Nous entrons dans l’immense salle, ou déjà quatre vingt personnes au moins, on déjà pris possession des lieux. Les yeux sont rivés sur Audrey qu’ils voient pour la première fois. Les présentations d’usage s’arrêtent aux directeur, homme très élégant, et certains cadres. Nous aurons l’occasion de croiser les autres au cours de la soirée.
Nous nous asseyons à une table, tandis que je vais chercher à boire. Quand je reviens, je la vois debout en train de discuter avec trois jeunes stagiaire. Il y a en un que je reconnais immédiatement. Alan. Très séduisant, très arrogant, le genre d’homme près à tout pour se faire remarquer. J’en averti Audrey en la tirant par les bras pour l’éloigner du groupe de fêtards. Elle me suit, mais non sans leur avoir adressé un sourire.
La soirée se déroule dans une ambiance chaleureuse, intime pour certains. Les lumières se tamisent, et le DJ envoie une série de slow. Audrey et moi allons sur la piste, déjà prise d’assaut par des couples certainement plus chevronnés que moi, étant un piètre danseur. Audrey, elle, danse magnifiquement bien, et du bord de la piste, certains le remarque.
La danse terminée, nous regagnons nôtre table, sans oublier de récupérer des boissons au bar. A peine assis, qu’une autre série recommence. Alors que nous étions de siroter nôtre verre, voila qu’Alan s’approche de nôtre table. Je le sens légèrement éméché. Et ses que je redoutais arriva.
- Madame, m’accorderiez-vous cette danse ?
- Tu te crois que tu es en état de faire danser quelqu’un ?
- Euh...désolé, monsieur, mais c’est à la dame que j’ai posé la question.
Je ne dis plus rien. Je suis comme Alan, suspendu au lèvres d’Audrey en attendant sa répons. Audrey me fixe du regard. De la tête, j’affiche une réponse négative. Audrey me fixe encore une fois, puis se tourne vers Alan qui lui tend la main. Elle la saisit et l’entraîne au milieu de la piste, non sans m’avoir lancé un sourire narquois. Déçu par se manque de respect, je me dirige au bar.
Du comptoir, je surveille la piste de danse. Je m’aperçois que la danse devient sensuelle, Alan épousant carrément le sublime corps de ma fiancée. Le pire, c’est qu’elle ne repousse pas, allant même jusqu’à passer ses bras autour de son cou, tandis qu’il la tient par les hanches. Puis, dans un mouvement de foule, je ne les vit plus.
C’est en retournant à ma table que je les aperçois à nouveau. Et là, c’est le choc. Audrey est assise sur les genoux d’Alan, la robe remontée haut sur ses cuisses, un bras passé autour de son cou. Il la tient par la taille, une main la caressant au niveau de l’ourlet de la robe. Calmement, je m’approche avec l’intention de mettre les choses au clair.
- Audrey, nous devons y aller, dis-je.
Je vois les yeux d’Alan sur moi, un sourire arrogant sur son visage.
- Attends mon chéri, je connais personne ici, je fais juste connaissance. Je te jure qu’il ne sais rien passé, et qu’il ne se passera rien…
- Tu as compris mec, je vais danser avec ta meuf, et ferai peut-être plus. Elle ne m’a repoussé quand elle sentit ma queue contre sa cuisse...elle avait l’air excitée.
Je me crispais, serrais les poings, me maîtrisant pour ne pas exploser.
- Audrey, si tu ne part pas avec moi, inutile de rentrer.
- Oh...d’accord mon chéri, une dernière danse et j’arrive...
Je la fixais, me retournais et quittais la salle. J’attendais à la voiture, cinq minutes, dix, puis au bout d’un quart d’heure, je décidais de partir, ma disant que l’un d’eux la ramènerait. Je commençais à m’assoupir, quand je reçu une notification. Je regardais l’heure, trois heures du matin.
A moitié endormi, j’ouvrais la pièce jointe. Je restais figeais en découvrant les images. Je reconnu une chambre. Audrey y évoluait, entièrement nue, un queue dans la chatte, une autre dans la bouche.
- Hé...mon pote, elle aime la queue ta meuf...surtout les grosse.
Je reconnaissais en voyant leur membre, qu’il était difficile que je me compare à eux. Et Audrey avait l’air d’aimer ça. On voyait, lors d’une fellation, le sperme giclait dans sa bouche. Elle venait près de la caméra, ouvrait la bouche pour me montrer le stock de sperme sur sa langue. Puis, d’un coup, elle avalait tout. Audrey se faisait prendre par tout le trous, dans toutes les positions. Les mecs s’amusaient à la prendre en double. Elle n’en finissait pas de jouir, d’avoir d’interminables orgasmes.
Quand elle rentra vers trois heures et demi, ses affaires étaient rangés dans des sacs. Elle supplia, disait qu’elle était ivre, que ces garçons avaient profité d’elle. Je restais impassible, ne changea pas ma décision. Elle me demandait d’aller au lit, qu’elle voulait se rattraper, qu’elle ferait tout ce qu’elle avait fait aux autres.
Justement, les autres avaient eu toutes les faveurs. La première fellation, la première sodomie. Tout, je n’en aurai jamais la primeur, comme elle me l’avait promis.
Je lui dis qu’il fallait quelle parte maintenant, que peut-être, j’allais y réfléchir.
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