- C’est ça que tu cherches ? Demanda mon mari faisant tourner la montre sur un doigt.
Mon cœur se figea. C’est lui qui l’avait trouvée. Le montre de Jeff que jai cherchée tout l’après-midi, tournait autour d’un doigt de Nathan
- T’inquiètes pas chérie, je vais la lui ramener, ou la laisserai à sa femme.
- Nathan, attends... peux tout expliquer.
- Expliquer quoi, qu’un homme à baisé ma femme et s’est douché avec mes produits ?
- Je suis désolé, je voulais pas que tu saches ça, pleurais-je.
- OK, alors dis moi, depuis combien de fois
- Jamais Nathan, on s’est seulement embrassé.Une seule fois Nathan, je te le jure..
- D’accord, alors passe moi ton téléphone.
Il n’y avait qu’un message de Jason dans la messagerie, mais un message explicite, sans équivoque, qui risquait de briser mon couple. J’avais répondu, mais après ré
flexion, je ne l’avais pas envoyé et l’avais effacé.
- Je connais ces initiales. « J C », je vais la lui ramener, ou la laisserai à sa femme.
- Non Nathan...ne fais pas ça, s’il te plaît, laisse moi t’expliquer.
En fait, tout à commencé lors d’une soirée d’entreprise. Rien n’était programmé, si ce n’est rencontrer des potes, danser, boire des coups. Nous étions une dizaine, mariés ou célibataires. Ce soir là, Jason était venu sans sa femme, qui venait d’accoucher. C’est peu dire qu’il était solliciter pour arroser l’heureux évènement.. L’ambiance dans le bar était excellente, malgré la chaleur. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je décidais de sortir prendre l’air. Soudain, j’entendis des pas derrière moi, Jason.
On discuter de tout et de rien, savoir si l’accouchement s’était bien passé, puis me vint à l’idée que ma sœur avait laissé des vêtements de bébé à la maison, que peut-être, ça pouvaient l’intéresser. Il ma dit qu’il poserait la question, qui me tenait au courant.
Sur ce nous rentrions rejoindre les autres. C’est à ce moment que je m’aperçus que depuis cette discussion, Jason me regardait différemment. Il m’invitait souvent à danser, m’offrait à boire, me faisait rire, faisait tout pou me tenir à l’écart de mon mari. Je l’ai même surpris à m’attendre dans le couloir quand je sortais des toilettes.
- Je m’inquiétais, me dit-il.
Puis les danse devenaient plus intimes, il me serrait davantage, me murmurait des mots doux à l’oreille, voire coquin. Je lui demandais d’arrêter, que j’étais marié, et ne voulait pas que mon mari remarque quelque chose. Il m’avoua être désolé, que cela faisait des années qu’il ressentait une attirance particulière pour moi, quelque chose qu’il ne pouvait pas expliquer.
Je ne sus quoi répondre. J’aimais bien Jason en tant qu’ami, mais delà avoir une aventure, même platonique, avec lui, n’était pas envisageable, car en fait, je n’avais aucun sentiment pour lui. Je pus lire de la déception sur son visage.
Malgré ce différent, nous avons gardé le contact. Il m’envoyais des message un peu explicite, des message qu’il ne fallait pas qu’ils tombent sous les yeux de Nathan. Un jour, il osa me demander une photo de moi un peu suggestive. Je tiqua un peu. Puis, après avoir réfléchit, j’en envoyais une que Nathan avait prise en privé. J’étais à demi tournée, assise dans le jardin, entièrement nu. On voyait nettement ma poitrine. Je lui dis que c’était une photo privé, qu’il la supprime au plus tôt. Il me dit qu’il n’avait pas de problème, et que ce serait dur pour lui, de trouver une photo pour concurrencer la siennes.
Quelques jours plus tard, je reçu un message de Jason avec une pièce jointe. J’hésitais un instant, puis l’ouvris. Je restais abasourdis. La photo représentait une énorme queue d’au moins vingt centimètres, effaçant les dix huit de mon mari.
« C’est à toi ça, si gros ? » Demandais-je.
« Ben oui, ce ne sont pas des chose qu’on loue. Mais je peux te le prouver si tu veux. »
Je coupais cours aux échanges. Je ne pensais pas qu’une queue de ce calibre existe. Je la regardais un instant, puis la mis dans la corbeille, sachant que je pourrai la récupérer à tout moment. Cette nuit là, j’ai mal dormi, lr sexe de Jason me hantait. Je l’imaginais coulisser dans ma chatte, dans me bouche.
Quelques jours plus tard, je reçu un appel de Jason, me demandant s’il pouvait passer prendre des habits de bébé. Confiante, je lui dit que oui.
Cette après-midi là, un violent orage s’abattait sur la région, au point que mon mari dût différer son retour au lendemain. Quand on sonna, j’ouvris à un Jason trempé jusqu’aux os. Je lui proposais d’aller quitter ses vêtements à la salle de bain, que je les mettrais au sèche linge. Et qu’il y avait le peignoir de Nathan derrière la porte.
Avant de quitter la salle de bain, j’eus le temps de le voir en caleçon. Et il n’avait pas menti. Sa queue paraissait encore plus énorme à travers le vêtement mouillé, que sur la photo. Il surprit mon malaise. Et quand il quitta le dernier rempart, je la vis, magnifique. Il enfila le peignoir et me rejoint au salon, ou le café était servit.
- Toujours aussi séduisante, me dit-il.
Je le remercier, mais ne pouvais chasser de mon esprit cette superbe queue. Lentement, il s’approcha de moi à me frôler les genoux. Il m’arrivait de regarder un endroit précis du peignoir, espérant qu’il ne s’ouvre pas. Et c’est ce qui arriva.
En se penchant pour attraper son café, le peignoir s’ouvrit, libérant superbe queue en érection, entièrement décalotté. Je cherchais une contenance à touchant mes boucles d’oreilles, mais le désir était trop fort. Je me penchais et le pris en bouche. La fellation était douce, comme si je prenais chaque centimètres de sa bite. Ce que je n’avais pas prévu, c’est l’ampleur de largage quand il jouit. Je n’avais jamais avalé une telle quantité de semence, et pour cause, je n’ai jamais fait de fellation à mon mari.
Jason me tenait la tête d’une main ferme, afin qu’il ne plus une goutte de sperme. Puis, il m’emmena à la chambre, et là, sur le lit conjugal, il allait humilier mon mari par ses performances hors norme. Il me tris dans toutes les positions, en plus de ma bouche, je lui offris ma première sodomie, intense, douloureuse. Jason m’a offert une nuit que je n’avais jamais connu, au point d’en oublier combien je fois il m’a fait jouir.
Au petit matin, je mesurais la trahison que j’avais faite à mon mari, de lui avoir menti quand il a trouvé la montre. Quand j’ouvris les rideaux, Jason me fit signe de le rejoindre. Nous sommes repartis pour deux heures de plus. Après une douche réparatrice, il quitta la maison, me promettant de me contacter. Quand je fermais la porte, je remarquais, posé derrière, le sac d’habits de bébé.
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