Famille unie

Récit érotique écrit par cerebrox le 26-07-2014
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Catégorie Inceste

Mon père possède un sexe hors norme et sait très bien s'en servir. Aussi, bien que mariée et mère de famille à mon tour, je retourne toujours, dès que possible, vers mes premières amours. Papa sait comme personne ce dont j'ai vraiment besoin et les orgasmes que j'ai avec lui sont incomparables d'autant plus que ma mère s'est toujours faite la complice très active de nos polissonneries. Au fond, je n'ai jamais connu d'autre homme que lui dans ma vie. Mon mari est décevant au lit, mais je me garde bien de lui faire partager mon secret. Il en serait mortifié, le pauvre ! Si je trouvais la perle masculine qui accepterait de me partager, c'est sûr, je divorcerais sans remords ni regrets. Dès que je peux, et profitant du fait que mon homme travaille souvent en déplacement, je me rends chez mes parents qui habitent à une heure de voiture environ de chez nous. J'y passe la journée avec eux deux à prendre mon pied de salope dépravée. En vérité, je m'y rends principalement pour me faire défoncer quand le manque devient intolérable, un peu comme une droguée. J'aime sentir sur ma peau cuivrée les doux suçons maternels, l'habilité des caresses de maman quand papa s'enfonce amoureusement en moi. C'est alors que je ressens cette incroyable sensation de pénétrante complétude. Sa grosse queue,forçant la moiteur de mes parois distendues, me comble d'aise au-delà des mots. C'est sans aucun doute mon nirvana. Mon père est si monté qu'il éprouve, encore aujourd'hui, des difficultés à me prendre en levrette. Mais, il y parvient tout le temps car il s'y prend bien et c'est pour moi l'extase, les gémissements bruyants, les cris, le paroxysme du contentement où je m'oublie complétement. Papa s'est toujours bien plu à me limer de cette façon. J'aime lui offrir mon cul qu'il pétrit entre ses grosses mains calleuses et qu'il aime claquer en regardant son gros piston visqueux aller et venir dans mon tréfonds poisseux de sale gamine dévoyée. Il faut avouer que je mérite amplement ses fessées. J'aime aussi les mots crus qu'ils me disent avant de m'embrasser suavement les trois orifices pour me chauffer au rouge. C'est pour moi une belle preuve d'amour que de les savoir si excités au point d'en devenir très grossiers. Maman me suce divinement le cul pendant que mon père boit avidement ma mouille. Je vibre et coule comme une fontaine et ces deux assoiffés se régalent des sécrétions de leur petite Mathilde chérie. Je ne me borne pas à recevoir leurs attouchements, je rends aussi les câlins qu'on me fait, au centuple. C'est à chaque fois grisant de pouvoir téter encore ma mère à l'âge que j'ai. Ma tête logée entre ses cuisses bien ouvertes, je lui suce sa bonne chatte inondée, le trou d'où je suis sortie, jusqu'à la voir frissonner pendant que papa me bourre de ses précieux bienfaits. J'étouffe mes plaintes dans les replis intimes du bas ventre maternel gluant de jute et de bave. J'aime cette chaleur torride et tellement jouissive qui émane de nos ébats interdits. Je bombe mon petit cul afin que maman puisse bien voir et tâter ou encore lécher le coït filial. Bien souvent, quand je sens que je viens, papa décule et maman s'empresse de venir me sucer la vulve enflée. Je connais alors le bonheur intense de lui décharger dans la bouche tout mon plaisir de petite putain aux anges. Pour elle, c'est encore plus formidable lorsqu'elle peut déglutir et se gorger du foutre de son mari qui suinte de mon entrecuisse. Elle garde en bouche avant d'avaler et nos baisers brûlants se partagent à l'unisson la copieuse saveur onctueuse du lait de couilles du seul mâle qui soit digne de ce nom, à mes yeux.

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26-07-2014 1 26126

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