Ma première infidélité

Récit érotique écrit par mazaudier le 15-11-2021
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Catégorie Infidélité

Je me suis mariée un beau jour de mai, comme beaucoup de couples. Les relations sexuelles n’étaient pas le sport préféré de mon mari, mais je me faisais une joie de l’emmener à toutes sortes de jeux érotiques. Je comptais beaucoup sur nôtre voyage de noces, pour pouvoir faire tout plein de choses excitantes.

Il était routier, moi commerciale. Tous les deux sur les routes, toute la semaine. Nous étions donc peu souvent ensemble. Dix jours de lune de miel, j’en rêvais.

Je rêvais d’une nuit exceptionnelle. J’avais réservé une superbe suite dans un château-hôtel de région. Je la voulais torride, amoureuse, pleine de surprises pour mon mari.

Premier choc...il a tout annulé, réservant une chambre, à proximité de l’aéroport, pour être plus près, pour l’avion du lendemain. Résultat...une nuit de noces bâclée, dans une chambre ordinaire. Un coup de queue rapide, quasi contraint de mon mari.

Je n’ai pu dormir, pleine d’amertume, de frustration. Quel début pour une vie de couple. Le lendemain, je traînais seule dans l’aéroport. Puis nous partons pour nôtre île de rêves. Je passe les détails de ce voyage de noces cauchemardesque. Nous avons fait deux fois l’amour, en dix jours. Deux fois...en moins d’un quart d’heure.

Pour moi, femme hyper sexuelle qui plus est, j’étais au bord de la crise de nerf, morale et physique. Plein de doutes sur l’avenir de mon mariage, et mon mari.

Sur l’île, des hommes m’ont draguées, j’ai refusé leurs avances. Mon envie de bien faire les choses avec mon mari, m’ont retenue.

Nous repartîmes dans notre région, fîmes une halte chez ses parents, pour finir par me dire de rentrer seule chez nous, il avait à bosser dans ce coin-là.

Je suis donc rentrée seule de voyage de noces, seule chez « nous », frustrée, triste, humiliée, en colère.

Le lendemain, je repris ma route, et allais passer la nuit à Montargis, pour mes affaires commerciales.

A l’hôtel, je sortis dîner sur la terrasse, en cette fin mai très chaude. Toute les tables sont occupées par des personnes seules, comme souvent en semaine dans ces hôtels de chaîne. Que des hommes, et une autre femme. Je commande et me plonge dans mon livre acheté au kiosque de l’hôtel. Pourtant, je sens un regard insistant. Je lève les yeux, et face à moi, un homme blond comme les blés sourit, ses yeux bleus sont des épées qui me transpercent le corps.

Je ne réponds pas, replonge dans mon livre, troublée. Le manège dure tout le dîner.

A la fin du repas, il prit la liberté de venir me parler. Aussi froidement que j’ai pu, je lui ai dit que je ne voulais pas discuter avec lui, et j’ai rejoint ma chambre. Pourtant, tout m’attirait chez cet homme. Son physique, sa virilité à fleur de peau, ses yeux, ses bras puissants, accueillants…

Mais je venais de me marier...

Deux jours avant, j’étais dans les Caraïbes avec mon mari. Je ne pouvais pas parler avec un autre ! Encore moins céder à ses avances…

J’étais dans un hôtel huppés, ceux dont les chambres donnent toutes sur une terrasse. J’ai laissé la porte ouverte, il faisait trop chaud. Je me suis mise à travailler sur mon bureau, sous la fenêtre. Un moment plus tard, un papier est glissé dans la charnière de la porte…

Une lettre. Une très belle lettre, comme jamais mon mari ne m’en a écrit une…

C’est lui, l’homme du dîner. Il me parle d’amour, de ses envies de moi, de son attirance folle, alors que je lui ai tout de même dit que j’étais mariée depuis dix jours seulement.

Cette lettre ouvre les vannes. Je pleure un long moment, je pleure sur toutes mes illusions perdues. Je suis prostrée sur mon lit, l’oreiller baigné de mes larmes de rage et de désillusion…

Une main effleure mon épaule, Je ne bouge pas. Je sais que c’est LUI. Il a signé sa lettre Yann. Il frôle mon bras d’une caresse légère. Il m’électrise, littéralement. Sa main descend sur mes flancs, il avance ensuite sur ma cuisse à moitié découverte par ma jupe retroussée. Je suis couchée en chien de fusil sur le lit. Ses doigts sont magiques, ils m’envahissent toute entière. Un vague sentiment de culpabilité me traverse le cœur, la honte traverse fugitivement mes pensées. Et plus rien.

Il n’existe plus rien que cette main aux doigts d’or, qui me caresse tout le corps, sans qu’un mot ne soit prononcé.

Je me revois sur cet île, mais avec un homme amoureux, et plein de désirs pour moi. D’un geste un peu ferme, il me fait me retourner, écarte mon chemisier, pour saisir un sein. Je n’avais pas remis de soutien gorge, après ma douche. Il pointe vers le plafond, insolent et dur. Yann se penche, et aspire le bourgeon durci. Je ne suis plus que ce sein, aspiré par une bouche gourmande.

C’est le signal. Le signal de plusieurs jours de folie pure. Sa main saisit mon autre sein, tandis que la mienne remonte directement vers son entre jambe. Il bande comme un taureau. Sa braguette cède rapidement sous la poussée de mes doigts.

En quelques secondes, nous voila entièrement nus. Il nous faut un brin de lucidité, pour aller fermer la porte de la chambre à clé. Seule la baie de la terrasse est restée ouverte.

Yann s’allonge près de moi. Il me caresse comme si j’étais la chose la plus précieuse au monde. Sa langue prend le relai de ses doigts. Elle court sur tout mon corps.

Elle se fait douce, agile, n’oubliant aucune parcelle de peau, qui se hérisse sous cette perverse agression. Je frémis de désir, prête à exploser. Il atteint ma chatte gonflée de désir exacerbé, de toutes les frustrations ressenties depuis dix jours. Il a à peine effleuré mon clitoris érigé, que j’atteins l’orgasme. Jamais je n’ai connu cela. En moins de trois minutes, il me procure un orgasme phénoménal. Je crie, hurle de plaisir, dans une longue plainte de jouissance.

Yann est tout aussi surpris que moi par la violence de ma jouissance. Je lui explique brièvement mon voyage de noces. Il me coupe la parole en m’embrassant férocement. Sa langue joue un ballet interminable avec la mienne… Nous nous avalons, nous dévorons sans fin. J’adore sa bouche, ses lèvres, son corps…

Il m’allonge sur le dos, reprend ses caresses et vient ouvrir ma chatte de ses doigts. Je suis humide, que dis-je, trempée… J’en profite pour saisir sa queue, une belle hampe épaisse, dure, douce, parfaitement à mon goût. Je le branle fermement, m’accroche à l’objet de mon désir. Il se met au-dessus de moi, et dans un accord parfait, j’accroche mes jambes autour de ses hanches, alors qu’il s’enfonce en moi. Sa bite dure me perfore d’un seul coup. Enfin, je me sens prise, possédée, remplie. Il commence de lents mais puissants va et vient. Je reste arrimée à son bassin. Il accélère, je le suis. Nos hanches sont soudées. Ses va et vient se sont transformés en sortes de cercles internes, qui massent tout l’intérieur de mon ventre. Je sens son gland proéminent frotter l’intérieur de ma chatte. Il me remplit à fond. Comme j’aime. Je jouis une nouvelle fois, plus lentement, plus profondément. Il me cloue sur le lit, accentue ses coups de boutoir, et jouit dans un cri animal. Je sens sa semence me remplir, déborder, couler entre mes cuisses… Le bonheur à l’état pur.

Nous retombons côte à côte un bref moment. Il me câline, m’embrasse, fait exactement tous les gestes que j’attendais vainement de mon mari, pendant le voyage de noces. Il me fait craquer.

Il est marié depuis peu, lui aussi. Il a les mêmes manques que moi. Nous nous sommes trouvés. Plus un seul remords ne nous atteint.

Trêve de bavardage, il a envie de moi, moi de lui… En quelques secondes, nous repartons dans une copulation sauvage, presque dure tant elle est brusque. Il me reprend en levrette, martyrise ma chatte à grands coups de rein violents. Nous avons besoin de cette violence extrême. Plus aucune tendresse durant quelques minutes. Juste deux corps qui luttent pour leur plaisir, qui se cherchent, se trouvent, se heurtent pour enfin jouir quasiment ensemble, dans un nouveau cri qui déchire la nuit de l’hôtel. Son sperme m’envahit à nouveau, je viens le cueillir du bout des doigts. Je le porte à

mes lèvres, puis viens embrasser Yann à pleine bouche.

Il a un mouvement de recul, puis se laisse faire. Nous dégustons ensemble son sperme épais et salé.

Il doit y trouver goût, car il plonge soudain entre mes cuisses, pour me lécher à fond, comme j’aime… Sa langue ne me laisse aucun répit. Il ne me lâchera qu’après m’avoir fait jouir avec sa langue. Cet homme est magique, il a des dons incroyables.

La nuit va passer ainsi, à faire l’amour sans répit. Il ne débande pas. Il semble s’en étonner lui-même.

Au petit matin, il faudrait nous séparer. Nous devons travailler, voir nos clients. Mais c’est impossible. D’un seul regard, nous décidons de prendre un jour de congés…

Nous avons passé la journée au bord d’une rivière à faire l’amour sans interruption, ou presque. Je ne me reconnaissais pas. Jamais je n’avais autant baisé de ma vie. Ma chatte commençait à souffrir. Sa queue aussi. Il ne débandait pas, mais son gland était devenu rouge vif.

Sur le chemin du retour à l’hôtel, nous avons du passer à la pharmacie, acheter de la crème. Il nous a fallu passer de longues minutes à calmer les échauffements de nos sexes surmenés.

Ainsi, nous avons pu passer une deuxième nuit de folie, à faire l’amour tant et plus. Nous étions comme deux affamés qui trouvent enfin à manger après des mois de disette. Le jour suivant, il nous a fallu aller travailler. Journée courte, comme les deux suivantes. Nuits encore plus courtes. Jamais nous ne nous sommes rassasiés l’un de l’autre.

La dernière nuit de la semaine arrive. Nous avons eu le temps de parler de nos fantasmes. Je lui ai dit mon envie de voir des hommes se branler devant moi.

Après le dîner, alors que je me dirige vers nôtre chambre, il me retient par le bras.

« Non ma chérie, on ne va pas là… Viens.»

Il me fait monter en voiture, et après quelques kilomètres, nous arrivons devant une grande maison bourgeoise. Tout est illuminé, mais l’endroit semble désert.

« Ne pose pas de questions », me dit-il.

J’obtempère et le suis. J’ai une confiance aveugle dans cet homme. Il m’entraîne dans un grand salon, vide, à l’exception d’un grand lit à baldaquin. Sur le couvre-lit, une grande boite est posée. Elle est pour moi. J’y trouve une guêpière noire, qui laisse les seins libres, des jarretelles, de bas noirs, de vertigineux escarpins de cuir, noir aussi…

Yann me désigne une pièce, au bout du salon. J’y vais me changer, passer cette tenue qui m’excite déjà follement. Yann est un miracle pour moi… Il devine mes moindres désirs. Je rentre dans le vaste salon désert, sure de moi, sure d’être attirante et sexy dans cette tenue de péripatéticienne de luxe… Je ne me trompe pas. Yann me regarde arriver, la queue dressée vers le ciel de lit. Comment peut-il encore autant bander après quatre jours et quatre nuits de copulation intensive ?

Je m’allonge sur le lit, une musique douce joue au loin. Yann ferme les rideaux du lit. Nous sommes dans un écrin de blancheur, où seul notre plaisir est maître.

Il se penche sur moi, me caresse, ouvre mes lèvres intimes ultra irrité, mais qui réclame encore et encore ses doigts, sa langue, sa queue…

J’entends des bruissements dans le salon, mais il prétend que c’est la musique. Je me laisse aller à ses attouchements érotiques, qui m’enflamment, une fois de plus. Soudain, je vois les quatre rideaux s’ouvrir en même temps. Et là, surprise, quatre hommes sont présents, entièrement nus. Je crie de surprise.

« Chut, ma chérie... tu voulais des hommes, tu vas en avoir…

« Mais je ne peux pas les prendre, je suis hors service, je ne peux en recevoir aucun !

« Ne t’inquiètes pas, ils suivront tes ordres à la lettre...»

Je suis ébahie, chavirée par cette vision de rêve. Quatre mâles, bien bâtis, certains masqués, de belles bites à la main, toutes bandée bien comme il faut.

Yann reprend des caresses et fouille ma chatte de sa langue. Il prend bien soin de montrer aux hommes ce qu’il me fait. Certains se rapprochent. Partout où je porte mon regard, je ne vois que des mains qui masturbent des queues en érection, entièrement décalottées.. Je jouis à cette seule vue. Je jouis de l’excitation que je leur procure… Un flot de cyprine inonde le visage de Yann, et coule sur mes jambes. Un mâle s’enhardit, et vient chercher ma mouille de ses doigts. Je l’autorise d’un regard.

Une idée folle me traverse l’esprit.

« Yann, tu m’as bien dit qu’ils obéiront à tout ?

« Oui, amour...

« Alors, je veux que chacun vienne me lécher à tour de rôle. Je ne veux que leurs langues, et leurs mains. J’en veux un sur ma chatte, un sur chaque sein. Et enfin, qu’ils se branlent…

« Messieurs, vous avez entendu ? A vous de jouer. Juste vos langues, vos mains.»

Les hommes obéissent. Comment sont-ils aussi dociles ? Pendant plus de deux heures, je vais être caressée, léchée, sucée, branlée sans répit. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui…. Mon bonheur est à son comble. Je suis exhibée, caressée, et j’assiste à mon spectacle préféré. Voir des hommes se branler. Ils jouissent, éclaboussant mon corps de leur semence...ça sent le sperme à plein nez. La débauche est totale, et le final approche, je le sens… Yann me fais mettre en levrette, ouvre ma chatte baveuse à la vue de tous… Il écarte mes fesses pour titiller mon petit trou qui n’attendait que ça…

Un mec vient se coucher entre mes cuisses, et entreprend de sucer mon clito toujours bandé. Un autre vient au-dessus, et de sa langue, ouvre mon anneau brun…

Yann, lui, commence à me posséder fortement, de sa queue tant aimée. Quel plaisir !! Deux langues sur moi, une bite ancrée dans ma chatte. D’autres mains viennent me caresser, torturer mes seins. Une queue courte vient devant ma bouche. Je la gobe, et la recrache. Après tout, ils sont là pour mon plaisir, pas pour le leur. Je suis hyper égoïste !

J’ai un orgasme énorme, qui me fait hurler à la mort. Je tremble de tous mes membres, je me sens possédée à fond, mangée, avalée. Je sais que j’ai perdu connaissance, Yann me l’a confirmé.

Quand je reviens à moi, il n’y plus personne, rien que nous deux. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Mais l’odeur de sperme est bien là, produit de maintes éjaculations. Je n’ai pas rêvé. J’ai eu mon cadeau de mariage. J’ai eu mon voyage de noces. Mais pas avec mon mari.

Le lendemain nous nous sommes séparés à regret, et le mot est faible. A mon retour, personne à la maison. Mon « mari fantôme » n’avait pas jugé utile de rentrer pour le week-end.

Avec Yann, notre histoire a duré trois mois….



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