Sur la banquette arrière, sur les genoux de mon beau fils

Récit érotique écrit par mazaudier le 30-06-2025
Récit érotique lu 8 fois
Catégorie Infidélité

C'était un samedi ensoleillé et merveilleux, avec droit à la plage, des en-cas, de l'eau de coco et une promenade en famille pour rendre tout le monde heureux et en communion. Après une journée aussi merveilleuse, nous avons commencé à ranger nos affaires pour

rentrer chez nous.

Nous étions moi, mon mari, son fils, ma fille du premier mariage et mon ami d'enfance. Je portais les chaises jusqu'à la voiture. Nous nous sommes douchés dans des points d’eau proches, et avons fait tout le rituel pour ne pas salir la voiture avec du sable.

A l'allée, ma fille était sur mes genoux. Elle pensait que c'était mieux que d'être écrasée au milieu, en plus du coffre plein, il y avait quelques objets avec nous, pas mal de choses et l'espace dans la voiture devait être bien géré.

Au retour, c'était différent. Ma fille avait presque râlé toute la journée à la plage qu'il était horrible d'être sur les genoux. On finit par se coller et elle décida d'aller sur le siège avant.

Mon ami resta du côté droit, comme avant et nous avons finalement décidé que j'irais sur les genoux de quelqu'un.

Et le choix tomba sur mon beau-fils, je l'appelais parfois fils. C'était une relation qui durait sept ans, et c'était un peu inévitable. A la plage, je portais un bikini orange. La partie supérieure était bien ajustée à mes superbes seins, et la partie inférieure était composée d'un petit triangle frontal qui laissait une petite protubérance, comme des quartiers de clémentine. La partie arrière était encore plus modeste et n'avait pas nécessairement pour fonction de couvrir quoi que ce soit. J'étais habituée à aller à la plage ainsi.

Je pensais à quel point le voyage retour serait inconfortable à partager le même espace

avec mon fils, même si c'était improbable qu'un jeune dans son âge développe des intérêts juste parce qu'il était assis bien en face du chemin ne voulait rien dire. J'étais nerveuse au début, mais nous y voilà, suivant la nouvelle organisation.

Mon beauf-fils était vêtu d'un simple maillot de bain, comme il l'était à la plage. Il s'était bien séché avec la serviette, et nous l'avions laissé sous notre siège pour ne pas mouiller la voiture. Les cinq premières minutes étaient normales, tout le monde parlait et la radio était allumée, empêchant tout silence d'exister. Après quelques ralentisseurs et petits trous dans la route, j'ai remarqué un gonflement se formé là où j'étais assise, comme quelqu'un qui sent quelque chose dans sa poche. Je n'ai pas regardé en arrière, j'ai compris ce dont il s'agissait. Ma peur s'était réalisée, même si cela semblait évident qu'il allait arrive une chose comme ça, je cultivais une peur.

Pourtant je ne voulais embarrasser personne et maintenais ma posture. Il agissait comme si rien ne se passait, mais je sentais bien cette chose cognée, voulant entrer quelque part. Après des minutes supplémentaires, je laissais mon corps plus à l'aise. C'était comme si nous apprenions mieux à nous connaître, un soulagement. En fait, personne ne remarquait rien. Nous regardions plus le paysage pour ne pas avoir trop d'expressions évidentes, afin

d'éviter cette situation gênante.

Personne n'allait mal, rien. Mais moi j'allais mal. La protubérance est devenue très intime et m'a laissé impressionner. Cela ressemblait à une colline séparée seulement par le tissu du maillot de mon beau-fils.

Si cela dépendait du mien, qui était très modeste, il aurait certainement déjà reçu un visiteur sans le vouloir, ni le savoir. Au milieu du trajet, j'avais mis un sac devant nos affaires. J'essayais davantage d'occulter le cas, car j'étais dans un état de crise. Je mettais un peu plus force dans mes genoux pour rester légèrement relevé, feignant d'ajuster ma position. Mais je voulais vraiment ce frottement en glissant contre l'alcôve près de la portière dans la voiture, et dans l'une des situation où le garçon s'est fâché, retirant le maillot du chemin

Quand je me suis rassie, ça a été peau contre peau directement. Si ça glissait, ça aurait été le plus grand danger.

Tout allait bien tant qu'il prenait une injection, mais il n'avait pas cette intention si poussiéreuse, ou peu être qu'il l'avait. Mon Dieu. Quand la voiture faisait un virage, ça devenait presque extravaguant. Il se balançait à volonté, car rien ne me tirerait d'ici. Et ainsi se déroula la promenade, les meilleures parties étant celles des dos d’ânes où je profitais pour donner trois petits sauts de plus que je ne devrais. Le garçon, un peu caché dans mes cheveux pour dissimuler les grimaces et les visages. Les signaux rouges étaient également formidable. Je donnais une seule et lourde pelle.

Sentant le pelage épluché bien là dedans. C'était quand je faisais semblant d'apprécier le son de la radio, et que je perdais l'esprit où j'étais. Je sais juste qu'à la fin, le champagne éclata. Il gicla et nous avions besoin de plus que d'ajuster les choses près du garage. Quand je me suis rendu compte qu'il y avait de la boue à l'endroit où j'étais assise, j'ai rapidement ajusté ce qui devait être ajusté. Remettant les choses à leur place, j'ai attendu que la bande se disperse. Je me suis levée. Le son était comme celui de quelqu'un qui décolle un autocollant.

Mon partenaire, qui a supporté le voyage avec moi, était allongé, épuisé. Sa poitrine montait et descendait avec force, avançant un peu pour pouvoir couvrir la vue de son père, et lui donner le temps de se préparer sur la banquette arrière. Nous sommes allés ainsi jusqu'à la maison et avons pris une douche. Nous avons passé toute la journée à échanger

des regards de meilleurs amis, ceux qui gardent des secrets importants.




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30-06-2025 0 8

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