Me jupe étais trop courte, l'ami de mon mari s’en est aperçu.

Récit érotique écrit par mazaudier le 23-07-2025
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Catégorie Infidélité

Je rentrais nue dans la salle de bains, y trouvais Jeff, mon mari face au miroir, nu lui aussi. Je remarquais sa queue en érection dans la glace, comme si elle aussi s’y regardait. Je m’approchais, le ceinturais, saisis sa bite, fis coulisser le prépuce et le décalottais

- Un problème à résoudre avant de partir ? Dis-je l’embrassant au creux de ses épaules.

Je vis son sourire coquin dans le miroir. Il se retourna, saisit mes hanches et me monta sur le plan du lavabo. Je sentais sa queue taquiner mon clitoris, courir sur ma fente encore sèche. Puis, il me pénétra, me faisant mouiller instantanément. Je me pendis à son cou, nouant mes jambes dans son dos.

Soudain, le téléphone vibra, privant mon corps de l’orgasme qui se profilait. C’est donc en restant sur un échec que je quittais la salle de bains pour regagner ma chambre.

Tout a commencé ce vendredi soir. Je me préparais pour une soirée, me sentant bien, vêtu simplement d'une mini jupe et d'un haut Basic. Ce genre de tenues qui donne confiance, qui vous font dire « Ouah, ce soir, je suis canon ».

Mon mari et moi étions censés rejoindre quelques-uns de ses amis dans un bar. Honnêtement je n'étais pas trop emballé. Mais il voulait que je l’accompagne, et ne tenais pas à le décevoir. Bref, j'ai terminé de me préparer. Je vérifiais mon reflet dans le miroir, me sentant bien. La tenue était simple, mais audacieuse, juste ce qu'il fallait, pas trop révélatrice, mais assez pour que je ne passe pas inaperçu. Je me suis dit pourquoi pas, ce soir allait être sympa, mais je ne m'attendais pas du tout à ce qui allait arriver.

Nous sommes arrivés dans ce bar, rien de très chic, juste un endroit sympa où tout le monde se retrouve après une longue semaine. Dès qu'on est entré, mon mari a repéré ses amis, et il est parti les rejoindre directement. Je suis restée là, debout, me demandant ce que j'allais faire. Je sens les regards des mâles me scanner sur mon passage, tandis que les femmes juge certainement ma tenue extravagante.

En me dirigeant vers le bar, j'ai remarqué Karl, un des bons amis de mon mari. Il était en train de discuter avec quelques personnes. Quand il m'a vu, il a fait une double prise. Je veux dire, il m'a vraiment regarder, pas juste un coup d'œil rapide, mais un regard insistant. C'était comme s'il m'évaluait ou quelque chose comme ça. Oui, je savais que j'étais belle ce soir là, bien habillé, mais la façon dont Karl me regardait me mettait mal à l'aise. Ce n'était pas juste un regard qu'on lance à la femme d'un ami, non, c'était différent.

J’étais au bar, essayant de garder mon sang froid, prétendant ne pas avoir remarqué que Karl me fixait. J'avais mon verre à la main, mais mon esprit était ailleurs. Puis, sans prévenir, il s'est avancé vers moi. Je l'ai vu se frayer un chemin à travers la foule. Mon estomac s'est noué. Je le trouvait toujours aussi charmant, aussi séduisant. J'ai essayé d'agir normalement, mais mon pouls s'accélérait, et je n'arrivais pas à me défaire de ce sentiment, qu'il allait se passer quelque chose d'étrange, quelque chose pour lequel je n'étais pas prête. Il est finalement arrivé près de moi et il y a eu ce moment gênant où on s'est juste regardé, un peu trop longtemps.

- Salut Audrey, dit Karl d’un ton un peu trop décontracté.

- Salut, ai-je répondu esquissant un demi-sourire, gardant la conversation légère.

Je pensais, c'est l'ami de mon mari. Je ne devrait pas ressentir ce moments étranges, mais au lieu du bavardage habituel.

- Tu es magnifique ce soir.

Je ne pouvais pas m'empêcher de remarquer à quel point Karl se tenait proche de moi. Il n'y avait plus aucun espace entre nous. Il agissait comme si on était de vieux amis, comme s'il ignorait complètement que j'étais la femme de son meilleur ami.

- Jeff accepte que tu t’habilles comme ça...je te sens audacieuse ce soir, souffla-t-

- L’audace d’un femme seule qui cherche de la compagnie peut-être.

C’est à ce moment là que Karl me proposa un verre. Il m’entraîna au bar, une main posée sur ma taille. Cela m’envoya comme une décharge électrique. Il commanda deux verres. La foule s’était agglutinée, et je me trouvais collée au comptoir, Karl collé dans mon dos.

Soudain, je sentis sa main se poser sur ma cuisse, monter lentement entre mes jambes. Karl s’aperçut de suit que je ne portais pas de culotte. Je sentis un doigt courir sur ma fente, jusqu’à mon clitoris. J’essayais de le repoussais, en vain. Puis deux doigts pénétrèrent ma chatte, entamèrent de lents va et vient. Là, au milieu des consommateurs, il était tout simplement en train de me branler. Les yeux mi-clos, les lèvres entre ouvertes, je sentais le désir monter en moi. Karl m’apportait le plaisir que mon mari ne m’avait pas donné dans la salle de bains. Je pouvais voir Jeff discuter avec ses potes, tandis que Karl ma faisait jouir troisième. Karl attrapa une serviette sur le comptoir et m’essuya la chatte.

- Allez...va rejoindre ton mari, sourit-il.

Toute troublée, je rejoignis mon mari et son groupe d’ami. J’essayais de me mêler à la conversation, mais mon esprit était ailleurs.

- C’est un coquin, m’a-t-il dit. J’espère qu’il ne t’a pas trop taquinée.

Je n’ai pas répondu. Je lui ai simplement dit que j’étais un peu fatiguée, et que je ne rentrerai pas trop tard. C’est au moment que mon mari rejoint se copains, que croise le regard de Karl à travers la pièce. Il me regarde, je vois ses yeux se plisser lorsqu'il rencontre les miens. Je détourne rapidement les yeux, mais je sais qu'il a vu ma réaction quand je l'ai remarqué. J’ai l’impression de sentir ses doigts dans mon intimité, de mon abandon.

Je sens mon pouls s'accélérer à nouveau, comme si j'étais encore dans ce moment de pêché avec lui, ce moment où tout est allé trop loin, et ce n'est pas seulement son regard qui me trouble, c'est ma propre réponse à cela.

Je voulais m'éloigner, le voulais vraiment, mais pourquoi ne lui ai-je pas simplement dit d'aller au diable. Je vois Jeff rire, discuter avec ses amis, mais ne suis pas vraiment là. Je jette des coups d'œil furtifs à Karl, essayant de ne pas être évidente. Mais chaque fois que nos regards se croisent, c'est comme une décharge dans ma poitrine, je n'arrive pas à me débarrasser de cette erreur de m’être offerte à ses doigts pervers. Cette étrange rencontre avec Karl plane encore dans un coin de mon esprit, comme une ombre.

Ça ne prend pas longtemps avant que je ne sente mon téléphone vibrer dans ma poche. Je le sors rapidement, espérant un message d'une amie. Mais non, c'est un texto de Karl. Mon cœur rate un battement quand je lis.

« J'attends toujours ce moment de plaisir, tu sais que tu ne peux pas persister à prétendre que rien ne s'est passé »

Je fixe le message pendant quelques secondes, mon pouce suspendu au-dessus de l'écran. Une partie de moi veut l'effacer, faire comme si ça n'avait jamais existé, mais une autre partie est curieuse, curieuse de savoir pourquoi il insiste, ce qu'il veut vraiment. Je verrouille mon téléphone et le remet dans ma poche, essayant d'ignorer cette sensation persistante dans ma

Je ne veux pas céder, je ne veux pas être celle qui gâche tout pour une stupide décision irréfléchie. Mais c'est trop tard, le mal est fait. J'essayais de me concentrer sur Jeff, de me rappeler pourquoi je suis ici avec lui, c'est mon mari, c'est lui que j'aime, il reste l’homme de ma vie. Mais à chaque minute qui passe la présence de Karl devient plus oppressante, comme si elle m’étouffait. Plus j'essaie de l'ignorer, plus l'attraction devient forte. Je me lève de ma chaise, les nerf en miette et dis à Jeff que je vais prendre un peu d'air, que j'ai besoin de respirer.

Dès que je sors, l'air frais de la nuit me frappe, et je me sens instantanément plus ancré. Je prends de grandes inspirations, essayant d'apaiser la tempête en moi. Je suis là à tenter de faire le vide dans ma tête, quand j'entends des pas derrière moi, des mains saisir ma taille, des lèvres flirter avec mon cou. Lentement, les mains enroulent ma courte jupe sur mes hanches. Je sens alors la dureté de sa queue entre mes fesses. C’est moi-même qui la guide pour qu’il me pénètre. Je gémis, me disant qu’enfin, il avait ce qu’il voulait, me posséder. Il s’arrête soudain, me fait faire un demi-tour, m’oblige à m’agenouiller, et a le prendre en bouche. Sa queue est magnifique, légèrement plus grosse que celle de Jeff. II fait de légers mouvements, posant doucement sa paume sur ma nuque. Je donne tout mon savoir dans cette fellation, sors, enroule ma langue autour du gland, l’aspire de plus belle. Je reste immobile, alors qu’il continue à pousser des soupirs silencieux, tandis qu’il dépose son plaisir dans ma bouche, sur ma langue. Je reste un instant accrochée à ce calibre qui m’a donné tant de plaisir.

Soudain, la porte s’ouvrit violemment. C’est mon mari. Nous avons juste le temps de ranger non vêtements.

- Ah, vous êtes là vous deux. J’ai une urgence à l’hôpital. Karl, tu peux ramener. J’en ai pour la nuit. Avec le temps qu’ils annoncent, du devrais prendre la chambre d’amis Karl.

Je n’en revenais pas. Non seulement il ne s’aperçut de rien, mais il enfonçait un peu plis le loup dans la bergerie. Sur le trajet de retour, Karl jouait les taxis, mais un taxi, ça se paies.

Et quoi de mieux qu’une bonne fellation pour régler la course.

Cette nuit là fut torride. Nous la passions à baiser, lui à me sodomiser, moi à le sucer et avaler.



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23-07-2025 0 1

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