L'Etudiante

Récit érotique écrit par cerebrox le 24-07-2014
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Catégorie Inceste

Je m'appelle Noémie, j'ai 22 ans. Je suis en troisième année de médecine. On me dit jolie et bien faite, mais je ne m'intéresse pas aux nombreux étudiants qui me font la cour et ne prête aucune espèce d'attention à leurs gauloiseries d'adolescents attardés. On me traite tantôt de "gouine" ou tantôt de "bêcheuse", mais je me moque de ce qu'ils peuvent s'imaginer. Je bosse dur mes cours théoriques et appliqués la semaine durant que je passe à l'internat. Mais, tous les vendredis soirs, mes parents viennent me chercher sur le campus en voiture pour un long week-end en famille. Je suis toujours en avance à l'heure du rendez-vous afin de ne pas les faire attendre et aussi parce que j'ai hâte de les retrouver. Une semaine sans eux, c'est une privation que je vis difficilement. Je ne risque pas de parler de mon secret les concernant, même à ma meilleure amie. Elle ne comprendrait pas et me jugerait mal. C'est difficile d'avouer à quelqu'un que je prends mon pied au lit avec les deux personnes que j'aime le plus au monde: mes parents. Ils sont naturistes. Je les ai toujours vus nus en vacances ou à la maison. Cela ne me posait aucun problème. On a toujours tout partagé et je prenais même régulièrement mon bain avec maman. J'ai tout le temps été très proche d'elle. A l'adolescence, elle fut ma meilleure copine, ma confidente, ma grande soeur. On se disait tout, on faisait tout ensemble, et je ne lui cachais rien de mes peines de cœur; toutes ces bêtises qui me font bien rire, aujourd'hui, bien qu'à l'époque j'avais parfois vraiment besoin d'être consolée quand ça n'allait pas comme je voulais. Avec le temps, ses affectueuses et tendres caresses sont tout naturellement devenues des câlins. Je n'étais plus désormais une enfant capricieuse, mais une jeune femme dont les demandes d'amour se faisaient plus animales. J'ai alors découvert le corps de ma mère autrement. J'allais sur mes 17 ans. Je n'étais plus vierge depuis longtemps. J'avais eu quelques petits copains, mais je sentais bien que ce n'était pas ça, l'amour. J'en fis souvent des sujets de discussion à table avec mon père et ma mère. Je leur confiai même que je n'avais encore jamais joui avec un garçon du lycée. Je rassurai maman, inquiète, en lui disant que je parvenais tout de même à l'orgasme en me masturbant. J'étais, contrairement à beaucoup de filles de mon âge, très à l'aise en abordant ces soi-disant tabous que sont les choses du sexe. A vrai dire, je devenais sacrément délurée, vicieuse comme pas deux. C'est avec ma mère que j'ai vraiment pris conscience de ce que c'était que "baiser". J'avais très envie d'elle. Elle sortait de la douche et je me brossais les dents. Je reluquais ce petit cul bien ferme qui séduit tant papa dans le miroir du lavabo. Je fus saisie par cette façon toute nouvelle que j'avais de regarder les charmes maternels. Elle a alors surpris mon regard et n'a pas hésité à se retourner vers moi pour venir m'embrasser. D'abord, des gentils bisous sur la joue et dans le cou que je connaissais bien. J'ai légèrement dévié la tête et son baiser sur mes lèvres encore pleines de dentifrice s'est transformé en un suave et sensuel acte de brûlant désir charnel. J'enfonçai, lentement, mais profondément ma langue dans sa bouche entrouverte. J'avais l'impression de fondre à mesure que nos chaudes et humides muqueuses buccales se bécotaient, que nos langues se mêlaient. Le plus beau et le plus appétissant bécot fiévreux que je crois n'avoir jamais donné ! On y allait sans retenue. Je lui mangeais l'orifice à la recherche de son organe labial que je tétais comme une queue. J'osais, pour la première fois, palper ce corps de rêve qui s'offrait à moi sans résistance et que l'émotion, si forte, faisait trembler autant que le mien. Mes caresses se firent délicates et précises. Elle réagissait comme moi quand je me fais du bien. Nos deux corps se ressemblant si parfaitement, cela ne fit qu'accentuer le grand trouble qui nous gagnait, toutes deux. Mais, le moment était enfin venu d'aller plus loin. Je me souviens avoir joui comme une folle au point de tourner de l'oeil, la vulve gonflée du besoin d'éjaculer, le clito bien dégagé et sucé par les bons soins maternels, au bout de 5 minutes à peine. Cuisses béantes, jambes pantelantes, j'agonisais d'extase lubrique, allongée sur le tapis. Depuis ce matin mémorable où, après l'avoir fait exulter de bonheur, à mon tour, ma mère s'est empressée de téléphoner à papa pour tout lui raconter, on dort à trois. C'est de l'aveu même de mes parents un événement prodigieux qui fait qu'ils ne se sont jamais autant aimés que depuis que je me mêle à leurs jeux interdits...

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24-07-2014 0 11182

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