les leçons de piano 7/

Récit érotique écrit par nordenvie le 07-08-2014
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Catégorie Sadomazo

 

18 Heures 45, je suis déjà dans l'ascenseur pour rejoindre l'appartement de Julie,-

 

Je me sens un peu "lasse" mais bon fermement décidée à être aujourd'hui une élève parfaite!

 

Après ma matinée totalement délurée (j'en souris encore enfin pas sûre………mais quel délice, quelle jouissance!), après ma sieste dans la baignoire, je me suis installée face à mon piano pendant plus de deux heures je me suis efforcée à appliquer toutes les recommandation de Julie, estimant même à la fin être presque prête pour gagner ce pari ridicule!

 

Quelques courses ensuite dans le quartier, puis j'ai sélectionné quelques robes que j'ai essayées les unes après les autres, pour finalement choisir une robe noire, relativement ample, soyeuse, me permettant d'avoir les jambes bien libres,- Je me suis simplement octroyée le droit de ceindre une grosse ceinture en cuir noir, ce qui m'affine la taille,-

Problème de cette robe, c'est le décolleté et donc le soutien gorge,-

J'ai opté pour un soutien gorge très souple, en dentelle noire, sans grand maintien il faut l'avouer, mais offrant surtout un profond décolleté,-

Culotte tanga assortie, une paire de collants noirs au-dessus et des escarpins noirs!

Je ne me serais jamais imaginée aller à un cours de piano dans cette tenue! Mais bon les ordres sont les ordres!

 

Je sonne,-

A l'intérieur de l'appartement j'entends Julie qui parle ……peut être est-elle au téléphone

Une voix d'homme lui répond

Julie ouvre la porte et tout en continuant à parler me fait entrer,-

 

Nous nous dirigeons vers le "donjon" et je découvre un homme, le corps penché dans le piano, visiblement en train de le régler,-

 

Il se relève, se retourne vers moi, me salue, s'assoie sur le tabouret, pianote sur le clavier, se relève, me regarde encore une fois cette fois avec un grand sourire moqueur et replonge dans le piano en bafouillant quelques mots pour dire qu'il n'en a pas pour longtemps,-

 

Je distingue cette fois les photos prises par Julie, installées juste au-dessus du clavier et comprends immédiatement le sourire de cet homme,-

 

Je rougis immédiatement de me voir, en train d'astiquer le piano,- Cette photo je savais que Julie l'avait prise mais la seconde, là, je me vois à genoux, en train d'embrasser la moquette au pied du piano, j'ai le cul en l'air, quelle position honteuse,-

 

Instantanément toutes mes certitudes s'effondrent, je suis sure qu'encore une fois je vais être nulle,-

J'en pleurerais!

 

Julie m'entraîne dans son salon, je retire mon manteau et pendant que je le dépose sur le rebord du canapé, je la sens me détailler des pieds à la tête, et déjà je tremble de l'entendre se moquer de moi,-

 

Je me retourne doucement m'accordant ainsi quelques précieuses secondes pour reprendre mes esprits, mais bizarrement je n'ai droit à aucune observation, aucune remarque.

 

- le piano avait besoin d'être réglé, dans 5mn il aura terminé me dit-elle d'un ton monocorde

J'opine de la tête tout en me demandant pourquoi elle a installé mes photos pour le passage de ce type, sans doute encore une manière à elle de me déstabiliser

- voulez-vous boire quelque chose?

A cet instant précis j'avalerai une vodka ou un gin, mais bon, je décline l'offre,-

- pendant qu'il termine, nous allons nous échauffer les doigts et les poignets, n'oubliez jamais cette préparation avant de jouer

Je m'assoie sur le bord du canapé pendant qu'elle, s'installe sur le bord de la table de salon, là juste en face de moi,-

Elle me prend les deux mains et très doucement les masse,-

Le massage est agréable, la chaleur se diffuse instantanément et gagne mes poignets, ces mains sont douces, chaudes, et je les devine l'objet de tous les soins.

 

Je reprends goût à la vie!

Julie abandonne le massage pour raccompagner le technicien qui effectivement n'a pas traîné.

 

- bon l'échauffement est terminé, on y va maintenant? 

Je souris et la suis dans la salle de répétition en redécouvrant la grâce de son dos, sa chute de reins, ses fesses rebondies un peu comme les fesses des noires,-

Je remarque qu'elle porte elle, un pantalon taille basse, en jean noir, épousant parfaitement ses fesses,-

Elle porte encore un fin pull avec un col en V, dans les tons gris, qui laisse deviner les bretelles d'un soutien gorge blanc,-

 

Je m'assois sur le tabouret, feignant ignorer la présence déstabilisatrice des deux photos grotesques posées sur le rebord du clavier, règle l'assise à la bonne hauteur, étends mes jambes pour poser mes pieds sur le pédalier,-

 

Elle s'installe cette fois non pas à côté de moi mais en face, appuyée sur le piano,-

 

J'attends qu'elle me dirige, qu'elle me donne ses instructions, je reste comme cela quelques longues secondes, comme en suspend, en attente.

- je vois que vous avez respecté mes recommandations en matière de tenue, et d'ailleurs je vous trouve, Madame ROLAND, très jolie dans cette robe

Et comme à chaque fois, je ne m'attendais pas à ce compliment et hop je pique un fard,-

Je suis certaine qu'elle le fait exprès, qu'il s'agit d'un jeu, mais ne peux que bafouiller un remerciement

- pourtant Madame ROLAND, si je vous ai demandée de venir en robe, il ne s'agit nullement d'une exigence purement vestimentaire, vous le savez bien n'est-ce pas?

J'acquiesce bien évidemment et en même temps je me demande qu'elles pourraient être ses exigences vestimentaires avec ses amis ou amies, pantalon, jupes – longues ou courtes -, robes sexy …..

- alors Madame ROLAND, vous allez commencer par me retirer cette ceinture qui vous comprime l'estomac, puis vous allez m'enlever vos mocassins – au demeurant tout à fait craquants – vous me direz tout à l'heure si vous le voulez bien où vous les avez achetés – le talon trop haut et trop fin va vous embêter pour bien jouer avec le pédalier et enfin, Madame ROLAND – là j'avoue que rapidement je me demande ce qui peut encore la gêner, la ceinture et les escarpins c'est vrai j'y avais même pensé moi-même, mais quoi encore? – vous allez me retirer ces collants que je porte moi-même suffisamment régulièrement pour savoir qu'ils enserrent le ventre principalement quand on est assise! Je vous le rappelle, Madame ROLAND, il faut privilégier, l'aisance, la liberté de mouvement et vous verrez tout va inévitablement s'améliorer!

Je suis estomaquée de cette demande mais le regard de Julie ne me laisse aucune alternative. Le ton est péremptoire et encore une fois je dois obéir,-

 

Je dégrafe ma ceinture – elle me tend le bras pour me débarrasser

Je retire un à un mes escarpins et là encore elle s'en empare,-

Pour mes collants je suis gênée, contrainte de me lever, toujours sous le regard de Julie, je relève chaque pan de ma robe jusqu'à attraper l'élastique de mon collant que je fais alors glisser le long de mes jambes,-

J'ai cette fois l'impression de me mettre nue, mais je la sens intransigeante et encore une fois elle me tend la main pour prendre mes collants,-

Je m'assois à nouveau sur le tabouret, un peu comme une petite fille qui vient de se faire gronder,-

- allez-y Madame ROLAND, maintenant vous me jouez la partition qui est devant vous

Timidement je pose les doigts sur le clavier, mes yeux tentent de déchiffrer la partition, et je commence à jouer, enfin jouer est un grand mot car ce morceau est tout nouveau pour moi,-

Pendant que je me bats avec le piano, je vois Julie poser sur le sol près de la porte, d'abord ma ceinture, puis mes escarpins et enfin, très délicatement mes collants, les faisant glisser au travers de ses doigts,-

 

Ces gestes me provoquent presque immédiatement une contraction du bas ventre, contraction qui me fait serrer les cuisses comme pour réprimer ce brusque désir charnel qui lubrifie mon vagin, contraction qui aussitôt transforme le piano en crécelle désaccordée.

 

Julie lève les yeux vers moi, mes collants encore dans les doigts,-

Je reprends immédiatement la partition à l'endroit du couac et je ferme mon esprit à toute tentative extérieure de déstabilisation,-

- bien Madame ROLAND, vous voyez que ça vient, vous voyez que l'aisance facilite la pratique du piano, après quand vous saurez parfaitement jouer, vous pourrez si le cœur vous en dit jouer en pantalon, ou avec des collants ou même en guêpières et bas de soie! Là je serais ravie de pouvoir vous admirer …….

- merci Julie, ça me fait plaisir enfin, de pouvoir aligner quelques notes sans trop d'erreurs

- allez on reprend, laissez moi un peu de place à côté de vous, je vais vous montrer comment améliorer votre style et votre vitesse d'exécution

 

Julie s'installe à ma droite, abandonne elle aussi ses escarpins et nous entamons alors un jeu à quatre mains, voire même à quatre pieds …..tiens ça me donne des idées ça……

J'aime son parfum léger, j'aime sa grâce.

 

Alors que le cours se termine, Julie s'éclipse pour revenir après quelques minutes, un plateau dans les mains, avec deux petits verres et une bouteille de gin BOMBAY,-

 

Elle me sourit

- allez Madame ROLAND, la séance est terminée et on va fêter votre succès du jour et puis on est vendredi soir donc week-end et repos,- J'espère que vous aimez le gin…

- j'adore ça Julie, je suis enchantée, en me levant du tabouret prestement pour l'aider à poser son plateau sur la desserte à côte du mur,-

Je vais même finir par croire qu'elle lit dans mes pensées……. mais vues les pensées qui m'assaillent il vaudrait mieux pas….quoique…..

Je pose le plateau sur la desserte, Julie me tend un verre qu'elle a remplit de Bombay, nous trinquons,-

Julie repose son verre et s'empare de mes escarpins,-

- je peux les essayer? vous me dites maintenant où vous les avez achetés?

- je les ai achetés chez LOUBOUTIN à Paris il y a deux mois environ, c'est du cuir verni avec le talon en croco, moi je les adore

Julie les enfile un par un et finalement je constate qu'on a à priori la même pointure,- Elle marche un peu à travers la pièce, prend des poses de pin up, relève une jambe en arrière à la Marylin Monroe, défile comme un mannequin

Elle est magnifique!

- j'adore aussi, ils sont superbes sauf qu'avec ce pantalon c'est pas l'idéal, d'abord on voit rien et en plus ils méritent une jupe ou une robe…………..

Elle relève le bas de son pantalon pour dégager et sa cheville et l'escarpin, fait la moue……

- servez nous un autre verre Madame ROLAND, n'oublions quand même pas que nous fêtons votre futur succès

Toute heureuse je nous sers un nouveau verre de Bombay

- Julie allez mettre une robe ou une jupe, vous verrez ainsi à quoi ils ressemblent à vos pieds

Elle semble réfléchir puis

- Vous êtes un ange Madame ROLAND, allez suivez moi je vais enfiler une robe……

Hop elle vide son verre d'un coup sec, le repose sur le plateau, se retourne mes escarpins à la main et se dirige vers la pièce au début du couloir qui est donc sa chambre comme je l'avais devinée dès le premier jour.

 

Je lui emboîte le pas, en emportant avec moi la bouteille de gin, les deux verres, ma ceinture et mes collants…

Julie est déjà devant son placard dont elle fait coulisser la porte de droite, dégageant quatre étagères sur lesquelles sont rangés quelques vêtements,-

Elle n'est pas riche en vêtement je me dis en pensant à mes propres placards …

D'un geste sur elle prend une mini jupe, en cuir noir,-

Elle s'assois sur le lit et sans marquer la moindre hésitation, retire son pantalon, dévoilant au passage de longues jambes, parfaitement galbées,-

Je la regarde enfiler sa jupe et se redresser prestement, offrant à mon regard, la vision d'un triangle blanc délicieusement posé en haut de ses cuisses,-

La vision est éphémère, rapidement la jupe est en place et elle referme la fermeture éclair,-

 

Déjà elle a chaussé les escarpins et s'admire dans le miroir de son placard, tournant sur elle-même, m'offrant ainsi des fesses rebondies perchées en haut de ses jambes portées par les mocassins,-

- vous êtes superbe Julie, ils vous vont à merveille

Ses yeux brillent, elle continue de tourner tout en s'admirant dans le miroir

- ce serait encore plus beau avec des bas ou des collants

Elle me regarde fixement, presque triste

- je n'en ai plus, j'ai bousillé ma dernière paire de collants le WE dernier, tant pis pour moi

- ah dommage! ………

- allez encore un petit verre et je vous les rends et elle me tend son verre en se laissant tomber sur le lit

Elle avait bien vu que j'avais apporté avec moi la bouteille.

Je pose la ceinture et mes bas que j'avais encore à la main, sur le lit à côté d'elle et lui tend son verre de gin,-

Je repose la bouteille par terre, m'assois à côté d'elle sur le lit face au miroir et nous trinquons à nouveau,-

L'alcool fait déjà son effet chez moi, je me sens légère, je suis gaie,-

A nouveau elle se laisse tomber à l'arrière, je ne vois plus dans le miroir que ses deux pieds encore chaussés de mes escarpins, ses jambes, ses cuisses couchées sur le lit, moi assise à côté, mon verre à la main, pieds nus, j'en souris ….

Mon regard se porte à nouveau sur elle, elle tient encore son verre vide dans la main droite contre sa cuisse…….elle fait rouler le verre contre sa peau.

Je distingue son entrecuisse habillée de dentelle blanche, nichée au fond de sa minijupe en cuir

Un moment de silence s'installe, mes yeux ne parvenant pas à se détacher de ses cuisses, j'ai chaud, chaleur que je mets sur le compte de l'alcool, je pose mon verre sur le lit juste là à côté de mes collants…….

- Julie si vous voulez vous pouvez enfiler mes collants, à priori nous faisons la même taille

Julie de redresse me regarde, je lui tends fièrement mes collants,-

Je me sens un peu bête là comme ça, les jambes de mes collants qui pendent au bout de mon bras et Julie qui ne dit rien et continue à m'observer presque malicieusement

- non non, Madame ROLAND, reprenez vos escarpins, une fois sur deux je bousille mes collants la première fois en les mettant

- Julie je vous dis de les mettre et si il le faut c'est moi qui vous les mettrez

Je m'entends lui dire ça et je n'en reviens pas.

Elle m'observe encore quelques instants

- bon ok Madame ROLAND, tant pis pour vous je vous aurais prévenue….. mais bon je vais faire attention promis…… encore un petit gin pour se donner du courage?

Je suis radieuse, je nous ressers deux verres de gin qu'on avale toutes les deux d'un trait!

Pendant que Julie retire les escarpins je me prends à penser que je n'ai fait cette offre que pour prolonger ce moment de sensualité et bien plus sûrement dans le secret espoir d'entrevoir à nouveau ce triangle blanc ……

 

Julie tend sa jambe droite puis la jambe gauche et enfile délicatement le collant,-

Tout est sensualité, tout est douceur

J'ai l'impression qu'elle joue de sa position, qu'elle s'offre à mes regards,-

Le collant à mi-cuisses, elle se met debout juste devant moi,-

J'ai quasiment le visage à hauteur de son sexe,-

Lentement elle tire sur le collant, le glisse sous sa minijupe et le met en place, là sur ce string blanc qu'elle me dévoile une nouvelle fois,-

Elle écarte les jambes pour bien appliquer le fond du collant – de mon collant – entre ses fesses,-

Je me suis vue dans le miroir, écarter les jambes quand elle écartait les siennes,-

Je me suis encore vue subrepticement – enfin je crois – écraser ma main contre mon sexe quand elle mettait en place le collant entre ses fesses,-

Le miroir n'autorise pas la vision de mon tanga, sa couleur noire se noyant dans le noir de ma robe, mais je sens à cet instant que mes lèvres se gonflent

Et plus je le sens plus elles se gonflent, j'ai l'impression qu'elles avalent le bout de tissu qui déchire maintenant mon sexe,-

 

Fin pull avec col en V, minijupe en cuir noir, collants noirs, escarpins  Julie parade devant son miroir, devant moi.

Je l’imagine assise au piano, buste nu, les seins libres s’offrant à mes yeux, mes mains, ma bouche.

 

J'ai incroyablement chaud et je suis sure que ce n'est pas seulement l'alcool,-

Je me lève du lit

- je peux aller aux toilettes?

- bien sur Madame ROLAND, elles sont là juste à droite dans la salle de bains

Je quitte la chambre, disparais dans la salle de bains,-

Assisse sur la cuvette, je tente de reprendre mes esprits,-

Je respire, mais je n'arrive pas à pisser

Je regarde mon tanga, là à terre, entre mes chevilles et j'y vois ce que j'avais bien sur deviné, ces traces blanches annonciatrices de ma jouissance.

De ma main je caresse mon clito, douloureux de la journée que je viens de lui faire subir

Délicatement je m'essuie les lèvres avec la feuille de papier hygiénique

Là encore aucun doute, les traces sur la feuille de papier sont parfaitement claires de mes envies

Je tire la chasse d'eau et remonte mon tanga mais désormais j'ai mal, mes lèvres sont trop sensibles, mon vagin n'est pas calmé

Je le retire et remet ma robe en place sur mes fesses désormais nues

Je le mettrai dans mon sac à mains en sortant de la salle de bains avant de rejoindre Julie

J'ouvre la porte et sors, conscient d'avoir été un peu longue

La porte de la chambre de Julie est ouverte et elle sort de la chambre alors que je me dirige vers mon sac en tentant maladroitement de dissimuler mon tanga dans ma main.

 

Julie a remis son pantalon noir, elle est à nouveau pieds nus, elle me regarde et j'ai une énième fois l'impression d'être une petite fille prise en faute.

Tant pis je glisse le tanga dans mon sac

- alors Julie retour sur terre? 

- oh oui Madame ROLAND, allez je vous rends vos biens

Elle retourne dans la chambre et je la suis pour récupérer mes collants et mes escarpins,-

Je chausse mes escarpins et m'apprête à quitter la chambre quand Julie me dit sur un ton espiègle

- ah non Madame ROLAND, pas comme cela, à mon tour de profiter du spectacle, vous n'allez pas repartir sans remettre vos collants et comme ça au moins je verrai comment il faut les mettre pour ne pas les abîmer une prochaine fois

- non Julie, je vais y aller comme ça, ça va aller

- non non Madame ROLAND, pas question! Allez je vous regarde!

Julie est devant la porte, appuyée contre la chambranle, les mains derrière le dos, les jambes croisées, à m'observer d'un air taquin mais aussi d'un air qui ne laisse pas espérer un changement quelconque d'avis

Je me sais le cul nu mais je sais encore que je ne peux pas échapper à cette séance,-

Ma robe, un peu plus longue que la minijupe de Julie tout à l'heure, doit pouvoir me permettre d'enfiler mon collant sans trop dévoiler ma nudité.

J'enfile donc mon collant, jambe par jambe, et je le remonte sur mes fesses en prenant bien soin de faire tomber ma robe sur le devant pensant ainsi dissimuler mon sexe aux yeux de Julie, en oubliant toutefois que si la vue de mon sexe lui était cachée, ma position face au miroir de son placard lui offrait une vue directe sur mon petit trou.

Trop tard!

Alors que je mets bien en place mon collant, je découvre que son entrejambe est humide, très humide

Je regarde Julie qui m'adresse un sourire radieux

Je sens mes lèvres qui s'écartent comme pour absorber cette moiteur étrangère

Dans le couloir, Julie me tend mon manteau, me tend mon sac, qui entr'ouvert laisse apercevoir mon tanga noir mal rangé,-

- merci Madame ROLAND de votre gentillesse, j'ai vraiment eu du plaisir à faire ces essais

- merci à vous Julie ……pour tout……aux verres partagés, à tout…..

Julie me tend la main en me disant

- à Lundi 19 heures, nous serons le 28 avril, soit encore 2 jours pour peaufiner votre piano et qui sait peut être gagner votre pari

- à lundi Julie et bon week-end!

- et n'oubliez pas Madame ROLAND, pensez à soigner votre tenue pour votre cours….

La porte de l'appartement se ferma, me laissant seule dans l'ascenseur.

 

Aussitôt, ma main se glissa sous mon manteau, sous ma robe pour caresser mon entrejambe toujours aussi humide

Je l'avais devinée, j'en étais désormais certaine, cette odeur, là sur le bout de mes doigts sous mon nez, cette onctuosité, là sur le bout de mes doigts sur ma langue …….

Pendant que j'étais dans les toilettes à tenter de reprendre mes esprits, Julie s'était branlée dans mon collant, me laissant sa mouille et son jus de jeune femme sur l'entrejambe……

Je quitte alors l'ascenseur, pour emprunter la cage d'escalier, là dans le noir, appuyée contre le mur, deux doigts dans la bouche à saliver et sucer sa crème, je me frotte le clito frénétiquement à travers le voile du collant et à mon tour j'explose et inonde mes collants de mon jus délicieux et chaud,-

Rentrée chez moi quelques minutes plus tard, je constate que Hervé m'a laissé un message et qu'il m'attends chez des copains pour l'apéro

Soulagée de son absence, je prends une douche en vitesse, enfile un jean et un pull, remets mon manteau,-

Avant d'aller le rejoindre, je glisse mes collants sous le lit en souriant, et en pensant que ce soir encore avant de m'endormir, je pourrai profiter de son odeur et de son goût

 




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