C'était un vendredi soir de décembre, le genre de nuit où l'air hivernal vous mord la peau juste assez pour vous donner l'impression d'être en vie. La fête annuelle de l'entreprise battait son plein dans la salle de bal d'un hôtel de luxe. Des lustres en cristal étaient suspendus au-dessus. Le sol scintillait sous les lumières et l'air transportait un léger parfum, parfum de champagne et d'ambition.
Ma femme Amina est entrée à mes côtés, son bras passant sous le mien. Elle portait une robe vert émeraude qui reflétait la lumière à chaque pas. Le genre d'élégance qui n'était pas criarde, mais impossible à ignorer. Elle n'était pas seulement belle, elle avait l'air puissante. Et je ne pouvais m'empêcher de me sentir fier en entrant avec elle.
La fête bourdonnait de rires, de verres qui trinquaient et du doux bourdonnement de la musique du groupe de jazz qui jouait dans un coin. J'ai serré des mains, échangé des sourires et discuté avec des clients, mêlant célébrations, professionnalisme.
Et puis j'ai remarqué quelque chose. Du coin de l'œil, près du bar, j'ai aperçu Daniel, le fils du patron. Daniel était tout ce qu'on attendait d'un homme éclos avec le pouvoir. Il n'avait rien gagné. Sûr de lui sans raison. Arrogant sans honte. Le genre d'homme qui pensait que le monde lui devait tous les avantages, y compris l'attention des femmes. Il se tenait trop près l’Amina. Beaucoup trop près.
Je l'ai vu se pencher, lui murmurer quelque chose à l'oreille. Elle a fait un sourire poli, mais je l'ai immédiatement reconnu. C'était le sourire « ne provoque pas de scène ». Celui que les femmes arborent lorsqu'elles essaient d'être polies avec quelqu'un et qu'elles souhaitent simplement le voir disparaître. Je suis restée calme et j'ai observé. Un instant plus tard, Daniel a glissé sa main vers sa taille, et c'est à ce moment-là qu'Adina a reculé. Un non subtil, mais clair. Ma mâchoire s'est crispée. Je m’excusais auprès du groupe auquel je parlais et je me suis dirigé vers eux.
Alors que je m'approchais, Daniel s'est retourné, faisant semblant d'être amical.
- Oh, hé ! Je commençais à peine à connaître ta femme. Elle est charmante, adorable. Sa façon de parler avec gentillesse m'a fait chaud au cœur. Gardez un ton calme.Tout va bien?
Pourtant, je me suis tourné vers Daniel et lui ai dit.
- Bien, parce que je détesterais qu'on oublie que la fête d'entreprise n'est pas le lieu pour dépasser les limites, surtout avec la mauvaise personne.
L'espace d'une fraction de seconde, je l'ai compris. Une lueur de peur dans ses yeux, mais, il a ri comme si c'était juste une plaisanterie amicale, comme s’il détenait quelque chose. Je lui ai souri en retour, mais le mien n'était pas amical.
Le reste de la soirée, je ne l'ai pas confronté davantage. Pas de cris, pas de drame en public. Ce n'est pas comme ça qu'on fait tomber quelqu'un comme Daniel, car les hommes comme lui se nourrissent du chaos, friand de femmes mariées. Ils veulent vous faire perdre le contrôle pour pouvoir renverser la situation. Non, j'allais jouer sur le long terme.
Au cours des semaines qui ont suivi, j'ai observé. J'ai commencé à remarquer des schémas. Comment il parlait aux femmes du bureau, comment elles évitaient certains couloirs en sa présence, comment les conversations s'arrêtaient lorsqu'il entrait dans la salle de pause. Un après-midi, je l'ai entendu au téléphone dans le parking, riant et se vantant que personne ne lui disait jamais non. Il parla de sa dernière conquête. Il ne savait pas que j'étais juste derrière ma voiture, mon téléphone enregistrant à la main.
J'ai commencé à rassembler des preuves, des captures d'écran de ses messages nocturnes aux stagiaires, des notes vocales, des conversations informelles avec des collègues qui se sont finalement confiés lorsqu'ils ont compris que quelqu'un était prêt à m'écouter. Petit à petit, j'ai constitué un dossier si solide qu'il ne pouvait être ignoré. Puis j'ai attendu. L'occasion idéale s'est présentée lors de la réunion trimestrielle du conseil d'administration.
L'atmosphère était pesante dans la salle, les dirigeants étaient en costume sombre, les papiers soigneusement empilés, les tasses de café fumantes. Le patron lui-même était assis en bout de table, un homme connu pour sa maîtrise de fer de son entreprise et de la réputation de sa famille. Quand mon tour est venu, je me suis levé et j'ai parcouru les diapositives, parlant de la croissance du chiffre d'affaires, des projections, également des nouveaux projets. Puis j'ai marqué une pause. Je crois qu'il y a encore un problème à régler, dis-je d'une voix calme, mais tranchant la pièce comme du verre.
Clic. L'écran du projecteur changea et la voix apparut. Les messages de Daniel, ses enregistrements vocaux, ses commentaires inappropriés adressés à plusieurs employés, tout cela exposé à la vue de tous les cadres de l'entreprise. La salle devint silencieuse. Daniel se figea sur sa chaise, le visage de son père décoloré, la mâchoire serrée.
- Ceci, dis-je lentement, n'est pas seulement un manque de respect envers ma femme. C'est du harcèlement. Et si nous tenons à l'intégrité de cette entreprise, si nous tenons à la sécurité de nos employés, des mesures doivent être prises.
Personne n'a bougé. Personne.
- L'intégrité de cette entreprise, si nous accordons de l'importance à la sécurité de nos employés, des mesures doivent être prises.
Personne n'a bougé. Personne n'a parlé, car tout le monde était au courant. Je ne bluffais pas. Certains administrateurs furent surpris, et après débat, demandèrent un complément d’enquête. Ce délaie fut accordé, malgré la réticence de certains. Je ne m’inquiétais outre mesure du résultat. Quand la séance reprit, les mêmes personnes étaient présentes. Daniel arborait une attitude sereine, arrogante comme à son habitude.
Après un approfondissement du dossier, Daniel devant quittait l’entreprise en fin de semaine .Tout les administrés partis, il ne restait que le père de Daniel, Daniel et moi, pour signer les derniers dossiers. Nous nous apprêtions à chlore la séance, Quand Daniel demanda la parole. Elle lui fût accordée.
Il sortit son portable, le raccorda au téléviseur du salon. Les premières images montraient un grosse B M noire garée sous le parking d’entreprise. Malgré le faible éclairage, on reconnaissait nettement Daniel.Il sortit, se glissa sous la banquette arrière. Pau de temps après, une femme sortit d’une voiture garée plus loin se se dirigea vers la B M de Daniel et s’engouffra à l’arrière de la voiture. Le femme, vêtue d’une façon audacieuse était d’une a à couper le souffle. Je la reconnus immédiatement...c’était Amina, mon épouse.
Mon sans ne fit qu’un tour, mais n’interrompis pas les images. Sans c omplexe, L’Amina ouvrit sa robe, se trouva entièrement nue sous les caresses vicieuse. Elle entama une lente fellation, tandis que les doigts de Daniel lui fouillaient la chatte. On vit nettement le sperme de Daniel disparaître dans sa bouche, chose auxquelles je n’avais pas droit.
Puis il la plaqua contre le dossier, se colla à elle, et il la prit en levrette. On pouvait l’entendre gémir.
« Oh Daniel, salaud...elle est bonne ta queue...promets moi que tu me la mettras dans le cul...promets-le...» « T’aimes quand je t’encule, hein...salope...»
Puis Daniel arrêtes la vidéos.
Vola dit-il...voila ce que la R H et tous les autres membres du conseil recevront sur leur ordinateur dès demain matin.
- Attends Daniel, dit son père en me regardant, il y a peut-être un moyen d’arranger ça.
- Bien sûr qu’il y a un moyen…
- Lequel, demandais-je...est-il recevable...dis-nous.
- Je veux être réintégré à mon poste, et avoir Amina comme secrétaire particulière. Et ce ce n’est pas négociable.
Roger me regarde, avouant qu’il n’y avait d’autres choix pour le bon fonctionnement de l’entreprise. De mon côté, j’ai été trahi, trompé par la femme que j’aimais par dessus tout.
Je n’eus d’autres choix que de demander le divorce, et donner ma démission.
Depuis, Amina et Daniel travaille et habite ensemble. Ils ont une torride relation ensemble, et Amina ne cesse de vanter les performances de Daniel au lit.
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