Anecdotes 1 , 2 , 3 , 4

Récit érotique écrit par mazaudier le 13-05-2025
Récit érotique lu 4 fois
Catégorie Infidélité

Anecdotes 1. Un soirée découverte.Comme souvent le week-end, nous nous réunissons, un coup chez l’un, un coup chez l’autre pour passer une agréable soirée à rire, à boire, et à raconter des blagues. Pendant que nous trinquons au bar, nos épouses papotes entre elles. Les derniers potins, la dernière mode. Mais après quelques verres, leur conversation se dirige rapidement vers nous, leur mari, et chacune y va des ses rêves, de ses fantasmes.Ange n’hésita pas à avouer qu’elle aimerait avoir une relation avec une femme, que son rêve a toujours été de se faire bouffer la chatte par une femme, et devant son mari, qu’il voit sa langue la lécher, voir ses lèvres aspirer son clitoris, qu’il entende hurler de plaisir sous ses caresses. Elle voudrait une femme dominatrice.Sarah, elle, a toujours eu le désir de ses faire sodomiser par une grosse queue. Pire, elle aimerait que son mari l’accepte, qu’il trouve lui même le mâle qui lui conviendrait. Puissant, bien monté, performant, qu’il aille au-delà d’un simple coup de queue, ce que son mari se contente de faire pour la satisfaire..Charlène, avoue avoir rencontrer un mec au bureau, très séduisant, et qu’il lui fait des avances sérieuses, la vantant sur sa beauté. Il l’a invitée un jour au restaurant, et lui a proposé de partager une chambre à l’hôtel. Elle était prête à succomber à ses avances, mais se ressaisit. Elle ne tenait pas à briser son mariage pour une relation éphémère. Elle avoua que la seule chose qui la ferai peut-être changer d’avis, c’est que son mari accepte qu’elle passe une nuit avec lui. Je vis Luc, son mari se frottait le menton, comme s’il réfléchissait.Emma, elle, voulait quelque chose de plus simple. Offrir a un inconnu la faveur qu’elle avait toujours refusée à son mari. Une bonne fellation, avaler son sperme jusqu’à la dernière gouttes, bien lui nettoyer le gland.Puis, les visages se tournèrent vers Carole, ma ravissante épouse.- Et toi Carole, c’est quoi ton fantasme.-Euh...ben moi, une fois dans ma vie, j’aimerai avoir plusieurs queues qui remplissent ma chatte, ma bouche, et mon petit trou.Le salon se tue. Les regards me fixèrent, certains souriaient, d’autres restèrent figés. Ce que Carole ignorait, c’est que j’étais au courant de sa relation avec deux jeunes arabes du quartier, que j’avais des preuves, des photos, des vidéos. Si les autres femmes n’en étaient qu’aux fantasmes, Carol, elle, avait franchi le pas..- Il y a une explication à tous ça, dis-je. Ma femme a tellement pris des coups de bites, que je dois admettre que ma queue n’est plus aux normes pour elle.Un froid glacial traversa le salon. Je demandais à Luc d’allumer la télé. J’enfonçais la clé USB, et appuyais sur lecture. On voyait Carole s’offrir sans retenu, hurler de plaisir quand les jeunes maghrébins la possédaient. Tout y était, fellation gustative, sodomies, double pénétration, les supplications « Encore, encore »Les images refroidirent le salon. Des murmures, des commentaires, des questions. Carole s’effondra en larmes. Je m’avançais lentement, posais mon alliance sur la table basse. Puis je saluais tous mes amis, et quittais l’appartement.


Anecdote 2 .Belle mère soumise.Il était environ vingt deux heures quand j’arrivais chez mes future beau-parent, afin de récupérer ma copine Mélanie. La demeure était magnifique, avec piscine, arborée d’arbres. Henry, le père de Mélanie, était un riche industriel, marié à Audrey, une sculpturale blonde de quarante deux ans. Lui était tout à fait ordinaire.Quand le passais devant la terrasse, j’essuyais mes yeux pour voir si je ne rêvais pas. A travers la baie vitrée légèrement entre ouvert, j’aperçus Audrey, ma belle-mère, chevaucher un homme. Elle rebondissait sur sa queue, criant des mots obscènes, hurlant de plaisir. « Oh oui...encore Jeff...j’en veux encore...encules-moi ».Je suis resté cloué devant ce que je voyais. Par réflexe, je pris mon téléphone, et me mis à filmer la scène. Tout y est passé. Les fellations, les levrettes, les sodomies. Tout était dans la boite. Quand l’homme parti, je le reconnu. Ce n’était ni plus ou moins que le frère de Henry, de dix ans son cadet.Un lundi matin que je savais qu’elle était seule, je passais lui dire un petit bonjour. Je la trouvais devant l’évier, simplement vêtue d’un court peignoir. Elle fut surprise de me voir, mais ne fit rien pour dissimuler une partie de sa nudité.- Alors Jordan, que me vaut cette visite. Tu sais que Mélanie est en stage.- En fait, c’est vous que je venais voir, dis-je en le prenant par la taille.Elle se retourna, me repoussa en me giflant.- C’est quoi ça, gronda-t-elle, tu veux que j’en parle à ma fille ? Tu t’attends à quoi.- A ce que vous me tailliez une pipe.Son visage devint rouge. Elle se transforma en furie.- Sors d’ici, fou le camp…Je déposais une enveloppe sur le plan de travail, et quittais la villa. A peine avais-je regagné mon studio, que je reçu un appel d’Audrey. Je le laissais tomber en messagerie. Puis virent les messages.« Jordan, s’il te plaît, on doit parler. »Je ne répondis jamais à ses messages, volontairement. Je voulais qu’elle comprenne d’elle même, qu’elle vienne à moi, qu’elle se soumette. Le dernier message que je reçu, c’était une invitation chez elle. J’acceptais, imposant mes conditions.Ce soir là, Mélanie était au théâtre avec des amies, et Henry en déplacement. Tout deux ne rentraient que le lendemain. Dis heures pétantes, je sonnais à la porte. Audrey m’accueillit comme je l’avait souhaité. Courte nuisette trans parente, et me montra sa chatte fraîchement épilé. J’ôtais rapidement la nuisette, et l’entraîna à la chambre.Je me déshabillais, exposant mon sexe. Mes mensurations la firent vaciller. Elle tomba à genoux, me pris en bouche. Cette nuit là fut torride. Elle s’est offerte à tout mes caprices. Levrette, sodomie, fellation. Elle m’avoua n’avoir jamais avalé autant de sperme. Au bout de la nuit, c’est elle qui réclamait ma queue dans sa bouche, sa chatte, son petit trou. Après une douche coquine ou elle avalait une ultime fois, je quittais la villa.Depuis, mon téléphone n’arrête pas de sonner. Elle me supplie de la rejoindre, qu’elle a besoin de sentir ma queue dans sa chatte, sa bouche, mon petit trou.


Anecdote 3 Doigtée pendant son sommeil.Lors de cette journée barbecue entre amis, Muriel ne se doutait que cette soirée allait se terminerai d’une façon que, même dans se fantasmes les plus fous, elle ne l’avait jamais imaginé. Muriel est une superbe blonde de vingt huit ans, marié avec Hervé depuis trois ans.Un amour solide, sans nuage.La journée avait commencé sous les meilleurs hospices. Les amis était ravis de se retrouver. Muriel, toujours aussi amoureuse restai collée à son mari. Elle le surveillait quand il dansait avec une autre femme, tandis qu’elle se tenait à distance de son partenaire. Ils n’arrêtaient pas de se jeter des regards coquins, se donnaient de doux baisers.Quand ils dansaient ensemble, on pouvait sentit leur proximité sans faille. Certains pote, don Nathan, avaient essayé de la séduire, Mais Muriel repoussait toutes leurs avances.Au cours d’un slow serré, Muriel avait senti le désir de Nathan contre sa robe légère. Elle avait pu mesurer la dureté de sa queue. A la fin de la danse, les joues rouges, elle avait rejoint Hervé, et ne l’avait plus lâché.Mais cette danse rapprochée avec Nathan l’avait excitée. Le désir montait en elle, et s’imaginait dans les bras de son mari. « J’ai envie de toi. » lui murmurait-elle à l’oreille.Hervé la serra davantage. « Et si on disparaissait dans la chambre, poursuivit-elle. »Hervé lui prit les lèvres, acquiesça. « D’accord, souffla-t-il, mais je veux que tu m’attendes entièrement nue, lumières éteintes..et pas un mot. », Muriel se retira discrètement, et regagna la chambre.. Hervé s’apprêtait à la rejoindre, quand une bande de copain l’entraînèrent au bar. Nathan avait suivi toute la scène. Il savait que Muriel était seule dans la chambre, attendant son mari. Il vit là l’opportunité de baiser la femme de son pote. Sans un mot, il s’esquiva et monta à l’étage.Il poussa la porte. Seule la lumière de la lune à travers la fenêtre éclairait la chambre, suffisant pour le superbe corps de Muriel étendue sur le lit.. Nathan ôta ses vêtements.Lentement, il s’approcha du lit, enfouie son visage entre les cuisses de Muriel.La langue lécher la chatte, les lèvres aspiraient le clitoris. Les premiers gémissements fusèrent.« Hum...salaud...tu ne me fais jamais ça…»Le silence revint, tandis que Nathan s’installait entre les jambes ouvertes de Muriel. Lentement, il la pénétra, entama de lents va et vient.« Oh mon amour...tu es bien gros ce soir...»Puis Nathan la fit se mettre à quatre pattes, sa queue pointant conte son petit trou.« Oh non..pas ça...on l’a jamais fait par là. »Nathan poursuit sa pénétration, et Muriel, vaincu, apprécie de plus en plus cette sodomie. Soudain, Nathan se retire, glisse à genoux vers la bouche de Muriel. Instinctivement, elle l’ouvre est engloutit l’énorme queue du pote de son mari. Le sperme gicle dans sa bouche à s’en étouffer. Elle n’a d’autre choix que de tout avaler. Nathan lui tapote la joue, et quitte la chambre.Au petit matin, Muriel, satisfaite de sa torride nuit, rejoint Hervé sur la terrasse.« Alors mon amour, dit-elle, sacré nui n’est-ce pas ? »« Tu parles… j’étais ivre, je l’ai passé à dormir sur le canapé. »


Anecdote 4. Le chauffeur.Je m’appelle Luc, chauffeur de Monsieur Larry, PDG d’une importante société d’import/export. En fait, nous sommes deux chauffeurs. Pierre et moi partageons le même volant. Lors de nôtre entretient d’embauche, les choses étaient claires. Pas un mot sur les trajets, ni les personnes que l’on conduisait.Un jour, Monsieur Larry me fit arrêter devant un café. En sorti une magnifique et jeune femme. Celle-ci prit place à l’arrière de la voiture. Monsieur l’embrassa, tout en l’embrassant. Puis une main disparu sous la robe. J’avais très peu visibilité sur la banquette arrière, mais devinai ce qu’il s’y passait. La course prit fin devant un motel.Pendant leurs absence, je me rendais à un magasin qui vendait des appareils de surveillance,, et achetais une petite caméra. Je la fixais sur le haut du rétroviseur intérieur, ce qui me donnais une vue plongeante sur la banquette. Je reliais le tout avec mon téléphone. Deux heures plus tard, je revenais au motel, récupérer mon patron.. Bien évidemment, je n’en parlais pas à Pierre, le second chauffeur. Mon installation me permit d’assister à des scènes incroyables. Les femmes changeaient au gré de mes déplacement, et au bon vouloir de monsieur Larry. Un jour, alors que j’étais de repos, j’ouvris l’application de mon téléphone. C’était Pierre qui était au volant. Monsieur Larry entra, et la voiture démarra. Au bout d’environ dix minutes, la limousine s’arrêta devant un immeuble. La porte s’ouvrit, et une femme, d’une beauté exceptionnelle pénétra à l’arrière. La voiture démarra lentement. Je vis monsieur Larry se tortiller sur le siège, puis, sans pudeur, sortit sa. bite. Aussi calmement, la femme se pencha et pris la bite en bouche. Mon cœur se figea quand je reconnu Lisa, ma ravissante épouse. Peu de temps après, je la vis déglutir, tandis que mon patron jouissait dan sa bouche. Elle avala tout, se permit d’enrouler sa langue autour du gland, et le nettoyer avec gourmandise. Puis elle s’appuya contre le dossier, enroula sa courte jupe jusqu’à sa taille. Elle ne portait pas de culotte. Elle écarta les jambes, offrant sa chatte épilée aux doigt expert de monsieur Larry. Je fus surpris de la manière don til décalottait son clitoris, faisant tourner son majeur dessus. Des doigts pénétrèrent sa chatte, firent de lent va et vient. Je vis Lisa se cambrer, donnant des coups de reins sur les doigts qui la fouillaient, suivi d’un cri de plaisir. La scène se répéta trois fois, avec autant d’orgasmes. Pour compléter le tout, elle l’enjamba et s’empala sur sa queue.Quant à Pierre, il ne s’apercevait de rien. Commet pouvait-il savoir que maintenant, ma femme se faisait sodomiser.Le soir, ma femme rentra du bureau comme si de rien n’était. Elle s’approcha pour m’embrasser, mais j’évitais sa bouche, me rappelant la queue qui y avait déposé sa semence. Elle alla à la cuisine, revint avec une bouteille de vin et deux verres. Je la fixais droit dans les yeux.- Comment va mon chéri, comment s’est passé ta journée de repos.- Bof...certainement moins excitante que la tienne.- Heu...que veux-tu dire ?Calmement, je poussais le téléphone vers elle, appuyais sur play. Son visage se figea. Les images défilaient, la fellation, les caresses, la queue enfoncée en elle, la sodomie, les cris de plaisir, les orgasmes à répétition. - Attends Luc, ce n’est pas ce que tu crois...je peux t’expliquer…Je me levais, me dirigeais vers la porte quand mon téléphone vibra. Pierre.« Oh putain Luc, monsieur Larry a fait monter une femme, une vrai salope, comme elle criait. »



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13-05-2025 0 4

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