Une maman soumise 2

Récit érotique écrit par mazaudier le 10-12-2018
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Catégorie Couple

Le lendemain, Claire revient de la ville avec des croissants. Kévin est au salon, installé devant la télé, tel un macho.

 

-Bonjour mon chéri, sourit Claire, j’ai apporté le déjeuner.

-Merci maman, tu ne viens pas m’embrasser.

-Mais bien sur mon amour.

 

Quand elle s’approche, Kévin la prend par la taille, et l’assied sur ses genoux. Il glisse une main sous la mini jupe.

 

-Mais…enfin, laisses moi.

-Maman, je voudrais qu’on passe un pacte tous les deux.

-Vas- y mon chéri, dis moi.

Je voudrais que tu ne portes que des jupes ultras courtes, pas de culotte…et que tu rases le minou.

-Petit vicieux, et si quelqu’un vient, il va voir la petite chatte de maman. Et pourquoi ça ?

-Parce que je veux pouvoir te mettre un doigt, quand j’en ai envie, te branler sur place,  droite contre le mur. Te faire jouir. Je veux que tu deviennes mon jouet, à part entière.

-Oh mon chéri, je t’adore, mais tu sais que ça ne va pas être possible. Il y a papa.

-C’est ton problème, répond Kévin. Même quand il sera là, il faudra que tu te rendes disponible quand j’aurai envie de toi. Du reste, je veux que tu limites tes relations avec lui. Une petite branlette lui suffira. Je ne veux plus qu’il te pénètre. Je veux que tu me promettes de ne jamais te faire sodomiser, ni tailler des pipes.

-Promis mon chéri, de toute façon, je n’ai jamais fais ça. Attends, je vais à la douche.

 

Claire accepte le deal proposé par son fils. Elle revient dix plus tard, vêtue d’une courte nuisette, et reprend sa place sur les genoux de son fils. Elle lui prend la main, et la guide entre ses cuisses.

 

-Ca te va comme ça ?

-Ouah…on dirait la chatte d’une petite fille…et ça, c’est quoi, fait semblant d’ignorer Kévin.

-Tu le sais, polisson…c’est mon petit bouton.

-Et tu aimes quand je te le gratte maman ?

-Hum…oh oui, tu le sais que j’aime…vas-y mon trésor, amuses toi avec le clito de maman.

 

Tout en caressant sa mère, Kévin ôte la nuisette. Claire se penche en arrière, la tête dans le vide, maintenu par la main ferme de son fils. Elle est entièrement nue, offerte aux mains vicieuses de son garçon. Kévin joue avec elle, caresse les magnifiques seins, pendant que deux doigts branlent la chatte, doigte le clito. Claire ne tarde pas à onduler sur les genoux de son fils…et puis…

 

-Oh mon dieu, je vais jouir…salaud…vas-y mon chéri…branle la petite chatte de maman…

-T’aimes ça maman, te faire branler par les doigts de ton fils…hein que t’aimes ça ?

-Oh oui, c’est tellement bon…je viens mon amour…oui…oui…je jouis…ahou…ahou...

 

Kévin retire ses doigts, les portes à sa bouche.

 

-Hum…elle est bonne ta mouille maman…tiens,  goute.

 

Claire lèche les doigts de son fils, enroule sa langue autour, pour ne rien perdre. Puis elle prend son fils par le cou, et lui donne un tendre baiser.

 

-Je vais prendre une douche, dit-elle, tu viens ?

-Oh non, vas-y, man, je t’attends.

 

Claire revient un quart d’heure plus tard. Elle a changé sa nuisette, contre une, encore plus courte, à la limite de la chatte. Un cadeau de Kévin.

Soudain, on sonne à la porte.

 

-Tiens, dit-elle, tu attends quelqu’un mon chéri ?

-Pa spécialement, ment Kévin. Tu peux aller ouvrir maman, s’il te plait.

-Mais enfin mon chéri, je suis en nuisette et sans culotte. Et tu as vu ma tenue. On va avoir ma petite chatte.

-C’est pas grave man. Tu as dit que tu m’obéirais…alors va ouvrir.

-D’accord, répond Claire en baissant la tête.

 

Claire ouvre, et se trouve nez à nez avec un jeune maghrébin, à peu près du même âge que Kévin. Peut être un peu plus jeune.

 

-Oui, demande Claire gênée par sa tenue, c’est pourquoi ?

-Kévin m’a demandé de passer le voir, il est là ?

-A, c’est toi mon pote, rentre dit Kévin, je suis au salon. Je te présente Djamel maman… Tu pourras nous servir à boire, s’il te plait.

 

 Claire est surprise par cette visite imprévue, et l’accueillir simplement vêtue d’une courte nuisette, la gène beaucoup. Car elle a bien remarqué le regard que Djamel lui adressait.

Kévin se lève quand sa mère revient de la cuisine. Il lui prend le plateau de jus de fruit et le pose sur la table. Puis il se place derrière elle, la pend par les hanches.

 

-Je vais aller passer un peignoir, dit-elle.

-Mais non maman, dit Kévin, en ôtant la nuisette.

-Arrêtes Kévin…pas ça, dit Claire timidement.

-Détends toi maman, ça ne te gêne pas d’être toute nue devant un arabe ? Tu es si belle. N’est-ce pas Djamel qu’elle est belle ma mère. Regardes ses seins comme ils sont dur…et sa petite chatte, toute rasée. Tu peux toucher si tu veux.

 

Djamel hallucine. Il voit la fente entièrement épilée de Claire, et les magnifiques seins, bien fermes. Kévin bloque les bras de sa mère dans le dos, et s’approche de son copain.

 

-Alors, qu’est-ce t’en dit, poursuit Kévin.  Vas-y, caresse la…elle en meurt d’envie. N’est-ce pas maman, que tu as envie qu’il caresse ta petite chatte…je suis sur que tu en as envie.

-Tu es fou mon chéri, qu’est-ce que tu attends de moi…

-Ta réponse, dit Kévin en haussant le ton !

-Oui j’en ai envie, répond Claire soumise…

-Ben voila, allez Djamel, tu peux t’amuser avec elle.

 

Djamel  s’avance, et d’un geste mal assuré, caresse les seins de Claire. Cette dernière ferme les yeux, appuie sa tête sur l’épaule de son fils, qui, impassible assiste à la scène. Puis la  main de Djamel va plus bas. Un doigt glisse sur la fente parfaitement épilée. Claire lance un gémissement de plaisir, quand le doigt excite le clitoris. Malgré elle, elle écarte les jambes.

 

-Alors maman, c’est bon ce qu’il fait à ta chatte ?

-Si tu savais mon chéri…quel salaud lui aussi. Mais ce n’est pas bien ce qu’on fait.

-Tu veux que je lui dise d’arrêter, maman.

-Surtout pas…c’est trop bon.

-Bon, très bien, dit Kévin, vas- y Djamel, enfonces bien tes doigts dans sa chatte…branles la. Je vais vous laisser, j’ai un truc à faire en ville. Amusez-vous bien.

 

Claire n’en croit pas se oreilles. Son fils la laisse seule, l’offre à son pote.

Arrivé à la chambre, Djamel se déshabille, et rejoint Claire sur le lit. Celle-ci s’allonge sur le ventre.  Le corps de Claire est parcouru de frissons, quand Djamel lui caresse l’échine. Puis elle sent la hampe monstrueuse glisser entre ses cuisses. Elle veut éviter ce genre de contact. Elle se  retourne, saisit la bite, la fait coulisser entre ses mains. Le jeune arabe la fait mettre sur le côté, lui soulève une jambe, pénètre la chatte débordante de mouille.

Est-ce la nouvelle génération qui veut ça, toujours est-il que Djamel, tout comme Kévin, s’avère être un super mâle au lit. Tout pour satisfaire Claire, qui n’en fini pas de jouir. Mais Djamel en veut plus. Il se retire, dirige sa queue vers le petit trou. Claire le repousse vivement. Elle tient absolument à respecter la promesse faite à son fils.

 

-Non…pas ça, s’il te plait…ne me sodomise pas, je ne l’ai jamais fait.

-Dommage, dit Djamel en se couchant sur le dos. Viens, assied toi sur ma bite.

-Je préfère, souffle Claire…oh putain, qu’elle est grosse.

-C’est bon d’avoir la grosse bite d’un beur dans la chatte, dit Djamel. Les françaises aiment bien…c’est pour ça qu’elles trompent leur mari avec eux.

-C’est vrai, à les tromper, autant que ce soit avec une grosse queue…même si c’est celle d’un arabe…oh oui…c’est bon de se faire baiser par une grosse bite…vas-y...oui…je jouis…

 

L’orgasme est terrible. Djamel décide de retenter sa chance. Faire avec elle, ce qu’aucun homme n’est parvenu à faire. Il l’oblige à se mettre à plat ventre, la croupe bien cambrée.

Il prend sa bite en main, et la guide contre le petit trou de Claire. Celle-ci se débat.

Trop tard, le calibre pénètre les entailles, l’a fait hurler de douleur. Pour essayer de la calmer, Djamel se penche sur elle, l’embrasse dans le cou. Petit à petit, Claire semble se détendre, comme si elle acceptait la sentence. Elle commence même à gémir.

 

-Alors, tu vois que t’aimes ça, souffle Djamel…t’es faite pour baiser toi…même te faire enculer par un beur…

-Oui salaud…vas-y…défonces moi le cul…s’il te plait…ne dis rein à Kévin…

-Ok, dit Djamel, et j’ai droit à quoi en échange de mon silence, dis-moi…

-Tu veux quoi ?

-Je ne sais pas, me tailler une pipe…il parait que les françaises sont  douées pour ça.

-Hors de question, je n’ai jamais fait ça, ni avec Kévin, ni avec mon mari.

-Oh que si tu vas me sucer…allez, ouvre la bouche petite salope. Voila, comme ça.

 

Djamel enfonce sa queue jusqu’aux couilles. Lentement, il commence à se branler entre les lèvres de Claire. Petit à petit, c’est elle qui prend le relais, jusqu’à ce que Djamel vide ses couilles dans sa bouche. Gourmande, elle avale tout, et lèche le gland.

Djamel est  arrivé à faire avec elle, ce que les autres n’ont pas su faire.

Entre temps, Kévin est rentré, est allé directement se coucher. Mais il ne peut dormir, empêché par les bruits des amants en furie.

Dans la chambre, c’est une vraie tuerie. Claire ne peut résister à la fougue de Djamel, et s’offre totalement. Elle se fait prendre dans toutes les positions…mais aussi, par tous les trous. Elle a pris gout à la sodomie. Ca, plus tailler des pipes, elle a failli à sa parole.

 

Kévin se lève vers neuf heures du matin. Sur la table basse du salon, il découvre une lettre. Il l’ouvre, elle est signée par son pote Djamel. Tout en prenant son petit déjeuner, il l’a lis.

 

« Mon pote, j’ai passé une nuit de folie à m’amuser avec ta mère. Elle est vraiment bonne, une vraie salope. Tu devais bien dormir, pour ne pas l’entendre crier, quand je lui bouffais  la chatte, quand je la branlé, ou quand je faisais rouler son clito entre mes doigts. Elle se tordait sur le lit, un vrai serpent, se pendait à mon cou en hurlant mon prénom…

« Oh oui Djamel, encore Djamel, tu sais que les françaises aiment qu’on leur caresse la chatte, qu’on doigte leur petit bouton…et toi, jeune beur, tu sais faire tout ça… tu mérites une récompense, viens que je suce ta grosse queue mon chéri…je veux que tu te vides les couilles dans ma bouche ».

Elle m’a taillé une pipe, je te dis pas…elle n’a rien laissé, elle a tout avalé…quelle pute. 

Après cette entrée de choix, elle a voulu que je la baise, en levrette. Quand je lui demandé pourquoi cette position, elle m’a répondu que son petit trou n’était pas loin, que je pourrais la sodomiser. « Il parait que les arabes sont doués pour ça », m’a-t-elle dit. J’en ai donc profité pour l’enculer. J’ai enfoncé ma bite dans son petit trou, jusqu’aux couilles. Ouah, tu l’aurais entendu couinait.

Ta mère est une vraie chienne, une super baiseuse. Quand elle hurlait de plaisir, j’étais obligé de mettre ma main devant sa bouche, de peur qu’elle ne te réveille.

Je lui ai fait avouer que les arabes étaient les meilleurs baiseurs, que c’est pour ça que les françaises trompaient leur mari avec eux, beaucoup plus performant au lit.

En échange, elle m’a fait jurer de ne rien dire de cette nuit.  Apparemment, je lui ai fait des trucs qu’elle ne voulait pas que tu saches. Elle m’a aussi avoué que j’étais un bon coup au lit, rien avoir avec toi, et surtout, que j’étais mieux monté.

Je me suis endormi, ma queue en érection plantée dans sa chatte. Quand je me suis réveillé elle était en train de me tailler une pipe, comme si elle prenait un biberon. Elle a avalé tout mon jus, puis elle a enroulé sa langue au tour de mon gland pour le nettoyer.

De toute façon, j’ai filmé tout nos ébats avec son téléphone que j’avais installé sur la table de nuit. Je lui demandais de bien écarter ses jambes, pour que tu vois bien comme je lui grattais sa petite chatte, son petit bouton. Tu pourras vérifier tout mes dires par toi-même.

Autre chose, ta salope de mère m’a demandé la rejoindre en cachette la nuit, quand tu seras endormi, pour que je puisse m’amuser ave elle. Bien sur, j’ai accepté. C’est plus logique qu’elle se fasse baiser par le pote de son fils, que par son fils lui-même. Je lui ai même proposé de venir avec ma sœur. Elle a avoué qu’elle était pas contre se faire gouiner.

En tous cas, je te remercie mon pote, pour le merveilleux moment passé avec ta mère. »

 

Kévin n’en croit pas ses yeux. Il fille à la chambre de sa mère. Il reste scotché devant ce qu’il découvre. Elle est allongée sur le dos, assoupie, jambes écartée, bras tirés en arrière, ne cachant rien de son intimité. Kévin remarque des filets de sperme sur les lèvres, sur la chatte, et son petit trou. Djamel n’a pas menti.  Soudain, Claire se met à bouger, ce qui oblige Kévin à se cacher. Elle sort sa langue, et récupère le reste de sperme qui coule sur ses lèvres. Puis en fait de même avec un doigt pour récupérer celui qui déborde de sa chatte et de son petit trou.

Aucun doute, sa mère l’a trahi, trompé.

Dégouté, il retourne à sa chambre.

 


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