Ah, quelle étaient bonne les années 80 ! Quant j’y pense de nombreux souvenirs me reviennent et mon corps se remplit de frissons, même ma chatte bave, la cochonne !
Déjà la mi Juin, je suis en classe de terminale. L’année scolaire se termine, le prof a du mal à remplir la classe si prêt de la fin. Nous apprenons au dernier moment que les cours de cet après midi sont annulés.
Tant mieux, je pourrai buller à la maison, dommage que maman soit à la maison, elle risque de me donner de l’occupation ! Je vais quant même profiter de la cantine !
Je déjeune tranquillement, j’ai bien fait de mettre ma petite jupe plissée, cela me permet de ventiler mon entrejambe. Je ne sais pas ce que j’ai en ce moment, mais j’ai toujours envie de me toucher ?
Treize heure est passé, je prends mon sac, et direction la maison ! j’habite à un kilomètre du collège, par ce temps, c’est agréable de marcher.
J’ouvre le portillon, la voiture à Maman n’est pas dans la cour. Chouette, je vais pouvoir glander !
J’ouvre la porte de la maison, je prends soin de la refermer. Je m’assure que maman n’est pas là en l’appelant, rien à signaler !
Je range mes chaussures dans la commode et monte dans ma chambre, je me déshabille, ma petite culotte coton est humide, je la sens, j’aime cette odeur !
Je suis nue, je me regarde dans la glace, je me trouve belle !
Je me dirige vers la chambre de maman, je connais ses cachettes, et j’emprunte son gode. Je l’avais découvert en cherchant les livres de cul à papa, dans le tiroir du bas de leur armoire. Je prends également une revue ( Union ), ça m’excite de les lire !
Je suis nue allongée sur mon lit, j’ai déjà lu un long paragraphe d’une histoire de lesbiennes, j’aimerai bien essayer avec une autre femme ! J’ai commencé à me masturber avec le gode, c’est bien dur et ça le reste, pas comme la petite bite à Julien qui me baise de temps en temps, mais ne tient pas longtemps !
« Aaaaaaaahhhhhhhhhh ! C’est bon !!!!!!!!!! Je me le mettrais dans l’anus après, j’adore aussi !
Alors que le gode va et vient dans mon vagin, pendant que je me triture le clitoris, j’entends une voiture qui rentre dans la cour.
Tout en me masturbant, je m’approche de la fenêtre.
Merde, c’est maman qui est rentrée ! Zuttttttttt.
Juste le temps de remettre le gode et la revue, je m’enferme dans ma chambre, faisant semblant de dormir.
Mais mon attention est attirée par la porte de la maison qui s’ouvre et des bruits de voix.
J’entrouvre ma porte de chambre sans bruit, et me positionne en haut sur le palier.
Je vois le voisin Robert, il est âgé de la cinquantaine. Il parle avec ma mère, et soudain, la prend dans ses bras.
Elle ne dit rien et l’embrasse. La main à Robert a soulevé la jolie robe tissu et ses mains sont maintenant sur les fesses à maman.
Tout en l’embrassant, maman a baissé le short du voisin, son sexe est dressé bien raide.
Robert baisse la culotte de maman, et ses doigts fouillent entre les lèvres vaginales de maman.
Je l’entends gémir de plaisir, alors que Robert la motive !
« Tu aimes cela ma salope ! Tu la veux ma queue ! «
« Oh oui !!!!!!!!!!!!»
Sans attendre, Robert présente son sexe face à la bouche de maman, qui accroupie l’avale totalement. Sa bouche glisse sur son membre, allant d’avant en arrière.
D ’ ou je suis, je peux admirer la croupe à ma mère, sa robe est relevée jusqu’à sa taille. Elle est bien cambrée et roule du cul tout en le suçant !
Je suis toute chaude, et obligée de me caresser le minou !
Voir maman sucer la grosse bite du voisin me rend jalouse, après tout, elle a celle de papa !
Robert la tient par la tête et l’insulte, cela ne l’empêche pas de continuer, elle a l’air d’aimer !. Le voisin augment la cadence et finit par décharger son foutre dans la gorge de ma mère !
Elle avale toute jusqu’à la dernière goutte, et se lèche les lèvres à la fin !
Robert se reculotte, puis il prend la bouche à maman et l’embrasse !
Avant de partir, il lui met une claque sur les fesses en lui disant :
« Tu donnes le bonjour à ton cocu, tu pourras le sucer ce soir en pensant à moi !
Demain après midi, ma femme est absente, tu peux venir que je te baise ! «
« Désolé Robert, j’ai rendez vous à la coiffeuse et je fais les courses après ! «
« Pas grave, tu passes quant tu veux, ‘t’auras ta dose, tu sais bien ! «
Le voisin part et maman également.
Je peux reprendre mes caresses en pensant à leurs ébats, mais une idée germe dans ma tête !
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