J’ai fait ça pendant que mon mari dormait.

Récit érotique écrit par mazaudier le 30-08-2024
Récit érotique lu 1059 fois
Catégorie Infidélité

Je m’activais dans la cuisine, ivre et avec un désir insatiable. Mon mari dormait et Rémi, son meilleur pote ne pouvait s'empêcher de me regarder. Je savais que c'était risqué, mon mari pouvait se réveiller à tout moment. Mais à ce moment-là, je voulais juste profiter.

Ce soir-là, mon mari a décidé d'inviter Rémi, son meilleur pote à dîner à la maison.

Tout s'annonçait bien. Nous allions partager tous les trois un bon moment, et boire quelques bières. Jusque-là, tout est normal. Mon mari et son pote discutent de leurs jeunesse, et moi jouais le rôle d'hôtesse pour que tout se passe bien.

Après nous être mis à table, nous avons commencé à déguster de délicieuses pizzas faites maison, que mon mari avait préparées. C'était la combinaison parfaite. Pizza et bières. Rémi et mon mari regardaient le match et discutaient avec animation de sujets masculins, pendant que je veillais à ce que tout le monde ait suffisamment à manger et à boire. L'atmosphère était détendue et agréable.

Le son du jeu en arrière-plan remplissait la pièce et les rires se mêlaient aux commentaires sur les meilleures blagues. Parfois, je me retrouvais à sourire aux plaisanteries de Rémi, ou à hocher la tête face aux opinions passionnées de mon mari sur l'équipe.

Après le dîner, nous avons ouvert quelques bières supplémentaires. Ils se détendirent encore plus et bientôt nous fûmes tous confortablement installés sur le canapé, regardant le match et buvant des coups. J'étais chargé de garder les boissons au frais et de veiller à ce que personne ne rate aucun moment important du match.

Au fur et à mesure que la nuit avançait et que les bières continuaient d’arriver, la conversation prenait un ton plus ludique. Rémi, qui a toujours été l’âme des réunions entre copains, de famille, s’est mis à raconter de drôles d’anecdotes sur ses années de célibataire. Mon mari, pour sa part, racontait des histoires sur notre jeunesse quand nous sortions faire la fête le week-end.

Entre rires et souvenirs, le temps semblait passer vite. Les bonnes vibrations entre eux deux étaient évidentes et j’étais heureuse de les voir si unis et détendus. Parfois, je me joignais à la conversation avec une blague ou un commentaire, mais la plupart du temps, je me contentais d'écouter et d'apprécier la soirée.

La nuit continue et l'ambiance devient de plus en plus animée. Sous l'influence des bières et de l'excitation du jeu, ils commencèrent à parier entre eux sur le résultat final. Ils riaient quand ils avaient raison et se moquaient quand ils avaient tort. Je vis Rémi chuchoter à l’oreille de mon mari. Ce dernier se tourna vers moi, un large sourire éclairant son visage.

À un moment donné, alors que nous étions concentrés sur le jeu, j'ai remarqué le regard de Rémi posé sur moi avec insistance. Au début, je pensais que c'était le fruit de mon imagination ou peut-être une coïncidence. Mais au fil des minutes, je réalisai que son regard était toujours fixé sur moi, m'observant attentivement, comme s'il m'évaluait de la tête aux pieds. Cette sensation m'a mis mal à l'aise au début. J'ai regardé mon mari, mais il n’avait rien remarqué, concentré sur le jeu et un peu ivre. J'ai essayé de détourner l'attention du pote de mon mari, et de continuer comme si de rien n'était.

Cependant, chaque fois que je le regardais, je remarquais à quel point il continuait à avoir ce regard intense et fixe sur moi. C'était comme s'il cherchait quelque chose ou essayait de me communiquer quelque chose, sans parler.

En plus du regard pénétrant, j’ai remarqué un autre geste qui m’a donné des frissons dans le dos. J'ai commencé à remarquer un léger frottement sur mon pied par dessous. Au début, j'ai pensé que cela pourrait être accidentel, peut-être en raison de la proximité de l'espace, alors que nous étions assis ensemble. Mais ces contacts n’étaient pas accidentels. Ils étaient déterminés et continus. Chaque fois que je sentais sa main ou son pied près du mien, je pouvais voir un sourire malicieux sur son visage. J'ai essayé de bouger subtilement mon pied, de changer de position, voire de croiser les jambes pour éviter ces contacts.

Cependant, Rémi semblait toujours trouver un moyen de reprendre ce contact, comme s'il ne pouvait pas se contenir. Dans mon esprit, j’essayais de rationaliser ce qui se passait. Est-ce que j'ai exagéré la situation ? Peut-être que Rémi n'a pas réalisé ce qu'il faisait ? Mais son regard et les frottements sur mon pied me disaient le contraire. Il y avait quelque chose de plus derrière ses contacts, quelque chose qui me faisait ressentir un picotement ludique dans mon ventre.

Après le match et les nombreuses bières, les choses sont devenues intéressantes. Mon mari avait bu plusieurs bières pendant le match et, comme c'était courant lorsqu'il buvait trop, il a commencé à montrer des signes d'ivresse. Son enthousiasme initial et le jeu étaient terminés, remplacés par l’intention de se retirer pour se reposer.

Lorsqu'il m'a annoncé qu'il allait se coucher, j'ai remarqué qu'il se levait avec difficulté du canapé, chancelant légèrement sous l'effet de l'alcool. J'ai montré un peu d'inquiétude en le voyant ainsi, mais je savais qu'il préférait se reposer et récupérer en privé lorsqu'il était dans cet état.

- Puis-je t’aider à te relever ? Ai-je proposé.

J’ai posais une main sur son bras pour le soutenir, alors qu'il se dirigeait vers les escaliers. Mon mari a hoché la tête avec un sourire fatigué, me remerciant pour mon aide. Ensemble, nous avons marché lentement vers la pièce principale, pendant que j'essayais de le maintenir stable et de l'empêcher de trébucher. Même si la situation était quelque peu inconfortable, ce n’était pas la première fois que cela se produisait.

En arrivant dans la chambre, mon mari tomba sur le lit avec un soupir de soulagement. Il ôta ses chaussures se déshabilla et s’allongea sur le lit, montrant des signes évident de fatigues. Je ne pus retenir un sourire en voyant sa queue inerte elle aussi.

Je remontais le drap sur lui, et il me remercia de l'avoir accompagné.

- As-tu besoin d'autre chose avant mon départ ? Ai-je demandé, m'assurant qu'il était à l'aise et qu'on prenait bien soin de lui.

Mon mari secoua la tête et ferma lentement les yeux, disant qu’il allait dormir un peu.

Sa voix déjà endormie alors qu'il s'installait mieux entre les oreillers. Je me suis penché pour déposer un doux baiser sur son front et m'assurer qu'il était bien couvert.

La pièce était calme et l'atmosphère s'était calmée après tout ce bruit. Même si mon esprit était encore en train de penser à ce qui s'était passé avec le pote de mon mari.

- Repose-toi chérie. Je serai dans le salon si tu as besoin de quelque chose, dis-je en lui souhaitant une bonne nuit avant de quitter la pièce et de fermer la porte derrière moi.

Après avoir accompagné mon mari jusqu'à la chambre et m'être assuré qu'il était à l'aise, je suis retournée dans le salon où Rémi m’attendait. La tension entre nous était toujours là et il voulait continuer le match.

- On peut finir les bières restantes ? Après je partirai, proposa Rémi, brisant le silence qui régnait dans la pièce depuis que mon mari s'était endormi.

J'ai pris un moment pour réfléchir à son offre. Même si j'étais conscient de la situation précédente et des émotions mitigées que j'avais vécues cette soirée-là, il ne s'agissait que de quelques bières, que pouvait-il se passer ?

- OK, c'est bon. Nous pouvons prendre quelques bières supplémentaires, répondis-je en essayant de paraître calme.

Rémi hocha la tête avec un léger sourire et se leva pour chercher les bières restantes dans le frigo. Pendant ce temps, je m'assis sur le canapé, les jambes croisées, essayant de me détendre et de profiter du moment. Il revint avec deux bières à la main et les posa sur la table basse. Nous nous sommes assis l’un en face de l’autre, chacun une bière à la main, comme si nous essayions de retrouver la normalité après l’épisode précédent. Il semblait que nous faisions tous les deux un effort pour laisser derrière nous les regards d'avant et simplement profiter de la compagnie de chacun.

Cependant, malgré nos efforts pour poursuivre la conversation, je n'ai pas pu m'empêcher de ressentir une légère tension. De temps en temps, j'observais le regard de Rémi et je me demandais ce qu'il pensait faire. Au fur et à mesure que la nuit et les bières

continuaient, nous nous sommes détendus un peu plus.

Le pote de mon mari semblait plus joueur et je me sentais plus disposé à profiter de la nuit. Nous avons commencé à rire et à faire des blagues plus suggestives. Il était clair que les bières avaient eu leur effet sur moi, relâchant mes inhibitions et éveillant une partie plus audacieuse de ma personnalité.

J'ai commencé à me sentir plus détendue et, oui, un peu plus coquine que d'habitude. En un instant, nos regards se sont croisés et,à ce moment-là, une vilaine idée m'a traversé l'esprit. Même si j’étais conscient du risque, l’alcool me faisait me sentir plus audacieuse que d’habitude.

- Tu te rapproches ? Dis-je avec un sourire malicieux, laissant mon regard suggérer plus qu'une simple invitation.

Rémi parut un instant surpris, comme s'il ne s'attendait pas à une telle proposition de ma part. Toutefois, son expression s’est rapidement transformée. Il s’est levé, s’est planté devant moi. J’ai baissais son bermuda, libérant une bite déjà en érection.

Je n’avait qu’à la prendre en bouche, et lui dédier une douce fellation. Ma pression sur ses hanches lui interdisait de se retirer , aussi, au bout d’un court instant, je sentis un liquide chaud se déverser dans ma bouche.

Ensuite, je lui ai pris la main et nous nous sommes dirigés vers la cuisine. Je lui ai dit qu'il valait mieux être là, qu'on n'entendrait pas les bruits. Lui, avec un sourire enjoué, a semblé comprendre ma suggestion. Et à ce moment précis, alors que mon mari dormait, c'est arrivé. Il s'est approché de moi et nous nous sommes laissés aller, sans penser à rien, sans nous inquiéter, juste avec l'envie de profiter d'un moment ensemble. Nous avons exploré nos corps jusque dans les moindre recoins, même ceux qui était interdit. Nous savions tous les deux que c'était dangereux, que mon mari pouvait se lever à tout moment. Mais la tension qui s’était créée entre nous était plus forte et pendant un instant nous avons tout oublié. On s’est laissé emporter par toutes ces émotions accumulées. C'était un moment de grande adrénaline.

Même si j’étais sous l’influence de l’alcool, je ne peux nier que j’ai apprécié ce moment. C'était une expérience géniale. Après un moment passé dans la cuisine avec Rémi, j'ai commencé à sentir que la situation devenait dangereuse. Même si nous passions un bon moment et que nous voulions continuer, je lui ai dit qu'il était déjà tard et que nous faisions beaucoup de bruit.

- Je pense qu'il serait préférable que tu partes maintenant, il est déjà tard et mon mari pourrait se lever à tout moment, dis-je, cherchant un moyen rapide et gentil de sortir de cette situation.

Rémi hocha la tête avec une respiration lourde et je pouvais voir une légère expression de surprise et de déception sur son visage. Mais je savais que ma décision était la bonne, je ne pouvais plus prendre de risques.

Nous avons marché ensemble jusqu'à la porte d'entrée, où nous nous sommes dit au revoir avec un rapide câlin. Alors qu'il fermait la porte derrière lui, je poussai un soupir de contentement. La soirée avait été plus intéressante que ce à quoi je m'attendais et tout s'était bien passé.

Je suis retourné au salon et me suis assis sur le canapé, réfléchissant à tout ce qui s'était passé. J'ai décidé que la meilleure façon de calmer mes pensées était de prendre une douche avant de me coucher. Je me suis dirigé vers la salle de bain et j'ai ouvert l'eau chaude, laissant la vapeur remplir l’espace.

J'ai senti comment la chaleur de l'eau calmait ma peau et mon esprit, m'amenant dans un état de relaxation après avoir vécu ce moment. Après avoir fini de prendre ma douche et de m'être séché, je me suis enveloppé dans un peignoir et me suis dirigé vers la chambre principale. Mon mari dormait toujours profondément, inconscient de tout ce qui s'était passé pendant la nuit. J'étais soulagé de le voir dormir.

Avec précaution, je me glissai sous les couvertures et me blottis contre de lui, profitant de la chaleur réconfortante de sa présence. Je savais ce que j’avais fait était mal, mais à ce moment-là, je l'ai juste serré dans mes bras et je me suis préparé à dormir, comme si de rien n'était.
















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