Au lit, c'est souvent elle qui domine et je dois reconnaître que parfois, quand elle prend le dessus, ça m'excite. Elle le remarque et elle prend plaisir à aller de plus en plus loin, jusqu’à m’humilier en faisant allusion au mensuration moyenne de ma queue, et ne serait pas contre en essayer une beaucoup plus grosse. Elle sait qu’elle me rend fou, mais ne suis pas sûr de vouloir la partager et la voir se faire baiser par un autre devant moi.
Elle est ma copine, et son corps n’appartient qu’à moi. C’est l’amour de ma vie.
Mais revenons à ce fameux samedi avec mon pote. On prenait l’apéro tranquillement, quand la discussion s’oriente sur le sexe. Je connais la réputation de Don Juan de mon pote, bon baiseur, et qui ramène souvent des filles draguer en boite, et qu’il baise toute la nuit. Mais ce soir, il n’a pas envie de sortir en discothèque…mais...
- J’hésite à sortir ce soir, j’ai très envie de baiser, dit-il. Je me ferais bien une fille…
Quant à nous, ça fait deux semaines qu’on a pas fait l’amour, suite à une fatigue dût à mon travail, et j’ai pas clairement la tête à ça ce soir. Sandra s’est plaint de ce manque dernièrement, et m’a traité d’incapable, qui ne sait pas à la baiser comme elle le mérite, et qu’elle est en droit de prétendre. Bizarrement, ces propos contre moi, m’a excité.
- Ben moi, ça fait quinze jours que je me suis pas faite défoncer, comme tu dis, que mon copain ne m’a pas baisée.
J’ai halluciné d’entendre ça, et encore plus de les entendre éclatés de rire, suite à ces propos. Mon pote, ce salaud, m’avouait être attiré par ma femme, qu’il aimerait bien la mener dans son lit. Il dit même être disponible, pour palier à ce manque de sexe.
Sandra s’arrête alors de rire, et me regarde droit dans les yeux. Je lis dans son regard.
« J’ai tellement de me faire enfiler, que je ne serais pas contre »
Je sens que la soirée m’échappe.
Mais au lieu de faire quoique ce soit de complètement fou et dangereux, pour nôtre couple, elle me sourit, et s’approche de moi, et me donne un tendre baiser. Je suis rassuré, j’ai bien cru que cette soirée allait déraper, et que ma chérie allait faire n’importe quoi, jusqu’à se laisser caresser par cet inconnu pour elle.
C’est ma copine, et il est hors de question qu’il la touche, ou même qu’il la voit nue.
Sandra et nous, nous embrassons amoureusement et je sens son corps contre le mien, elle a clairement le feu. Mais c'est là que je ne comprends pas.
Je sens quelque chose au niveau de ses seins, contre ma propre poitrine. J'arrête de l'embrasser et recule ma tête, elle a les yeux fermés, la bouche ouverte en gémissant. En baissant mon regard, je vois alors clairement la main de mon pote qui lui tripote les seins par dessus son tee-shirt. Il est venu se coller à elle par derrière et, sans gène, la touche devant moi !
Et elle se laisse faire, sous mes yeux. Je n'en reviens pas, je ne sais pas quoi faire. Non non...Je ne veux pas que ce salaud est le privilège de toucher ce que je possède de plus cher au monde. Il serait capable de s'en vanter auprès de moi après comme il l'a toujours fait, alors que là et jusqu'à présent, c'était l'inverse.
Au moment où je sens que je me remplis de tristesse et que je me sens rabaissé, elle ré-ouvre les yeux, me regarde, me souris et m'embrasse tendrement pendant qu'il passe désormais ses mains sous son tee-shirt. Tout s’enchaîne
Je ne comprends plus ce qu'il se passe, je suis terrassé par mon énervement et mon excitation à la fois et chaque fois que je reprends conscience de ce qu'il se passe, ma copine m'embrasse tendrement en me gardant contre elle, face à elle.
Pourtant, je vois bien que petit à petit, ce salaud fait descendre ses mains et commence à tripoter ma copine, il a désormais sa main sous la robe de ma chérie et je l'entends gémir. Lentement, il soulève la robe, et je m’aperçois qu’elle ne pote pas de culotte. Elle se laisse aller et offre son intimité à mon pote.
Je me souviens alors que pendant l’apéro, elle était allé à la salle de bain, et c’est à ce moment qu’elle avait dû la retirée. Elle se laisse aller, offre son intimité à mon pote.
- Regarde ce que je fais à son clito...comme je l’ai bien décalotté...
En effet, le petit bouton de Sandra dépasse de plus d’un centimètre du capuchon. Je n’ai jamais osé le sortir comme ça.
- Dis à ton copain que tu aimes..tu veux que je te mette deux doigts dans la chatte ?
- Oh oui...vas-y, branle moi...mais continue à doigter mon clitoris...oh chéri...c’est bon.
Tout va très vite, il lui enlève son haut et son soutien-gorge. Elle se retrouve entièrement nue. Lui se retrouve nu en moins de deux et ma chérie, qui se transforme en petite salope prête à tout pour se faire mettre, enlève mon tee-shirt.
Il se colle de nouveau à elle et je pense qu'il doit bander car je vois ma chérie ouvrir de grands yeux et s'avancer légèrement vers moi, comme si elle ne s'attendait pas à sentir sa bite contre ses fesses. Et toujours sans que j'ai mon mot à dire, il commence à la baiser. Purement et simplement, mon pote pénètre l'intimité de ma copine pour se soulager de son envie de démonter une petite dont il se fout, alors que je la considère comme un trésor.
Et elle... Elle se laisse faire et se laisse prendre par ce mâle, les seins à l'air, nue et impudique, salope comme jamais. Je la soupçonne d'avoir toujours eu envie de se faire baiser par un mec, pour qu'elle se laisse prendre comme ça.
Et moi, j'en peux plus, mais je dois reconnaître qu'elle est belle ainsi heureuse, je n'ai qu'une idée en tête, l'embrasser tendrement et sentir ses lèvres sucrées pour lui faire comprendre qu'elle doit bien profiter de se sentir ainsi désirée sexuellement par un mâle et amoureusement par moi.
Je ne remarque même pas que mon pote a sorti son téléphone et filme ma copine si belle en train de se faire défoncer par lui, et moi si con en train de l'embrasser amoureusement et de me laisser faire aussi. Sandra me demande de me mettre tout nu à mon tour, ce que je fais. J’entends alors leurs rires et leurs quolibets. Soudain, je vois un bras se tendre contre la hanche de ma copine.
- Ah...salaud…
- Que t’arrive-t-il mon chéri…
- Cet enfoiré...il a chopé mon petit oiseau...il l’a décalotté...il fait rouler mes petites couilles entre ses doigts...ah...non, ne serre pas...je ferais ce que tu voudras…
- Allons à la chambre, dit Sandra, je sens que ton pote va bien s’amuser avec nous...dis-moi mon chéri, tu as déjà taillé une pipe à un mec, et tout avalé ? Non ? Et sodomisé non plus je suppose...tu vas voir comme tu vas te régaler.
Gérard retire sa queue de la chatte de ma copine, et m’entraîne à la chambre en me tirant par mon petit zob décalotté. Sandra prend un réel plaisir à me voir sodomiser par mon pote, et à me voir tout avaler quand il jouit dans ma bouche.
Je vais être leur jouet et être humilier toute la nuit, surtout par ma copine..
Honnêtement, je ne sais pas comment tout cela va finir entre nous.
Je me connecte ou je m'inscris