L’été était chaud, et les journées très agréable cette année là.
Les enfants à la montagne avec leur grands parents, nous avions le temps de pouvoir laisser libre court à nôtre vie de couple amoureux, trop souvent mise de côté, par les obligations familiale.
Aussi, Sandra, ma ravissante épouse, et moi, faisions l’amour le plus possible, profitant de chaque instant de liberté, et de douce chaleur du soir.
Un soir, après avoir lézardé au soleil sur la plage, Sandra me propose d’aller en boite, pour danser, comme pour nous rappeler nôtre jeunesse. A quarante ans, je me sens encore jeune, mais j’avais compris l’idée. Je lui fis cependant remarquer, qu’étant jeune, je n’étais pas doué, que j’étais un piètre danseur.
Elle me répondit d’un air coquin, que ce serai pour elle l’occasion de danser aux bras de jeunes et séduisant mecs. Elle voulait savoir si elle pouvait encore séduire.
Je lui répondit qu’elle était aussi désirable qu’a vingt ans, malgré ses trente huit.
Avec son quatre vingt dix C, ses un mètre soixante dix, ses formes placées juste ou il faut, et comme toutes les femmes mures, un peu de hanche, des fesse bien rebondies, un ventre plat, et des cuisses bien galbées.
- On verra, me lança-t-elle d’un air coquin.
Je lui fis remarquer que certains homme, émoustillé par tant de charme, risquaient de vouloir aller plus loin qu’une simple danse.
- Et alors...c’est pas toi qui rêve de me voir prendre par un autre homme ?
Ceci mit fin à la discussion et annonça le début des préparatifs.
J’optais pour une tenue sobre. Chemise de lin et pantalon de toile.
Sandra, qui avait disparu depuis demi-heure, réapparut dans une ravissante robe d’été, descendant à mi-genoux, laissant la part belle au décolleté, puisque se portant sans soutien-gorge. Ses fines jambes, tout comme je suppose sa chatte, étaient parfaitement épilées, et n’apercevant pas de trace de culotte sous la robe, je me permis de glisser une main en dessous, et constatais qu’elle portait un string, qui laissait libre ses fesses magnifiques, faisant un effet hypnotisant.
Fin prêt, nous partîmes dans une boite qui passe de la musique des années soixante. Le parking occupé, mais pas surchargé, annonçait une soirée sans trop de monde. Nôtre impression fut la bonne.
Malgré tout, les salle étaient bien occupées, mais pas bondées, et il restait, de ci de là, quelques fauteuils de libres. Nous prîmes d’abord quelques verres pour nous détendre, et comme nous ne sommes pas habitués à boire, l’effet se fit rapidement ressentir.
Sandra m’emmena sur la piste pour danser des rocks, seule danse ou je me débrouille plutôt bien, sans être un expert. Mais au bout d’une heure de ce traitement endiablée, je réclamais une pause, et nous installions à une table restée libre, dans un coin discret de la salle.
A peine dix minutes s’étaient écoulées, qu’un homme, la quarantaine, à l’allure sportive, sourire, demanda à Sandra, si elle voulait bien lui accorder une danse. Bien évidemment, elle accepta, et repartit à nouveau sur la piste, pour enchaîner une série de rocks. Je remarquais sans trop de mal, les mains baladeuses de son partenaire qui pratiquait surtout les passes ou il était possible de poser ses mains sur sa cavalière et celle qui la faisait tourner sur elle même.
Il ne savait plus où donner de la tête, tantôt les yeux plongés dans son décolleté, tantôt le regard fixé sur sa jupe qui en tournoyant laissée apparaître le bas de ses fesses.
Une série de slow commença. Sans hésitation, le couple se rapprocha.
Les deux premières minutes me parurent chaste, Sandra gardant une distance mesurée, puis son partenaire se mit à lui chuchoter à l'oreille. Elle se mit à rire ce dont il profita pour la serrer de plus en plus contre lui. Mon épouse, toujours en train de rire à ses chuchotements se laissait faire sans protestation. La main de son partenaire, resté jusque là sur sa taille, se mit à descendre lentement sur ses fesses
Je vis l'homme doucement fermer le bout des doigts pour prodiguer un malaxage subtil mais méthodique. Il ne se priva pas pour doucement passer son pouce sur le départ de son sillon fessier, le faisant aller de haut en bas pour le masser sensuellement.
La série de slows terminés, ma femme revint à mes côtés accompagné de son cavalier, qu’elle me présenta comme se prénommant Sylvain.
Il s'assit à côté d'elle.
- Sandra est une excellente danseuse, elle a le rythme dans la peau et une grâce tout ce qu’il y a de plus naturelle.
- Merci, dis-je en souriant.
La discussion engagée, nous parlâmes de tout de rien en prenant des cocktails offerts par Sylvain. Sandra était captivée par cet homme. Je le vis glisser discrètement une main sous la table pour la poser sur la cuisse de mon épouse faisant de lentes caresses le long de celle-ci. Sandra riait, participait à la conversation comme si de rien n’était. Je dus m'excuser pour aller aux toilettes. A mon retour, ils étaient partis. Je ne les voyais pas sur la piste et les aperçus à l'autre bout de la salle, se dirigeant vers la sortie. Il me fallut quelques minutes pour fendre la masse de danseurs et me diriger moi même vers le parking. Entre temps, je les ai perdu de vu et fit le tour du parking pour les retrouver.
Ce n'est qu'au bout de dix minutes que je remarquais une Renault espace les vitres teintées, légèrement baissées, isolée dans un coin non éclairé du parking.
Je m'en approcha lentement pour regarder sans être vu ce qui se tramait à l'intérieur.
Sylvain et Sandra étaient à l'arrière du spacieux véhicule. Elle est à demi-couchée sur son partenaire, la robe entièrement déboutonnée et ouverte, les seins débordant par dessus les balconnets. Le string a disparu, remplacé par la main de Sylvain sur sa chatte. Je vois son majeur s’activer sur le clitoris de Sandra, sorti de sa cachette.
- Arrêtez...regardez comme vous avez décalotté son petit bouton...elle doit avoir mal.
- Oh non chéri...si tu savais comme c’est bon...tu n’arrive pas à le faire toi.
- Ah bon, il ne sait pas faire ça...pourtant...approchez-bous.
Tel un automate, je m’approche de le vitre baissé du véhicule, passe ma tête dans l’habitacle. Je vois nettement le petit bouton de ma femme.
- Vous voyez, une fois qu’il est bien sorti, vous le doigtez avec vôtre majeur. Vous allez entendre comme elle va crier quand elle va jouir...tenez, justement, ça vient.
- Oh oui...c’est bon, rentrez vos doigts dans ma chatte...on oui...je jouis...oui…
- Vous avez entendu, Sandra à le clitoris très sensible...le tout est de savoir l’utiliser.
Puis il propose à ma femme de se tourner vers le dossier, de poser ses mains de chaque côté de l’appui-tête.
- J’étais sûr que tu avais un cul superbe, maintenant que je l’ai en main, je suis encore plus admiratif. J’ai pu remarqué pendant les slows, que tu aimais bien qu’on le masse.
- Oh oui, j’adore, il faut croire qu’il est très sensible lui aussi, et que vous êtes pas gêné pour en profiter pendant la danse.
- Cela n’a pas l’air de te déranger, coquine. Tu fais pas l’effarouchée.
- Je reconnais y avoir pris beaucoup de plaisir.
- Oui...et de caresser ta chatte, t’en a donné aussi du plaisir.
- C’est vrai...continue…
- je vais passer mon pouce entre tes fesses comme tout à l’heure, sauf que cette fois, je vais t’enfiler complètement...tu veux ?
- Oh oui...vas y...caresse moi...passe ton pouce...
Je l’aperçus descendre le doigt entre les fesses de mon épouse, maintenant bien cambrée sur le fauteuil. La descente fut lente mais appliquée, marquant un arrêt au sursaut de mon épouse, une fois arrivé au petit trou.
- Tu as l’air très sensible à cet endroit...dis moi. Tu es toute mouillée entre les cuisse. Je te fais de l’effet on dirait…
Il s'exécuta en caressant toujours lentement, mais de manière appuyée, la chatte de Sandra qui commençait à souffler et à gémir crescendo. Puis un « oh » se fit entendre quand il lui introduisit deux doigts au fond de la chatte largement lubrifié. Il commença de long va et vient agrémentés de rotations qui arrachèrent de plus en plus de gémissements à Sandra. Il en profita pour appuyer de son pouce lubrifié sur son petit orifice, en reprenant les longs va et vient. J'entendis un « Ouah » lorsque que son pouce pénétra l’œillet de ma femme
- Tu aimes, hein ma belle…
Ah...ah...furent sa seule réponse.
Sylvain continua de plus belle jusqu'à ce que Sandra demande grâce en poussant des
« Oh mon dieux ». Ne lui laissant pas de répit, il enleva son pantalon, laissant apparaître un sexe énorme, long et épais . Il se plaça derrière mon épouse, entre ses jambes, pour, je le pensais, la prendre en levrette au naturel à ce qu'il semblait
A ma grande surprise, il n'en fit rien se contentant de passer son sexe tendu sur la fente humide de mon épouse, jusque au clitoris, sans la pénétrer, en sortant avec autorité ses seins des balconnets les caresser sans retenue, jouant avec les bouts, les faisant rouler entre deux doigts. Cela dura un bon quart d'heure.
Puis, lassé, il se dégagea pour s’asseoir sur le siège d’a côté, la bite tendue et luisante. Il attira Sandra à lui, la forçant à se mettre à genoux entre ses jambes. La regardant dans les yeux, il lui dit.
- Suce moi Sandra, je suis sur que tu as une excellente bouche pour tailler les pipes.
- Je na sais pas...mon mari ne m’a pas souvent fait des compliments.
- Viens...prends ma queue en bouche, et je te dirais si tu suces bien…
Il lui attrapa la tête pour l’amener devant son calibre.
- Vas-y...lèche le doucement...passe bien ta langue sur le gland...oui, comme ça, c’est bien...n’oublie pas de me lécher les couilles...hum...parfait, continue...prends les bien en bouche...hum...tu aimes ça, lécher, hein ?
- Oui, j’aime la lécher
- Maintenant que je sais que tu es une bonne lécheuse, voyons si tu es aussi une bonne pompeuse ! Pose ta bouche sur mon gland! Voilà! Ah oui! Tu sais faire une excellente suceuse...tu as de l’expérience on dirait...tu en as eu beaucoup en bouche ?
- Hum...au lycée oui, énormément, mais très peu avec mon mari...c’est pas son truc.
Tu as pas l'air sous tes airs comme ça, mais tu es une sacrée gourmande ! Allez descends doucement sur ma queue, serre bien les lèvres, voilà comme ça ! Ah oui c'est bon, je sens ta langue glisser sur ma tige ! Tu as une sacrée technique. Vas y ma belle suce bien, fais de lents va et vient ! Je sais pas si je vais tenir longtemps à ce train là! Tu aimes vraiment sucer….tu aimes les gorges profondes ma belle ? C'est ta dernière épreuve!
- Je ne sais pas si j'arriverai à la prendre en entier …
- Mais si! Je suis sur que ton mari va te le fait faire régulièrement maintenant! C'est pas possible autrement vu l'aisance et la technique que tu as ! A moins que tu aies eu des tas de sexes en bouche !
- Pas tant que ça en fait !
- Alors , c'est que tu es naturellement faite pour tailler des pipes! Ouvre la bouche qu'on en finisse. J'en peux plus là, faut que je me vide.
Sylvain attrapa la tête de Sandra pour lui imprimer des va et vient sur sa queue en la poussant, de plus en plus, à la prendre profondément ! D'excitant gargouillis se firent entendre mais pas de signe de recul de mon épouse, ni de haut le cœur !
- Voilà ! tu es y ma belle ! Je me sens cogner au fond de ta gorge ! Putain que c'est bon ! Je vais pas tenir ! Je fais quelques aller retour et je vais tout mettre au fond ! Tu vas tout avaler hein ! Ce serait dommage de gâcher une telle pipe! Tu aimes avaler non?
- Hum...
- Je prends ça pour un oui et puis maintenant que nous sommes intimes! Tiens! Prends tout ! Ah oui putain ça vient ! Ah ! Avale oui avale ! Ah oui tu me vides bien les couilles! Tiens encore ! Ah ouah ! Trop bon ! Allez je te laisse respirer ! Tu as aimé avaler ?
- On peut pas dire que j'ai vraiment eu le choix....
- Mais tu as aimé ! J'ai pas vraiment ressenti de recul non plus..
- C'est vrai mais avaler un inconnu, c'est pas tous les jours
- Écoute ma belle! Quand un homme te doigte jusqu'à l'orgasme et que tu le prends jusqu'au fond de ta gorge, on peut plus vraiment dire que c'est un inconnu non ?
- Présenté comme ça ! Effectivement
- En tout cas, toi qui voulait des compliments, je peux te dire que tu es une sacrée suceuse ! Tu as une bouche faite pour pomper ! J'ai qu'un seul regret c'est de plus avoir assez de force pour profiter de tes superbes fesses! Tu dois être délicieuse aussi en levrette et en sodomie...
- J'ai pas eu de commentaires non plus...mon mari ne m’a jamais enculé...
- Tiens ! Je te donne mon tel ! Appelles moi que l'on se refasse une séance! On retourne danser ?
- Oui pourquoi pas...ce soir...on t’invite à la maison...
Ils se rhabillèrent, retournèrent sur la piste de danse que j'avais pris soins de regagner avant eux, puis rentrions à la maison, ou je m’installait dans la chambre d’amis.
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