Ma mère est une bourgeoise sacrément cochonne (partie 1)

Récit érotique écrit par baiser eternel le 07-10-2009
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Catégorie Inceste

Cette histoire m'est arrive alors que je n'avais que 17 ans.<br> N de bonne famille, j'ai toujours eu ce que je voulais, ou plutt tout ce que l'argent pouvait m'acheter. Je n'tais pas particulirement maladroit, mais je n'avais jamais eu de vritable occasion de me faire une fille . Comme bien des jeunes hommes de cet ge, je me masturbais donc rgulirement pour "dcompresser".<br> J'avais toutes sortes de fantasmes lors de mes jeux solitaires, assez classiques, tels que celui de l'infirmire, de la secrtaire ou encore de la prof super canon que tout le monde veut se faire...<br> Mais le fantasme qui revenait de plus en plus rgulirement, tait moins classique. Quoique...<br> Mon fantasme concernait ma mre. J'ai toujours t assez proche de ma mre, surtout depuis le dpart de mon pre, qui est parti lorsque j'avais 13 ans. Je n'ai jamais bien compris ce qui s'tait pass entre mes parents pour qu'ils se sparent. Ma mre n'aimait pas en parler et je n'ai jamais os lui demand ce qu'il s'tait pass.<br> Ce que j'avais pu en comprendre, c'est que mon pre dilapidait l'argent de ma mre, qui avait eu des parents trs riches, contrairement lui. Du coup mon pre ne travaillait pas et passait le plus clair de son temps sortir s'amuser dehors et dpenser l'argent que ma mre gagnait la tte de sa socit. J'avais donc compris l'essentiel, mon pre n'tait pas quelqu'un de bien pour ma mre. <br> Elle n'a ensuite jamais voulu se remarier, ni mme sortir avec d'autres hommes.<br> Ma mre, Anne, avait 23 ans de plus que moi, elle venait donc d'avoir 40 ans lorsque cette histoire eut lieu. Elle s'habillait toujours avec une certaine classe et toujours assez strict bien qu'un peu provocateur. En gnral, en rapport son activit, elle s'habillait en tailleur assez chic, le plus souvent ray, la jupe descendant au milieu des cuisses galbes de nylon. Des talons-aiguille rehaussant son mtre soixante-sept. Ma venue au monde n'avait que peu endommag sa silhouette arborant firement un faible 56kg. Des cheveux d'un blond dor en chignon ou en queue de cheval qui tire ses traits, lui donnant un air strict. Un collier de perles blanches. Du rouge lvres rouge ou lgrement rose.<br> L'anne de mes 17 ans donc, lors des vacances d't, je passais mes journes la maison avec ma mre qui prenait ses congs en mme temps que moi, dlguant son travail au sous-directeur. Cet t l ft assez chaud, surtout par rapport au prcdent. 35C l'aprs-midi, c'est tout de mme agrable, surtout quand on dispose d'une piscine ! Nous tions donc un aprs-midi comme un autre au bord de notre piscine, moi et ma mre, nous dorer la pilule. Evidemment, ma mre n'tait pas en tailleur. Elle avait revtu un maillot deux pices... blanc... Mes yeux ne pouvaient pas ce moment se dtourner de son corps superbe, bien qu'elle soit ma mre, elle n'en reste pas moins une femme, trs belle qui plus est. Je scrutais donc discrtement les courbes de son corps, les courbes de ses seins ronds et lgrement laiteux, son pubis que je devinais par le prolongement de ses cuisses. Lorsqu'elle se retournait, j'avais galement l'opportunit de cacher, tant bien que mal, mon rection grandissante la vue de sa croupe magnifiquement rebondie et ferme. Les fesses bien rondes de ma mre me faisaient bander comme pas permis... Mon imagination commenait alors vagabonder, imaginant ce petit bout de tissu blanc devenir un peu transparent sous l'effet de l'eau.<br> Me rendant compte de la situation, je dcidais d'aller calmer mes ardeurs en allant piquer une tte. Cela me permit en plus de cacher l'rection que mon caleon de bain avait peine dissimuler.<br> Ce que je n'avais pas prvu c'est que mon esprit vagabond allait mettre dans le mille. En effet, ma mre, lasse de se prlasser dcida qu'il tait temps pour elle galement de profiter de la piscine... Elle se mit au bord de la piscine, s'assit lentement en trempant ses jambes dans l'eau. Elle passa ensuite un peu d'eau sur sa nuque, son cou et descendit jusqu'au creux de sa gnreuse poitrine, moiti recouverte par ses cheveux blonds qui pour une fois taient dtachs. Se laissant glisser doucement dans l'eau, elle se rendit compte qu'elle tait assez froide en arrivant hauteur de son pubis. Elle remonta donc un instant en se rasseyant sur le bord. C'est ce moment que mon caleon chanta la marseillaise : lorsque j'aperus, ou plutt que je pu deviner un peu mieux les lvres de ma mre et voir par contraste le petit gazon qui ornait son pubis. Se dcidant enfin, elle plongea d'un coup dans l'eau. Elle s'approcha de moi et me dit que l'eau tait un peu froide. Je lui rpondis que a pouvait aller. Mais quand elle repartit en nageant, l'un de ses pieds frla mon entrejambe, ce qui n'eut pas pour effet de me calmer... Je sortais aprs avoir effectu une douzaine de longueurs et me couchait avec mon rection contre ma chaise longue.<br> Dans la mesure o ma tte tait tourne vers la piscine, j'avais tout le loisir d'observer ma mre encore dans l'eau et ma bite comprime contre la chaise longue me faisait bander d'avantage. Elle m'offrit le dernier spectacle de l'aprs-midi en sortant de l'eau... Elle posa ses mains sur le rebord de la piscine et poussa d'un coup se retrouvant bras tendus, comprimant ses seins, les mettant en avant comme s'ils allaient exploser. La cerise sur le gteau tait que je pouvais, tout comme pour son pubis, deviner les auroles et les ttons, durcis par l'eau froide, au travers du tissu blanc qui n'tait plus tout fait opaque.<br> La fin d'aprs-midi approchant, ma mre partit se doucher avant d'aller prparer le dner. <br> Lorsqu'elle eut finit, j'y allais mon tour. Mais avant de me doucher, j'en profitais pour me masturber. Quelle fut ma joie lorsque je retrouvais le maillot de ma mre... Je m'astiquais le manche comme un dingue, la queue enroule dedans... Je ne fus videmment pas long avant d'jaculer de lourds jets de sperme dedans, vu l'excitation de tout l'aprs-midi !<br> Peu de temps aprs, ma mre m'appelle pour que je vienne mettre la table. Je fus surpris lorsqu'en descendant, je la trouvais habille... normalement ! Elle avait les cheveux dtachs, ne portait qu'un t-shirt (chose qu'elle ne fait jamais) et un pantalon moulant. Et quel pantalon ! J'avais l'impression de voir se fesses directement, j'ai mme cru deviner ses lvres un moment. Le t-shirt quant lui n'tait pas beaucoup plus ample, mais mon grand regret, elle portait un soutien gorge en dessous.<br> - Tiens, tu n'attaches plus tes cheveux ? Et tu n'es pas habille comme d'habitude... lui dis-je.<br> - On est en vacances non ? Ta mre aussi a besoin de se dtendre voyons !<br> - Ah mais ce n'tait pas un reproche ! Loin de l ! J'aime bien ce style.<br> - Je prfre a !<br> - Mais j'aime bien tes tailleurs habituels aussi... lanais-je.<br> - Allez, arrte de dire des btises et mets la table, le dner va tre prt.<br> Je m'excute, non sans regrets que la discussion ne se poursuive...<br> Le dner fut calme au niveau motions, un dner comme les autres. Aprs le dner, le temps se rafrachissant, ma mre alla mettre un petit pull en laine rose. Nous nous installmes ensuite confortablement sur le sofa du salon face la tl. Il passait un loooong film l'eau de rose qui ne m'inspirait pas vraiment, mais ma mre tenait le voir. Comme son habitude, elle avait ouvert une bouteille de vin afin de la boire en regardant le film. Moi je me contentais d'un soda. Le temps passait, moi je m'ennuyais, je regardais du coin de l'il les magnifiques cuisses de ma mre et son joli cul rebondi. Ma mre avait fini la bouteille de vin, enivre par ce dernier, elle commenait somnoler. Et petit petit, elle s'abandonnait, si bien qu'elle finit par poser sa tte contre mon paule. L'effet sur moi ft immdiat, mon jean se dforma sous la pression inflige par mon membre.<br> N'en tenant plus, c'est ce moment que je dcidais de tenter quelque chose... <br> J'ai tout d'abord gliss un doigt jusqu'au col de son pull, puis je l'ai gliss jusqu' celui du t-shirt afin de pouvoir les soulever. J'avais ainsi pu dgager la vue vers ses deux magnifiques seins. J'ai cru alors que ma braguette allait cder sous les assauts de mon afflux sanguin ! Mais il m'en fallait plus... J'ai alors gliss ma main l'intrieur et j'ai commenc caresser ces deux globes de chair qui me faisait tant bander. Ma mre poussa un petit soupir puis... elle mergea de son demi-sommeil. Elle eut alors un mouvement de recul sortant ma main de son paradis tactile. Elle prit une mine outre et me fixa avec des yeux emprunts d'une colre digne les pires chtiments de l'enfer. Je me confondais en excuses pitoyables tout en m'enfuyant vers ma chambre. Ma mre ne dit pas un mot. Lorsque mon excitation finit par laisser suffisamment de place la fatigue, je m'endormais, avec pour seul vtement le boxer que je portais. La nuit avait beau tre frache, les chambres taient bien plus petites que le salon et les chauffages y faisaient bien mieux leur office. Pendant ce sommeil, j'ai rv de ma mre s'asseyant au bord de mon lit et glisser sa main jusqu' mon entrejambe, commenant doucement masser mes couilles ainsi que ma verge turgescente...<br> Le lendemain, j'hsitais me lever, videmment... mais ma mre vint frapper ma porte m'annonant qu'elle avait prpar le petit-djeuner et qu'il fallait que je me dpche si je voulais en profiter ; Aucune allusion ce qui s'tait pass la veille. J'arrive donc dans la cuisine vtu d'un short et d'un t-shirt, lorsque je m'arrte net : ma mre devant l'vier, son collier de perle invariablement autour de son cou, un chemisier blanc un peu froiss et... une petite culotte ! Elle n'avait pas mis de pantalon et moi, je me retrouvais face aux courbes dessinant la naissance de ses fesses, le reste tant cach par le tissu du chemisier. Je me ravise rapidement, quand mon short se fait troit. Je me rue sur une chaise afin de cacher mon moi. Ma mre se retourne alors, moi pivoine, elle vient me faire la bise comme chaque matin en me disant bonjour, comme si de rien tait, comme si hier soir n'avait pas exist. Je balbutie simplement un bonjour . Elle s'assoit galement. En face de moi. Elle me demande si j'ai bien dormi. Je rponds par l'affirmative, je dglutis le bout de pain que je viens de beurrer et je prends mon courage deux mains avant de lui demander :<br> - Tu as oubli de mettre un pantalon ?<br> - Non, non mais j'tais paresseuse ce matin, j'ai eu un peu chaud cette nuit et du coup je n'ai pas beaucoup dormi. Comme il fait chaud le matin en ce moment, j'ai dcid de ne pas mettre de pantalon.<br> - Ah, ok...<br> - Pourquoi ? a te drange ? je peux aller mettre un pantalon si a te gne.<br> - Non, non pas du tout, y'a pas de soucis. (Si elle savait...)<br> Je n'en pouvais plus, je dcidais donc de pousser le jeu plus loin. Soit elle ne se rendait pas compte de l'effet qu'elle me faisait, soit elle essayait de me provoquer et je finirai par la faire grimper aux rideaux. Dans tous les cas, il fallait que je fasse quelque chose.<br> - Ca ne te drange pas si je fais de mme ?<br> - Non pas du tout mets-toi l'aise, avec cette chaleur, je m'tonne mme que tu ne l'aie pas fait plus tt, tu dois mourir de chaud.<br> <br> J'tais loin d'attendre une telle rponse, elle qui est toujours si prude...<br> Peu importe, je m'empresse de finir mon petit djeuner et je dcide d'aller faire un tour dehors histoire d'essayer de me calmer et d'viter de lui tomber dessus comme la misre sur le monde. Aprs une petite ballade dans le quartier je dcide de rentrer, il est bientt 11 heures. Arriv la maison, je ne vois personne, je fais le tour, je passe par la cuisine, le salon, le jardin, sa chambre... personne... la salle de bain ! Elle prend une douche... Mon cur palpite soudain l'ide qui m'est venue en tte. Sans que j'aie le temps de rflchir, ma queue gonfle dj, alors que j'entre discrtement. Je reste plant l au milieu de la pice en attendant qu'elle sorte... Je n'ai pas attendre longtemps avant d'entendre l'eau s'arrter de couler, de voir son bras passer le rideau de douche pour attraper une serviette. Elle commence l'enrouler autour d'elle quand elle sort.<br> Me voyant elle a le mme mouvement de surprise que la veille. Par la mme occasion, elle en laisse tomber sa serviette, dvoilant se seins pour mon plus grand plaisir. Mais elle la rattrape avant de dvoiler sa toison pubienne. J'avance doucement vers elle alors qu'elle m'intime l'ordre de sortir. A ce moment je ne l'coute videmment plus. Je saisis son avant bras et je le dvie de la trajectoire que suis mon regard intress par cette toison dissimule. Sans doute parce qu'elle est mduse, son bras n'oppose presque pas de rsistance. Elle me dit que je suis fou, alors que je dcouvre ces poils courts et bien taills formant un beau V au dessus de ses lvres.<br> A cet instant, alors que je contemple cet den, elle me saisit la queue au travers de mon short !<br> J'ai tout comme elle un mouvement de recul d la surprise alors qu'elle me dit :<br> - Tiens a te fait moins rire a ! T'as l'air malin maintenant l hein ?<br> Sa main ayant lch prise entre temps, elle ritre son geste en m'empoignant la bite pleine main. La diffrence c'est que cette fois je ne recule pas. Au contraire je m'avance un peu, me collant ses seins, la regardant dans les yeux comme pour la dfier. Elle n'est qu' moiti tonne et soutient mon regard ne lchant ni ma queue, ni mon regard, comme si elle voulait avoir le dernier mot et me faire dtaler comme la veille. Seulement cette fois l'occasion est trop belle, je saisis de ma main gauche son sein gauche et je me met le tter alors que je glisse mon autre main sur sa toison puis entre ses grandes lvres, caressant galement son clitoris de mon pouce. Je la sens alors s'abandonner compltement dans un soupir de plaisir. Je sais qu' ce moment j'ai gagn, il n'y a plus de possibilit de faire machine arrire. Elle commence me caresser les couilles travers mon short tandis que je continue la lcher et que je commence explorer son vagin avec quelques doigts. Sa main commence alors baisser mon short. Elle m'empoigne la bite, la serrant fort et commence me branler lentement. C'est tellement bon que j'ai du mal tenir debout, je colle mon dos contre le mur pour ne pas tomber. Ma mre me suit et dcide cette fois d'enfourner mon membre prt exploser entre ses divines lvres pulpeuses. Elle joue lentement avec mon gland puis l'aspire d'un coup en engloutissant presque toute ma queue aussi profondment dans sa gorge qu'elle le peut. C'est divin mais je n'en peut dj plus ; j'ai un mouvement de recul de mon bassin pour ne pas qu'elle s'touffe mais elle n'en dmord pas et renfonce ma queue au trfonds de sa gorge. C'est ce moment que je lui envoie une rasade de sperme bouillant, j'ai l'impression de lui dcharger un litre de foutre. Elle en avale une partie pour ne pas s'touffer, mais elle garde le reste et joue un peu avec elle gonfle ses joues et fait revenir le prcieux liquide jusqu' ses lvres en me regardant droit dans les yeux, ma bite entre ses doigts. Elle dcide enfin tout avaler en prenant soin de rcuprer de sa langue agile, les quelques gouttes sur ses lvres. Elle me branle quelques secondes afin de me faire regagner le peu de vigueur que j'ai perdu.<br> Lorsque la raideur de mon membre semble lui convenir, elle se met face au mur de la douche, se cambre raisonnablement en cartant ses longues jambes galbes. Je n'hsite pas un instant, m ais pour la faire languir un peu, je frotte ma queue au bord de sa chatte et sur ses belles fesses rebondies. Et... je la pntre d'un coup sec et bestial. Elle pousse un petit cri touff et je la sens faiblir un instant. Elle vient d'avoir un orgasme. J'essaye de continuer ce que j'ai entrepris mais ma mre m'arrte de sa main un instant. Lorsqu'elle s'est remise elle retire sa main et la repose contre le mur, m'invitant ainsi reprendre ma lime. Et c'est ce que je m'empresse de faire aussitt. Je la gratifie tantt de coups de reins puissants et profonds, tantt de coups trs rapides. Mes couilles claquent sous la violence de mes assauts, ce qui nous excite d'autant plus que c'est le seul bruit que l'on distingue part nos souffles, et ce son est amplifi par l'acoustique de la salle d'eau. Elle se retourne me tendant sa langue... Je l'embrasse pleine bouche, nos langues se mlent dans une inondation de salive. Je titille ses lvres, je les mordille. Je gobe et suce sa langue entre mes lvres. Ses deux globes voluptueux ne sont pas en reste tant donn que je joue l'apprenti boulanger depuis tout ce temps. Je sens une nouvelle fois que je vais jouir. Je m'arrte de la limer, mais je ne vais pas tenir. Ma mre s'agenouille une fois de plus devant moi. Mais cette fois, elle a dcid de me branler plutt que de me sucer. Je comprends ce qu'elle veut lorsqu'elle approche ma queue de son visage. Je lui procure videment ce qu'elle veut. J'explose tout le foutre qu'il me reste sur son visage d'ange. Elle en a partout, des lvres jusque dans les cheveux. Elle dlaisse ma queue pour se masser le visage couvert de sperme chaud. Elle l'tale partout et joue avec ce liquide gluant. Tantt elle lche un doigt qui en est couvert, tantt elle tire un fil de sperme entre ses doigts colls par lui.<br> La seule remarque qu'elle me fait ce moment ft la suivante :<br> - C'est malin, j'ai plus qu' retourner sous la douche maintenant !<br> Je reste sans voix. Ma mre est une bourgeoise sacrment cochonne... Les vacances s'annonaient alors plutt bien... <br>

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07-10-2009 0 52036

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