Mon collègue de travail a fini par me séduire.

Récit érotique écrit par mazaudier le 15-12-2025
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Catégorie Infidélité

Je m’appelle Lisa, je suis mariée, et pourtant j’ai eu une aventure avec un collègue de travail, avec lequel je n’ai aucune affinité, aucun sentiment, seulement des relations de professionnelles. Je pense que lui étant également marié, il n’est pas attiré sexuellement, malgré mon insolente beauté. Mais alors, que s’est-il passé, pourquoi cette attirance soudaine.

Marc, nouveau venu dans la société est un quasi inconnu pour moi. Il est très séduisant, sans pour autant tromper mon mari avec lui. Cette relation a eu lieu dans sa voiture, et a duré à peine une heure. Une, je dois l’avouer, très intense. Un vendredi, en sortant du bureau, nous décidons de prendre une verre au bar tout proche, pour fêter les congés.

Nous sommes assis sur la terrasse, quand éclate un violent orage, comme souvent en cette période de forte chaleur. Dans un premier temps nous rentrons dans le bar, et m’inquiète, car mon bus part dans un quart d’heure. Devant mon désarroi, Marc propose de me ramener, ses parents habitant près de chez moi. J’acceptais par la force des choses.

Sur le trajet,on parlait de tout et de rien, et me disait que son couple traversait des turbulences. De mon côté, je me laissais aller moi aussi à des confidences intimes. Sur mes rapports avec mon époux. L’orage faisait rage, le ciel était obscur, et les essuies glace balayaient péniblement le pare brise. Par sécurité, Marc pris la décision de s’arrêter sur un parking.

Voulant attraper un chiffon dans le coffre à gants, sa main frôla la mienne. Ce fut comme une décharge électrique. Nos regard se croisèrent sans pouvoir se détacher. Il garda sa main dans la sienne, puis la posa sur ma cuisse. Pensant qu(il avait manqué le levier de vitesse pour le mettre au point mort, me paraissait stupide. D’autant que sa main faisait glisser ma robe de bas en haut, sir mes cuisses. La manœuvre n’était donc pas accidentelle.

Malgré le manque de sentiment à son égard, mon sang ne fit qu’un tour. « Mais que t’arrive-t-il Lisa.» dans un premier temps, je le repoussais, mais il insistait, sa main cette fois à même ma peau. La douceur de la caresse sur ma cuisse m’électrisa. C’est à ce moment là qu’il fallait le courage de la repousser. Pourquoi ne l(ai-je pas fait. Devant ma faible résistance, il glissa sa main sous ma robe, effleurant ma peau avec une douceur troublante.

Mon cœur battait à tout rompre, et sans m’en rendre compte, je me laissait aller à ce moment, envahie par une chaleur nouvelle, Ce n’est que quand nous nous sommes installés sur la banquette arrière de la voiture, que j’étais consciente de ce que j’étais sur le point de faire, tromper mon mari. Nos lèvres se sont cherchées, trouvées. Nos respiration se sont mêlées, et nos gestes sont devenus plus audacieux, plus pressant.

Peu à peu nos vêtements ont glissés,, laissant nos corps se découvrir.Ses mains promenaient sur moi avec une assurance désarmante, explorant chaque courbes,chaque frissons. J’étais perdu entre raison et désir. Je lui rendais ses caresses, découvrant à quel point cet homme avait de quoi satisfaire une femme, et savait réveiller en moi une passion que je croyais éteinte.

Nos souffles ses sont accélérés, nos gestes se sont fait plus intense, jusqu’à ce que le monde autour de nous disparaisse complètement. Le temps semblait suspendu. Chaque mouvements, chaque contacts me faisait chavirer davantage. J’étais en feu, emportée par in tourbillon de sensations et de plaisir que je n’avais pas connu depuis longtemps. D’autant que s’il avait des atouts pour satisfaire une femme, ma bouche en avait autant pour combler un homme. Il savait comment me faire vibrer, comment me comprendre sans un mot.

Dans se bras, j’ai redécouvert ce que signifiait le mot désir. Et quand enfin nos corps se sont unis, ce fut comme une vague déferlante, un mélange d’abandon, d’émotion et de plaisir intense. A cet instant, je n’étais plus instinct, fièvre et passion. Je m’offrais sans retenu, le laissais m’utiliser à sa guise. J’oubliais tout, même la culpabilité, tant j’étais envahie par cette sensation de vie retrouvée.

Quand tout fut terminé, j’étais épuisée mais comblée, tremblante encore de ce moment d’intensité rare. Et pourtant, au fond de moi, je savais que ce n’étais pas fini, que mon corps en redemandait, que quelque chose venait de se réveiller pour de bon. Marc était encore entier, et n’hésitait pas à tout reprendre depuis le début. Pour mon plus grand plaisir, nôtre orage se termina en même temps que celui de la météo.

Ce fut un moment mémorable, intense, sans interdit. On se donnait un sulfureux baiser qu’on voulait interminable. Puis, avec difficulté, nous nous rhabillons. Je me sentais mal à l’aise d’avoir trompé mon mari avec un homme pour qui je n’avais aucune attirance, qui m’a aimée autant que je l’ai aimé pendant un instant, me faisant découvrir une autre facette de l’amour. On s’est promis que désormais, nôtre relation serait le travail, que c’était mieux ainsi. Marc me déposa devant chez moi.

Je sortis toute honteuse de la voiture, terrain de jeux insolite de nos torrides ébats. Je fis le tour de nôtre pâté de maisons avant de rentrer chez moi, pour remettre mes idées en place. Bizarrement, je n’éprouvais aucun remord, aucun regret. J’ai bien pris conscience que pour la première fois, je venais de tromper mon mari, mais quelle importance. Il n’y avait aucun sentiment, juste une attirance physique, le coup d’un soir, comme quand j’étais célibataire.

Je suis enfin rentré chez moi, et j’étais ravi de voir que mon mari n’était pas encore rentré. Je me suis précipité à la salle de bain prendre une bonne douche pour effacer les traces qui souillaient mon corps. J’avais son parfum sur ma peau. Le pire, c’est que je ne peux rien reprocher à cet homme parce que j’ai cédé à ses avances, et que je suis toute aussi fautive que lui, si ce n’est plus.

Le soir, j’accueillis mon mari avec mon plus beau sourire, sautais à son cou, le couvrais de baisers. J’étais toujours la même épouse, fidèle, aimante. Je n’ai rien dit à mon mari. Je ne pouvais d’ailleurs pas lui dévoiler ce que j’avais fait à un amant d’un jour, ce à quoi il n’avait jamais eu droit. Mais il s’est aperçu que ce soir là, au lit, mon attitude avait changé, que j’étais plus câline, plus vicieuse, et m’engageais avec lui sur des terrains qui n’espérait plus. Je mis un doigt sur sa bouche pour qu’il ne me pose aucune question. Cela a d’ailleurs, relancé nôtre couple sexuellement. Je m’offre désormais comme une épouse doit s’offrir à son mari, sans interdit.

Je ne sais pas si je lui avouerais un jour d’où m’est venu cette fougue soudaine, et si je pourrais la retrouver avec lui. En tous cas, je ne veux pas briser mon couple pour une relation sans lendemain...A moins qu’un orage...


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15-12-2025 0 1

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