’ils étaient tous rentrés plus tôt.

A mon attitude de femme qui avait fait une bêtise, mon mari se doutait que quelque chose avait changé, mais n'allait pas jusqu'à se douter que sa fidèle épouse s’était faite baiser, et avait taillé une pipe à Gino, dont l'âge aurait pu en faire son fils, et avait tout avalé. Je sautais au cou de mon mari, et l’embrassais tendrement.

Avant son départ, j’eus d’autres relations avec Gino, aussi intense que les précédentes, jusqu’à la sodomie dont j’avais tellement rêvée. J’aimais la puissance de sa queue dans mes orifices. Quant à lui, il prenait énormément de plaisir à baiser une femme de mon âge, avec son énergie d’ado.

C’est avec un pincement au cœur, que je vis Mike et mes enfants, ramener Gino à l’aéroport. Les vacances étaient finies.

Il ne me restait pus qu’à me connecter à mon ordinateur, pour connaître d’autres aventures. C’était maintenant à mon mari de s’aligner sexuellement, s’il ne voulait pas que mes projets se concrétisent.



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01-12-2023 0 2611

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