Cette histoire, même si elle est romancé, est tirée de fait réelle. J’ai volontairement très exagéré les passage érotique hard, pour conserver l’esprit du site.
Ce jour là, j’ai trompé mon mari, de façon ignoble.
Je m’appelle Flore, et je vais sur mes trente ans. Je sui mariée depuis huit ans avec Marc, de quatre ans mon aîné. Il me dit que ses copains vantent ma beauté. Ils me trouvent canon, disent que j’ai un corps bien proportionné, avec ce qu’il faut, ou il faut. Mon mari s’occupe du club de squash de la ville, ou il en est président. Du reste, lors de soirée, tous essaient de m’embarquer dans des slows plus ou moins langoureux, tentant l’aventure, mais se cassent les dents. J’adore mon mari, et lui suis extrêmement fidèle.
Mais peu à peu, à force de réception et de soirées dansantes, j’ai eu une attirance particulière pour Guy, un dirigeant du club. Et ce qui devait arriver, arriva. Quand Marc à quitté la présidence du club, évincé par Guy, il a fallu remettre tout les dossiers et toute la comptabilité du club. Mais Marc, déçu, ne voulait avoir aucun contact avec Guy, aussi m’a-t-il demandé de déposer les dossier chez lui. Même si je n’appréciais pas ce qu’il avait fait à mon mari, j’acceptais de les déposer. Et c’est à ce moment là que tout à basculé.
Je le connais très peu, pour ne l’avoir aperçu quelques fois, suffisamment pour le juger et le détester. De ce qu’il avait fait à mon mari. Au premier regard, je l’ai trouvé hautain avec son air de séducteur, ses cheveux couleurs jais, sa moustache noire. Je ne croisais Guy qu’à l’occasion de sortie, ou de soirées, et je dois avouer qu’au début, je n’y prêtais pas attention. Mais après quelques rencontres, je m’apercevais que je ne le laissais pas indifférent. Il m’invitais souvent à danser, coupant parfois les élans de mon mari. Marc se rendit compte de son comportement, et m’a affronté plusieurs fois à ce sujet. Il réfléchissait même s’il devait me confier la tâche de porter moi-même les dossiers du club.
Il est vrai que Guy avait une réputation de dragueur, surtout de femme mariées, et Marc le savais. D’autant que dans les vestiaires du club, le bruit courrait que Guy avait fait de moi, son prochain objectif. Voulait-il humilié mon mari, après l’avoir évincé du club ?
Je prends une bonne douche, m’admire en souriant dans le miroir. Je mets un string, une jupe qui arrive à mi-cuisses, et un chemisier blanc, pas de soutien gorge, mes seins, bien ferme, n’en ont pas besoin. Le tout est monté sur des chaussures compensées de six centimètres. J’arrive à la villa de Guy vers quatorze heures. La voiture est garée dans l’allée, donc il est là. Je sonne. C’est lui qui ouvre, vêtu d’un peignoir, téléphone à la main. Il doit très certainement sortir de la douche, ses cheveux sont tout mouillés. Mais, a-t-il quelques choses dessous ?
- Tiens Carole, devine qui est là...Flore...je te rappelle ma chérie dit-il en raccrochant.. Je t’en prie, Flore, rentre. Quelle agréable surprise. J’étais au téléphone avec ma femme.
Guy ferme la porte, m’invite à regagner le salon. Je me sens d’un coup décontenancée devant lui. Je n’avais jamais remarqué qu’il était aussi séduisant, et je comprenais que les femmes puissent succomber à ses charmes. Moi même, si je n’étais pas là, pour régler un problème, peut-être me serais-je laisser séduire. Il me demandait ce qui lui valait l’honneur de cette visite.
- Allons nous installer au canapé, m’invite-t-il en me prenant par la taille.
Je repoussa sa main vigoureusement, et m’assis sur le canapé. Guy s’installe dans le fauteuil, face à moi. Il m’explique que mon mari était trop occupé ailleurs, et qu’il ne pouvait faire du bon travail au club. Je lui expliquais que ça se discutait, et qu’il n’était pas nécessaire, de magouiller un vote. Il me répondit qu’il voulait lui montrer qu’il pouvait le battre. Il ne nia pas.
Je déposais les dossier, fit mine de me lever pour partir. Il me dit que ce serait ridicule de se séparer sur une note négative, et me proposa de me rasseoir. Il se leva, alla à la cuisine, en revint avec une bouteille de champagne et deux coupes. Il s’approche de moi et m’en tend une.
Nous sommes face à face, les yeux dans les yeux. Je suis fasciné par son regard, et me sens attirée physiquement, par cette virilité hors norme. Après une gorgée, il prend mon verre, le pose sur la table basse. Sans un mot, il s’approche de moi, me prend par la taille.
Cette fois, je ne le repousse pas. Son visage est près du mien, très près, au point que nos lèvres se frôlent. Il m’allonge sur la table basse, mes jambes pendre de chaque côté. J’ai l’impression d’être sur une table de massage. Il ouvre mon chemisier, le bout de mes seins dressés devant ses yeux. Il a un sifflement admiratif en les apercevant.
Ses mains parcourent mon corps, remontent sur mes flancs, caressent mes seins, fait rouler les bouts entre ses doigts. Puis il descend, lentement sur mes cuisses, je sent ses doigts surfer sur ma chatte, exciter mon clitoris. Ils le décalottent, tandis qu’un troisième l’excite.. C’est à ce moment que je pousse un léger gémissement.
- Que t’arrive-t-il, dit-il en souriant.
- Pas ça...arrêtes, s’il te plaît…laisses-moi partir...
- Pourtant, tu as l’air d’aimer…ton mari te fais jamais çà..
- Arrêtes je te dis...non...il sait pas faire…
- A bon, il sait pas faire ça ? Pourtant ce n’est qu’un doigt. Il a juste à sortir ton petit bouton, et le caresser...comme ça...c’est bon hein ? Tu aimes?
- Bien sur que j’aime…comme toute les femmes... assez…salaud...
Je vois un large sourire éclairer son visage. A cet instant, il est persuadé que je vais m’abandonner. De mon côté, je me sens de plus en plus vulnérable, de plus en plus attirer par lui, et je sens le désir monter en moi.
- Arrêtes...s’il te plaît...mon mari ne sait pas que je suis passé te voir.
- A bon...ça veut dire qu’il n’en saura rien, si je te baise.
- Non...déconnes pas...laisses-moi partir.
- T’es sûre...t’as pas une petite envie...pourquoi ta chatte est toute mouillée...ça veut dire quoi ?
- Salaud...c’est toi qui la fait mouiller...quand elle est dans cet état, c’est qu’elle a envie qu’on la branle, ou qu’elle a besoin besoin d’un coup de queue…
- Comme ça…
- Oh oui salaud, comme ça...branle là…
Je suis prise dans la tourmente du plaisir. Je ne me dérobe pas, au contraire, m’écarte d’avantage pour facilité l’accès à mon intimité. Maintenant, le rival de mon mari, joue avec moi. Il a prit le monopole de mon corps. Il caresse ma chatte, insère deux doigts à l’intérieur. Un doigt de l’autre main excite mon clitoris, le pincent. Je me tords comme un ver sur la table basse, me cambre sur ces doigts qui me fouillent, et qui m’emmènent à la jouissance.
- C’est bon, hein...oh...c’est quoi que je tiens là ?
- Hum...salaud… tu tiens à m’humilier, comme tu as humilié mon mari...
- Mais pas du tout...je veux que tu me dises...vas-y, dis moi…
-Tu le sais salaud...c’est mon clitoris…on mon dieu...je vais jouir...oui, je jouis…
J’atteins un orgasme terrible, hurle de plaisir. Imperturbable, Guy finit d’ôter ma chemise, et mon string. Je me retrouve entièrement nue devant le pire ennemi de mon mari.
- Ouah...qu’est-ce que t’es belle. Quelle chance il a ton mari...tu sais quoi, je vais t’offrir un cadeau, dit-il en ouvrant son peignoir.
Putain...comme il est monté. Guy passe une main derrière ma tête, la soulève pour mettre son énorme queue à porté de mon visage. Il la passe sur mes lèvres. J’essaie de l’éviter, de retarder l’échéance, mais d’une simple poussée sur ma nuque, je prends sa bite en bouche, qui se décalotte au passage de mes lèvres. J’entame une lente fellation, rythmée par les mains de Guy. C’est pas pour autant que quand il lâche ma tête, j’arrête de le sucer, au contraire, j’appuie ma fellation. Je dois avouer même, que je prends un réel plaisir de sentir la queue vibrer contre mes joues.
« Non, me dis-je, il va pas oser jouir dans ma bouche »
Soudain, je sens de puissants jets de sperme gicler contre mon palais, pour finir sur ma langue. Je me surprends à enrouler celle-ci autour du gland, pour le nettoyer.
- Enfoiré...qu’est-ce que tu m’a mis...elles étaient pleines tes couilles...ouah…
- Et alors, mon sperme est-il meilleur que celui de ton mari?
- Je sais pas, j’ai jamais goûté le sien…je l’ai jamais sucé...
- Sérieux, je suis le premier...pauvre Marc.
Puis Guy écarte mes jambes, s’encastre entre mes cuisses. Je sens l’énorme gland taquiner mon petit bouton. Déjà, de légers soupirs s’échappent d’entre mes lèvres.
- Cochonne, ou insatisfaite, me demande-t-il.
- Les deux...regarde comme tu m’as écartée…
- C’est pour que tu sentes bien ma queue, quand je te pénètre...tu l’as sens là…
- Comment ne pas la sentir...elle est tellement grosse, tellement bonne.
Guy me saisit par les hanches, m’oblige à me mettre à quatre pattes sur le canapé. Il veut me prendre en levrette, ma position préféré. Je le sens s’installer derrière moi, son gland taquiner ma chatte. Lentement, il me pénètre de son énorme queue. Je ne peux retenir des gémissements de plaisir, quand sa bite coulisse dans mon ventre. Guy me donne énormément de plaisir, n’en finit pas de me faire jouir. Je n’ai jamais connu ça avec mon mari, pourtant très coquin au lit. Mais Guy a cette chose en plus qui rend folle les femmes...ses mensurations déjà, et la façon dont ses mains s’égarent, pour caresser les parties intimes de mon corps, et je vous passe les coups de langues sur mon mon petit bouton, qui me procure un intense plaisir.
Il se retire, frotte son gland sur mon petit trou. Je sursaute, me cramponne au rebord de le table. Je sens mon petit orifice se dilater sous la poussée de l’énorme bite. Il tire sur mes hanches pour mieux me sodomiser. Pendant qu’il m’encule, il branle ma chatte, doigte mon clitoris. Il me rend folle, joue avec moi, prend plaisir à me voir jouir, à m’entendre crier. Les coups de queue s’accélère aux rythme de ses râles.
- Tiens, prends ça...ouah...que c’est bon d’enculer la femme de son rival…
Puis, c’est la déferlante. La semence épaisse gicle dans mon ventre, inlassablement.
Soudain, son portable sonne. Guy le saisit, le met le haut parleur. Putain, je reconnais la voix mon mari. S’il savait qu’à ce moment là que je suis empalée sur la bite de son rival...
« Oui Marc...les papiers...tu les feras passer par te femme ? OK...tchao…»
- Tu as entendu. Quel naïf. s’il apprenait que sa femme était en train de le tromper, en se faisant sodomiser par celui qui l’a viré du club.
- Salaud...il dirait que je suis une salope. Mais c’est vrai, non seulement tu le vires du club, mais en plus tu baises sa femme.
- Et alors, t’as pas aimé...pourtant tu criais quand tu jouissais.
- Oh que si j’ai aimé...tu m’as fait jouir...j’ai eu trois orgasmes...
Guy me demande si j’en veux encore. C’est pas l’envie qui m’en manque, mais je lui dis que je dois partir, que Marc va rentrer du travail. J’aimerais être chez moi quand il rentre. Sous la douche, Guy me demande de lui tailler une pipe, ce que je fais avec plaisir. Évidemment, j’avale tout, et nettoie le sperme sur toute la longueur de sa queue.
Avant de quitter la villa, Guy me tend une clé USB.
- Tiens, tu donneras ça à ton mari, ce sont les projets pour la saison.
Je quitte la villa ers dix sept heures, après un torride baiser.
Pendant tout le trajet, je pense à le bêtise que je viens de faire. Je suis arrivée chez Guy, il était quatorze heure, j’en repart trois heures plus tard, après m’être faite baiser, par le pire ennemi de mon mari. Pire, je me suis faite sodomiser, lui ai taillé une pipe, avalé son sperme. Faveurs que j’ai toujours refusées à Marc. J’ai honte de cette ignoble tromperie. Marc ne méritait pas ça...quelle attitude allais-je avoir face à lui. Je l’ai trompé, et ça a du laisser des traces. J’espère qu’il ne va pas s’apercevoir des cernes qui gonflent mes yeux.
A peine arrivé chez moi, que Marc se gare devant le portail.
- Alors ma chérie, dit-il en m’embrassant, as-tu passé un bon après-midi ?
- Rien de spécial mon amour, je suis passé dire bonjour à ma mère.
- Au fait, j’ai appelé ce connard de Guy. Je lui ai dit que tu lui porterais les papiers du club cette semaine. Ça te déranges pas? Moi je veux plus le voir.
- C’est pas que ça m’enchante, mais s’il le faut. Je peux y passer demain si tu veux.
- Parfait, dit mon mari, tout sera prêt.
Si ça, ce n’est pas mettre le loup dans la bergerie...c’est quoi.
Il est quinze heures quand je sonne chez Guy. Il m’ouvre, et me prends dans ses bras. Nos lèvres se rejoignent dans un sulfureux baiser. Pendant les trois heures passées aux lit, je m’offre entièrement, hurle de plaisir quand j’atteins l’orgasme. Et ils défilent à une cadence infernale. Je mords dans sa chair, crie son nom, oubliant celui de mon mari. Je réponds à toutes les questions humiliantes qu’il pose sur Marc, surtout concernant ses mensurations, qu’il tient à comparer..
Je rentre chez moi, il est dix huit heures.
Ce soir là, Marc rentre du bureau, il est vingt deux heures. Après une bonne douche, il me rejoint au lit, se glisse sous les draps. Je suis entièrement nue.
- Alors mon amour, tu as passé une bonne journée. As-tu déposé les papier chez l’autre enfoiré.
- Comme prévu chéri...je les lui remis sur pas de la porte, et suis parti de suite.
Il me rejoins au lit avec sa tablette et la clé USB.
- On va voir les projets de cet enculé, dit-il.
Il met la clé et appuie sur lecture. La tête sur son épaule, je regarde défiler les images. Soudain, le sommier semble s’effondre. Le projet qui défile est celui ou nous sommes entrain de faire l’amour. Je sens les poings de Marc se serrer, jusqu’à en faire blanchir sa peau. Non seulement Guy à viré mon mari, baisé sa femme, mais en plus, il l’humilie.
- Arrêtes ça, demande ai-je.
- Pourquoi, ça a l’aire intéressant défiler le film.
Au delà des images, les paroles sont blessantes pour Marc. Les comparaisons dur leurs atouts, l’endurance de Guy, rien de comparable avec mon mari.
- Il te baises comme ça, demande Guy...dis-moi.
- Non, dis-je, il n’en est pas capable.
Marc ne dit pas un mot, fixe l’écran ou se déroule ma trahison. Je vois des larmes couler sur son visage. C’est là que je mesure toute ma culpabilité.
- Et tu vas lui dire à ton mari que tu t’es faites baiser par l’homme qu’il déteste le plus.
- Non...lui dire quoi...il ne mérite pas ça.
- Et s’il le découvre.
- Il me posera un tas de questions, pourquoi j’ai fait ça, je lui dirai que j’ai fait une énorme bêtise et le supplierais de me pardonner.
Le reste de la vidéo, Guy passait son temps à humilier mon mari. J’insistais auprès de lui pour mettre fin à ce film, qui l’avait ça pour le détruire, mais il voulait savoir.
- Et s’il te demande si tu m’as sucé...
- Oui, je lui dirais que je t’ai fait une fellation, que j’ai tout avalé
Les sens de mains se serrer les draps, au bord d’exploser. Il se lève, va à la cuisine prendre un verre d’eau. Il revient le visage toujours crispé.
- Tu vas lui dire que je t’ai sodomisé aussi, et que…
- Oui, je lui avouerai ça aussi, et que j’ai aimé le faire avec toi.
- Et s’il te demande combien de fois tu as jouis, tu vas lui dire quoi.
- La vérité, que tu n’as pas arrêté de me faire jouir. Maintenant combien d’orgasme ?j
- Moi, je dirai que je t’ai fait crier...sept ou huit fois.
Marc se tourne dans tout les sens, dans le lit. Se lève pour aller chercher un autre verre d’eau à la cuisine. Il me traite de salope. Je ne réponds pas.
- Et s’il te demande si je suis un bon coup au lit ?
- Je lui dirai que tu es un vicieux, que tu t’es amusé avec moi. Que tu m’as prise dans toute les positions, par tout les trous.
- Et tu lui diras que je suis mieux monté que lui, hein ?
- S’il me pose la question, oui, je le lui dirai.
Mon mari s’est un peu calmé, même s’il préfère prendre la chambre d’amis. Mais je m’aperçois que cette tromperie le rend de plus un plus jaloux. Il me demande si j’ai l’intention de le revoir. Je lui réponds que je ne savais pas, peut-être. Je ne savais pas qu’à ce moment là, il avait pris une décision dramatique qui allait tout changer. C’était un jour ou des plus diluviennes s’abattaient sur la région. Marc est assis à la cuisine, Il me demande de le rejoindre, qu’il faut qu’on parle. D’un geste calme, il pose une clé sur la table.
- C’est quoi ça, mon chéri, dis-je.
- C’est la clé du puits. L’eau doit commencé à monter, et Guy est enfermé dedans.
- Quoi, mais qu’as-tu fait, il va se noyer.
- Il en a encore pour une heure, c’est le temps qu’il te reste pour choisir.
- Mais, choisir quoi, je ne comprends pas ou tu veux en venir.
- C’est simple, c’est lui ou moi. Si c’est moi, voici les conditions. Plus de contact avec lui, tu t’engages à ne plus le revoir, et je veux en permanences avoir une vue sur ton téléphone. Si c’est moi, tu montes m’attendre à la chambre, et t’engage à ne plus le voir. Si c’est lui, tu prends la clé et tu vas le libérer, mais tu ne remets plus les pieds à la maison. Il te reste demi-heure.
Je vois ma vie défiler devant mes yeux, ça ne peut être vrai, il n’a pas calculé ça. Il me demande de choisir entre lui et mon amant, entre la sécurité et la passion. Je reste figée, réfléchissant, pourtant les choix devrait être facile.
- Dix minutes, dit Marc, remuant le couteau dans ma plaie.
Je réfléchis, le regardant dans les yeux. Je pris mon sac et monta à le chambre. Marc me rejoint cinq minutes après, entièrement nue, la queue dressée comme jamais je ne l’avais vu.
Marc a finalement pardonné mon infidélité éphémère, ce qui a renforcé nôtre amour. Cette après-midi là a été torride, mon mari se surpassant. Je lui offrit toute l’expérience que Guy m’avait transmise, mais il savait faire déjà, mais voulait me respecter.
Quand je lui demandais s’il avait libéré Guy, il m’avoua qu’il ne l’avait jamais enfermé dans le puits. Depuis ces retrouvailles, nous passons les week-end dans la chambre, répétant les nuits de la semaine. Nous pensons sérieusement à faire un enfant.
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