La vidéo qui a failli briser mon mariage.

Récit érotique écrit par mazaudier le 16-10-2025
Récit érotique lu 1 fois
Catégorie Infidélité

Suis-je responsable si Dieu m’a doté d’une beauté exceptionnelle ? Suis-je responsable si quand je rentre dans un pièce, elle s’illumine, que du fait de ma présence ? Suis-je responsable si les mâles se retournent sur mon passage, et fantasme sur moi ?

Ben, c’est se que rend jaloux mon mari, dès que nous sortons en soirée. Pourtant, je suis irréprochable, d’une fidélité indestructible. Sur la piste, je ne vois que Julien, mon futur mari, l’homme de ma vie. Mais parfois, la jalousie, poussée à l’extrême, peut briser un couple.

Les premières fissures dans nôtre relation sont apparus lors d’une soirée d’entreprise, organisée par la société de Julien. J’avais ce soir là, opté par une tenue audacieuse, cadeau de mon fiancé. Jupe courte, chemisier ouvert sur ma superbe poitrine dépourvue de, soutien-gorge. Une bombe. Julien était fier de me me sentir pendue à son bras. Les hommes gravitaient autour de nous, demandaient à être présenté.

Après les formules de politesse, nous nous dirigeons vers la table qui nous était réservée. Elle était idéalement placé en bordure de la piste de danse. Julien commanda une bouteille de vin. Des couples envahissaient déjà la piste, se trémoussant au rythme de la musique diffusait par le DJ. Pour mon plus grand malheur, Julien était un piètre danseur, mais ne m’a jamais dit de refuser l’invitation d’un partenaire.

Soudain, le regard de mon fiancé se figea, le regard fixant un endroit précis de la salle.

« Oh putain, il est là ce connard, marmonna-t-il.»

Je le fis répéter, n’ayant rien compris à ce qu’il avait dit. Il me de na pas me retourner.

Je remarquais que chaque fois que nous dansions, le regard de Julien se tournait toujours vers le fond de la salle. Après avoir regagné nôtre table, je pris ma pochette, et me

Dirigeais vers les toilettes. Alors que j’étais installé, je saisis une conversation des plus bizarre.

- Putain, dit une voix, la femme de Julien, quel canon...ouah, le veinard.

- Savoir si elle est meilleurs que son ex au lit, répondit une autre voix.

- Je te dirais ça quand je l’aurais chopée.

- C’est vrai que tu l’avais baisée Lucas, c’est pour ça qu’il l’avait quittée quand il vous a surpris, et que depuis, il te déteste.

Puis le bruit de la chassa les fit s’éloigner. Je sortis, troublée par ce que j’avais entendu, mais aussi excitée de se sentir désirée. Il ne me restait plus qu’à mettre un visage sur le prénom...Lucas. Je me lavais vite les mains, et rejoignis Julien à nôtre table. Il avait pris soins de commander une autre bouteille de vin. Tout en buvant, mon regard balayait la salle, à la recherche d’un visage fixé vers nôtre table, mais ne remarquais tien.

Je voyais le visage se transformer, et craignais que l’inévitable se produise. Quelqu’un s’approchait de nôtre table.

- Puis-je inviter Madame., dit une voix que je reconnaissais être celle de Lucas.

Je sentis le visage de Julien se crisper, son regard foudroyant ne souffrait d’aucune équivoque. Je me retournais alors, et découvrais un homme d’une rare beauté.

- Tu vois pas qu’on est en couple...si elle danse, c’est avec moi.

- Désolé, répondit Lucas, mais c’est à la same que je m’adressais.

- J’ai bien compris dit Julien, mais il se trouve que cette dame, va devenir ma femme.

Je serrais les mains de mon fiancé sous la table, essayais de le calmer du regard.

- Chéri, n’en fait pas tout un drame, ce n’est qu’une danse.

Je vis le visage de Lucas s’illuminer, pensant trouver en moi une alliée, voire une proie. Il revient à la charge, défiant Julien du regard.

- Je pense que la dame à son mot à dire, dit-il sur de lui.

- Julien, on est venu pour s’amuser, alors laisse moi danser avec lui.

Julien accusa le coup, savait que j’avais déjà pris ma décision. Il me regarda, la tristesse se lisant sur son visage. Il me fixa, puis me dit.

- Si tu danses avec lui, je ne serais plus là quand tu reviendras.

Je me penchais, l’embrassais, lui murmura à son oreille. « Juste une danse mon chéri.»

Je pis la main que Lucas me tendait, et disparussions au milieu de la foule de danseur. Je savais que Julien serait là à mon retour, aussi, je ne m’inquiétais pas, restait un peu plus que prévu à danser dans les bras de Lucas. Inconsciente, je le suivis au bar, ou les verres se vidèrent rapidement.

Je commençais à être éméchée quand Lucas me ramena à ma table. Il était trois heures du matin. Julien n’était plus là. Je me rendis à l’accueil, ou une hôtesse me te,dit une enveloppe. A l’intérieur, sa bague de fiançailles et un petit mot. « Je t’avais prévenu. »

Je pris mon téléphone, appela Julien, mais tombais sur la messagerie. J’envoyais des textos, disant que j’étais désolé, que c’était un erreur, que j’aurais dû l’écouter, que je n’aurais jamais dû faire ça, que je l’aimais. J’insistais pour qu’il vienne me chercher, en vain, tous mes messages restèrent sans réponse. Je m’apprêtais à appeler un Uber, quand Lucas me proposer de me ramener. A partir de ce moment, ce fut le flou.

Quand je rentrais, la maison était vide. Sur la table de la cuisine, Juste un simple mot.

« Je t’aimais Laure, mais tu as détruit cet amour. »

Je pris mon vidage à deux mains, et me mis à pleurer, sans pouvoir m’arrêter. Je me rendis au salon, remarquais la tablette de Julien sur la table basse. Je l’ouvris en tremblant, à la recherche d’un éventuel message, mais ce que je vis me glaça le sang. Lucas et moi en train de danser. Mais d’après les images, cette danse n’était pas si innocente que cela puisse paraître

Ses mains étaient posées sur mes hanches, les mienne autour de son cou, mes mains se perdant parfois dans ses cheveux. Une main remonta dans mon dos, sous le chemisier. Une autre passa devant, caressant un sein, jouant à faire rouler un bout entre ses doigts. Je me surpris à caresser la bosse qui s’était formée sur le devant de son pantalon, et pus en mesurer la dureté.

Soudain, le bruit de portière qui claquent. Je me retrouvais entièrement nue sur la banquette arrière. Je sentais des mains parcourir mon corps, surtout les parties intimes. Je me surprenais à apprécier ces caresses, à prendre du plaisir. Je repérais Lucas assit sur le siège passager, téléphone dirigeait vers nous. Ce salaud filmait.

- Et mec, regarde comme ta meuf se régale, tu va entendre comme elle va crier.

Puis, dans un premier temps, les gars me forcèrent à les branler, avant de se faire sucer.

La voiture s’arrêta enfin. L’un des d’eux jeta un manteau sur mon épaule, puis rentrions dans un appartement. Tous se retirèrent, me laissant seule avec Lucas. La nuit fut torride. Je m’offrais sans retenue, de plus en plus agitée, me tordant comme un ver sous les caresse perverses de Lucas.

Face à la caméra, il me forçait à dire qu’il était mieux monté que mon fiancé, ce qui était vrai, d’au moins plus de quatre centimètres. Avant de ma pénétrer, il m’obligea à le sucer, à tout avaler. Puis vint la pénétration. Aucun trou ne fut épargné. Le pire, c’est

je prenais du plaisir, et il le commentait mes cris, mes orgasmes dans son téléphone. Je me lâchais complètement, nouant mes jambes dans son dos, ou me cambrais vers sa queue quand il me prenait en levrette. Puis, ce que je redoutais le plus. Il approcha son téléphone quand sa queue effleura mon petit trou. Mes doigts s’agrippaient au lit, tandis qu’il progressait, lentement, délicatement.

Je poussais un long soupir quand je sentis ses couilles au contact de mes fesses. Il ne se retira pas, m’inondant de son abondante semence. Puis il s’écroula à mes côtés, le sexe toujours dressé au plafond. Et là, je fis un geste impensable. Je me soulevais, le chevauchais, et m’empalais sur son énorme pieu. C’est à ce moment que j’ atteignis un cinquième orgasme, avant la fellation sous la douche, ou j’avalais son plaisir jusqu’à la dernière gouttes.

Après avoir visionné la vidéo, je m’écroulais sur le canapé. Mais pourquoi avait-il envoyé ça, voulait-il détruire nôtre couple, comme il l’avait déjà fait ? Je repesais à Lucas, à nôtre danse, mais rien d’autre n’apparaissait. C’était le flou complet dans mon esprit.

M’avait-on fait avaler une quelconque substance.

Malgré l’heure matinale, j’appelais Estelle, ma meilleure amie. Je la savais occupée à se faire baiser par son amant, mais savais qu’elle me répondrait dès qu’elle aurait le message. Nous nous donnions rendez-vous dans la matinée dans un petit café. J’arrivais, des lunettes de soleil pour cacher mes larmes. Estelle me prit dans se bras, me dit de tout lui raconter, la danse, les baiser, le sexe. Je lui montrais la vidéo.

- Il est tellement gros Estelle, tu comprends ?

Estelle acquiesça, me rassura, me disant que j’avais été piégée, qu’il fallait tout expliquer à Julien. Elle me redemanda de voir la vidéo. C’est là qu’elle releva une anomalie. Elle regarda attentivement, puis remarqua l’heure d’envoi. Cinq heures du matin, alors que le message de Julien est horodaté à deux heures. Il n’avait donc pu voir la vidéo.

Je devais le contacter, lui mentir, lui dire que ce n’était qu’une danse, qu’il ne s’était rien passé, qu’il devait pardonner. Mais à ce jour, je n’ai aucun e réponse.










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16-10-2025 0 1

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