J'ai pris sa place

Récit érotique écrit par cerebrox le 15-07-2014
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Catégorie Inceste

Mon père biologique a toujours eu des attentions tendres et délicates envers sa "petite chouchoute", comme il avait pris l'habitude de me surnommer. J'étais, fille unique et adorable chipie, la prunelle de ses yeux, un objet fragile et très précieux, sa raison de vivre, le bonheur de sa vie. J'étais, déjà gamine, pas mal délurée et secrètement très fière de faire, sur le plan affectif, concurrence à ma mère. C'est à l'adolescence que les jeux de rivalité féminine entre ma génitrice et moi ont pris une tournure beaucoup plus perverse et sérieuse. Je m'amusais à foutre la merde, de mille sournoises façons, dans leur couple jusqu'alors heureux. J'étais réellement très jalouse d'elle et lui enviais sa place auprès de lui. On crut, dans la famille, que cette crise liée à mon âge passerait comme elle était venue. Je laissais dire, ruminant mes frustrations, mais j'étais sûre de mes sentiments les moins avouables: j'étais folle amoureuse de papa. J'aimais, bien que cela fisse souvent exploser ma mère de colère, me promener en petite culotte dans les couloirs et au salon. Je tenais à surprendre dans le regard de la personne aimée l'effet que mon petit cul lui faisait. Le plus souvent, troublé et rougissant, je l'entendais bredouiller confusément des phrases qui semblaient dictées par une contrainte morale forcée:"Ecoute ta mère, Chloé ! Va t'habiller !" Mon père détournait toujours étrangement les yeux. Je savais, à 17 ans passés et déjà déniaisée par plusieurs petits copains du lycée, que mes formes lui plaisaient. J'étais devenue une très belle jeune femme brune aux cheveux longs, tout le portrait de ma mère. J'avais, cependant, le net avantage d'être plus jeune et, peut-être, plus coquine qu'elle. Je pris aussi la mauvaise habitude de laisser la porte de la salle de bains ouverte ou entrouverte quand je prenais ma douche. J'imaginais mon cochon de père en train de reluquer derrière, à la dérobée et à l'insu de sa femme. Et, qui sait, peut-être l'a-t-il réellement fait ? Ce doute me faisait mouiller presque autant que le jet dont je me servais pour m'arroser la chatte soigneusement épilée. Je prenais des poses aguichantes et n'hésitais jamais, en l'absence de ma mère, à me branler ou à me goder longuement dans ma chambre, à poil sur le lit, espérant qu'il finirait bien par me surprendre un jour dans ces attitudes provocantes et obscènes contre lesquelles il ne pourrait lutter. J'étais prise par un démon intérieur qui me foutait littéralement le feu au bas-ventre en permanence et qu'il me fallait bien apaiser par tous les moyens. Lorsque mes parents étaient de sortie, je fouillais la maison à la recherche de renseignements concernant ses préférences sexuelles. Je me doutais bien qu'une existence d'apparence si ordinaire devait sûrement cacher autre chose. Là où je passais le plus de temps à fureter, méticuleusement, c'était dans leur chambre. Tous les tiroirs des commodes, des tables de chevet étaient passés au crible de ma secrète jalousie. Je mourrais d'envie de découvrir des indices, des preuves manifestes de leur vie intime. Les sous-vêtements sexy et le vibromasseur de ma mère ne m'intéressaient guère. Ce que je voulais connaître, c'étaient ses penchants salaces à lui ! Enfin, je trouvai, un soir presque par hasard, rangées dans un gros carton au grenier, des piles de revues et de dvd pornographiques qui ne pouvaient appartenir qu'à mon père à en juger par le contenu des textes et des images où toutes les perversions humaines étaient représentées. Une authentique caverne d'Ali dans le Baba... Bingo ! J'avais donc bien eu raison d'insister en découvrant le pot aux roses. Mon père, sous ses airs de ne pas y toucher, était, en vérité, un sacré obsédé sexuel qu'aucune déviance ne rebutait. Cette fois, j'étais résolue à sortir le grand jeu pour parvenir à mes fins de jeune salope dévoyée. Je décidai de placer l'une de ses revues "teens" dans le second tiroir de sa table de chevet. Le message ne pouvait être on ne peut plus clair ! Ce n'est que deux semaines plus tard que mon paternel, n'y tenant plus, me coinça dans les toilettes. Il était très agité et comme fou, le visage gonflé de fausse colère et me reprochant d'avoir mis ses nerfs et sa patience à trop rude épreuve. Il ne se contenait plus et, se collant à moi, il se mit à me tripoter en m'embrassant gloutonnement. Je feignis une molle résistance et une bien légère réaction de pudeur effarouchée que je ne ressentais pas mais qui eut le dont de l'exciter encore davantage. Je sentais sa grosse érection sous son bas de pyjama. Il répétait, tout en baissant son froc, que tout était de ma faute, comme pour tenter de se disculper d'avance au cas où je ne lui céderais pas. Mais, à sa grande et agréable surprise, je répondis à ses baisers fiévreux et, posant mes petites fesses sur la cuvette des wc, je me mis à lui donner ce que mon pervers de père attendait. La meilleure pipe de sa vie!

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15-07-2014 0 11948

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