Inceste lesbien avec ma mere

Récit érotique écrit par admin le 29-12-2009
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Catégorie Inceste

Voilà je vous raconte ce qui m'est arrivé. Je vous rappelle que je m'appelle Axelle et que j'ai 17 ans. Petite brune très bronzée aux yeux et cheveux bruns. Un 85c avec de jolis seins qui pointent bien et de belles cuisses galbées. J'aurai l'occasion de vous raconter d'autres de mes aventures osées avec des femmes dont certaines sont mariées. Samedi dernier j'étais seule avec ma mère pour la soirée à la maison. Mon père était à l'étranger et ma soeur de sortie pour la nuit. Il était 20h45 environ et nous avions regardé le journal à la télé. Assises sur le canapé devant la télé ma mère zappait comme une folle car il n'y avait plus rien d'intéressant. Les rideaux fermés, une simple lampe d'appoint dans un coin de la pièce. Il faut dire d'abord que j'aime le sexe entre femmes depuis plusieurs années et que je ne rate jamais l'occasion de prendre du plaisir quand je le peux. Ma mère est une belle femme de 42 ans brune comme moi et quand je la vois en maillot je dois dire qu'elle est vraiment attirante. Elle est bronzée et elle a de longues jambes. Bref, elle plait physiquement. Je n'avais plus eu de sexe avec quiconque depuis plus de deux semaines et j'avais souvent eu recours à la masturbation dans mon lit les jours qui précèdent. Là, j'étais en fait un peu en manque sans me l'avouer sur le moment. Quand je suis seule à la maison j'ai l'habitude de circuler vêtue d'une simple culotte et d'un long tee shirt blanc jusqu'aux genoux qui contraste avec ma peau brune. Avant le repas, pensant monter vite dans ma chambre, je m'étais vêtue de la sorte sans aucune préméditation. Fabienne, ma mère, zappait donc sans cesse et puis elle déposa la télécommande entre nous. Elle me regarda et dit "y a rien de bien on dirait ce soir". Je lui répondis : "on ira sans doute dormir tôt". Elle me sourit et me dit que ça nous changerait de passer une longue nuit de sommeil. Je lui demandai si elle avait des difficultés à dormir et elle me répondit que non mais que moi je devais en avoir. Etonnée je lui demandai pourquoi. "Ne fais pas l'innocente tu comprends de quoi je parle". Je faisais celle qui ne comprend pas. Elle se tourna vers moi et me dit qu'elle savait que j'avais parfois des nuits agitées. "Tu sais, Axelle, je t'entends souvent quand tu te caresses". Je ne m'en serais jamais doutée. "Tu écoutes aux portes ?" lui demandai-je. "Disons que ça m'arrive oui". Je n'en revenais pas. "A t'entendre, tu dois rêver à un beau jeune homme plein de santé, non ?" Je lui répondis que non. Et sur ma lancée sans bien penser aux conséquences, je lui dit que je pensais souvent à ma petite prof de gym, Carine. Ma mère me fixa alors, incrédule. "Tu te caresses en pensant à une autre femme ?". "Oui, en effet". Elle était un peu choquée mais elle m'interrogea davantage pourtant. "Tu rêves à quoi avec elle ?". Et du tac au tac je dis : "que nous faisons l'amour". Là je vis que je l'avais perturbée. Elle ramena ses pieds sous ses jambes sur le canapé et me sourit un peu de manière forcée. Moi j'étais déjà dans un état, je ne vous raconte pas. Avouer comme ça d'un coup à ma mère un truc pareil c'était fort et troublant à la fois. "Je savais que vous vous fréquentiez à un moment donné mais je pensais que c'était fini" me dit-elle. "Nous nous voyons encore souvent tu sais" dis-je. "Mais elle est mariée et elle a un enfant". "Oui mais elle dit qu'elle me désire et ça me fait fondre. Son mari n'est pas au courant". Dans ma tête se bousculaient tout un ensemble de pensées et des frissons me parcouraient les membres. Je crois que c'est à ce moment là que j'eu envie. Nous gardâmes le silence durant quelques minutes puis ma mère dit "qu'est ce qu'on ferait bien pour passer la soirée ?". Sans réfléchir je dis : "papa et Laurence sont absents ce soir et cette nuit ?". "Oui nous sommes seules". Je ne dis plus rien puis je ramenai mes pieds son mes jambes aussi. Ma cuisse gauche dépassait légèrement du tee shirt et je la regardai quelques secondes. Ma mère suivit mon regard et je pus déceler qu'elle avait matée ma cuisse quelques instants de trop. "Moi j'ai une idée" je lui dis. "Laquelle ?" elle demanda. "Nous pourrions faire l'amour". Elle releva la tête et me dévisagea comme si je venais de lui annoncer mon départ prochain pour la planète Jupiter. Là j'avais envie de me comporter comme je sais si bien le faire : comme une petite salope. Je ne pensais pas aux conséquences mais seulement au désir qui montait lentement en moi et qui déjà me submergeait physiquement. Je retirai le tee shirt et lui dévoilai ma cuisse gauche complètement jusqu'aux hanches avec un frisson dans le corps. "ça ne te plait pas ça ?". "Ce n'est pas la question, je suis ta mère". "Et alors, personne ne le saura jamais tu sais". "Pourtant tu trouves ça attirant non ?". Elle ne répondit rien. Il était largement plus tard que 21h00. Je glissai une main dans ma culotte et j'entrepris de me caresser les poils et la vulve qui moullait maintenant fort. "Axelle arrête ça tout de suite". Le ton de sa voix n'était cependant pas si catégorique que ça. Comme si le ton venait contredire le sens que la morale lui dictait encore en cet instant. C'était plutôt une supplication qu'un ordre. Je retirai ma main puis je me levai et vint me planter debout devant elle. Là, comme une petite garce que je suis, j'ondulai lentement tout en me retournant. Elle pouvait mater mes cuisses à loisir et je me retourna d'un coup. Son regard était perdu sur mes membres et elle mit du temps à relever la tête. Trop de temps ... Je me dirigeai alors vers l'escalier et lui dit avant d'arriver au palier : "ne te retiens pas, viens me rejoindre, personne ne le saura jamais et tu verras ça sera merveilleux, je t'attends". Et là, comme pour la convaincre je relevai le tee shirt jusqu'à mes seins puis relachai le tissu. J'achevai de monter en entrai dans ma chambre en laissant la lampe éteinte. Une faible clarté régnait dans la pièce. Moi je tremblais de désir et j'avais du mal à rester debout tant j'étais parcourue par des frissons et des élancements sur la peau et mon corps tout entier. Je restai ainsi quelques minutes et puis je sus que j'avais gagné. Un craquement puis un autre craquement indiquaient qu'elle montait l'escalier dans ma direction. Quelques instants plus tard, la porte s'ouvrit et je pus la regarder venir vers moi. "Tu te rends compte de ce que tu me fais faire ?" me dit-elle. Elle s'arrêta à deux mètres de moi et sans retard elle retira son chemisier qu'elle fit tomber sur le sol. Vint le tour de la jupe qui glissa le long de ses cuisses électrisées pour atterir sur ses pieds

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