Ma femme me trompe

Récit érotique écrit par Odan le 28-11-2023
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Catégorie Infidélité

Je suis certain que ma femme me trompe. Depuis quelques temps, elle s’apprête de nouveau, fait attention à ce qu’elle met, se remaquille, alors qu’elle se laissait aller depuis des années. Et je la trouve beaucoup plus joyeuse que d’habitude, en même temps qu’assez distante avec moi. Voilà des mois que nous ne nous touchons plus, et dès que je m’en plains, elle m’envoie balader en riant. La seule explication que j’envisage, c’est qu’elle me trompe, et je veux en avoir le cÅ“ur net. Plusieurs fois, je l’ai suivie, mais soit je l’ai perdue – je ne suis pas un détective professionnel – soit il ne s’est rien passé. Mais elle rentre tard plus souvent que d’habitude, prétextant je ne sais quoi, et ne me donne pas vraiment d’explications quand je lui pose des questions. Alors j’ai posé un mouchard sur son téléphone, pour pouvoir retracer ses déplacements : je sais, c’est pas très classe, mais je veux savoir.

La semaine dernière, il y a deux déplacements curieux, qui coïncident justement avec ses retards. L’un dans un village voisin où elle n’a rien à faire, et l’autre plus proche, mais à une adresse que je ne connais pas : je suis allé voir, mais impossible de vraiment comprendre de quoi il s’agit. Pour en savoir davantage, il faudrait que je la suive en même temps, mais ça supposerait que je prenne des jours de congé au boulot, et c’est compliqué.

Donc, j’ai décidé de passer à la phase 2. Avec le mouchard sur son téléphone, il y a une fonction qui fait que je peux l’activer à distance. Il suffit d’être discret. Et hier, nouveau déplacement incongru dans le village voisin. Le téléphone était dans son sac, mais je pouvais – assez mal – entendre. Elle parlait avec un type, mais je ne comprenais pas de quoi ils parlaient ; ensuite, il y a eu du silence, et des petits bruits. Je crois que cette salope baisait, mais c’est difficile d’en être certain. Comme ce déplacement était pile une semaine après le premier, j’ai parié que celui à l’adresse inconnue aurait aussi lieu une semaine après le premier, soit aujourd’hui : je suis donc allé planquer en face de l’adresse en question, et ça n’a pas raté. La voilà qui se pointe, petite jupe courte – elle est partie en jeans ce matin… – et caraco léger en haut : franchement aguichante, ce ne serait pas ma femme, je la draguerais bien… Je suis rentré dans l’immeuble, discrètement, derrière elle : elle a pris l’ascenseur pour le troisième. Je monte à pied, avec l’activation du téléphone, je trouverai bien où… Il n’y a que deux appartements par étage, pas trop compliqué de trouver : un nom sur la porte, mais je n’entends rien, et je ne peux pas entrer… J’essaie quand même, on ne sait jamais : putain, la porte n’est pas fermée. J’entre très doucement, il ne s’agit pas de se faire gauler. Je me glisse dans le couloir et j’arrive discrètement dans le salon. Elle a posé son sac, mais elle n’est pas là. Il y a du bruit plus loin, je m’approche tout doucement. Un homme parle, il lui parle : putain, cette salope est à genoux, et elle suce la bite énorme, disproportionnée, d’un black. En fait, le mec ne lui parle pas, il est au téléphone. Elle suce la bite d’un mec qui téléphone, j’y crois pas. Je ne sais pas quoi faire, c’est super excitant, voir cette salope avec ce gros chibre dans la bouche, ça me fait bander sérieusement. Au bout d’un moment, toujours au téléphone, il lui fait un signe : elle se relève, enlève son caraco, enlève sa jupe, enlève son string, elle se fout complètement à poil, et pendant qu’il continue à parler, elle se met à quatre pattes, comme une bonne chienne obéissante, et écarte ses fesses. Et là, sans lubrifiant, sans rien, il l’enfile direct ; elle crie, la salope, et il n’a pas besoin de bouger tant elle se démène d’avant en arrière, tant elle se défonce toute seule, et elle gueule, elle en a envie de son gros sexe, elle aime ça, elle est sa pute, qu’il la lui foute plus loin, plus fort, et lui tranquille qui raccroche son téléphone, mais le garde en main et la prend en photo, et va la mettre sur le net, oui, de bonnes photos bandantes de petite bourge blanche qui se prend une grosse bite black, et d’ailleurs, tiens, il va l’enculer, et elle gueule encore plus fort, elle écarte son cul autant qu’elle peut, son cul qu’elle ne m’a jamais donné, et pareil, sans lubrifiant, sans rien, il l’enfile, mais elle doit avoir l’habitude, putain, ça rentre tout seul, son petit cul si blanc défoncé par cet énorme sexe noir, c’est beau à voir, putain, j’ai giclé dans mon fut tellement j’aime ça… Je prends aussi quelques photos, et je me débine discrètement, j’ai adoré, et en même temps, cette salope me trompe éhontément…

Je pense qu’elle ne va tarder à rentrer, je prépare le dîner, comme si de rien n’était… mais elle tarde, la pute, elle a dû remettre ça, putain, comment elle va avoir le cul défoncé… Elle finit par rentrer, a l’air fatiguée (tu m’étonnes), m’invente une excuse qui n’est même pas crédible, refuse de dîner, n’a pas faim, veut aller se coucher. Je la laisse faire, et je la rejoins dans la chambre. Je n’ai pas mis de pyjama, je suis à poil, le sexe tendu. Elle me regarde surprise : « qu’est-ce qui te prends ? Â» Il me prend que je vais te baiser comme la chienne que tu es ! Je lui montre la photo, je lui dis que je sais tout, et que maintenant, elle va être exactement salope comme je l’entends ! Mais elle éclate de rire, me regarde avec une sorte de mépris, et me répond : « mais mon pauvre petit, pour ça, il faudrait que tu aies une bite digne de ce nom, pas ton tout petit zob ridicule. Tu crois que tu vas me faire jouir avec ça ? Au mieux, tu pourrais me chatouiller… Allez, remballe ton truc on branle-toi en matant la photo, je m’en fous, mais laisse-moi dormir. Et si tu es sage, peut-être que la prochaine fois, je te laisserai regarder de près, et apprécier. Â» Je suis furieux, mais qu’est-ce que je peux faire ? Je pars en claquant la porte, mais une fois dehors, je m’aperçois que je suis assez ridicule : ma femme me trompe, elle n’en a pas honte, elle me méprise, et je ne vois pas ce que je pourrais faire pour la reconquérir. Je n’ai pas entre les jambes ce qu’il faut, et à l’entendre, je ne sais même pas me servir de ce que j’ai. Il me reste ou à pleurer, ou à accepter de la mater, ou la quitter. J’opte momentanément pour la solution 2 : si c’est trop insupportable, je pourrais toujours la quitter ensuite.

J’attends donc le rendez-vous suivant, celui dans le village voisin. Fidèle à sa parole, elle me prévient et m’invite à venir : « mais attention, tu risques d’être surpris et humili酠» Tu m’étonnes, ce n’est pas un mec qui l’attend, c’est trois : une sorte de molosse qui doit être videur dans une boîte de nuit, et deux beurs. Ils sont les trois déjà à poil, l’attendent de bite ferme, et quelles bites ! et s’esclaffent en me voyant : « Oh, t’as amené ton cocu, quelle bonne idée ! Â» Et ils n’y vont pas de main morte, à peine à poil, elle se fait enfiler direct, en suçant la bite d’un second. J’hésite à regarder, je jette un Å“il, je ferme les yeux. Tout y passe : un dans le cul et un dans la chatte, le troisième dans la bouche ; deux dans la chatte, je pensais que ça ne rentrerait jamais, mais si ; deux qui lui éjaculent sur les seins ; et les photos, vas-y que ça mitraille. Je suis tellement stupéfié que je ne pense ni à bander, ni à l’humiliation qu’elle m’inflige. D’autant qu’elle jouit abondamment, et qu’elle crie comme une vraie chienne. Tout le village doit être au courant ; tout le village lui est probablement passé dessus. Et ça dure, infatigables les gars. Elle a raison, je ne fais pas le poids : ni je n’ai la taille, ni l’endurance… Quand enfin ça s’arrête, elle est pleine de sperme : ça dégouline par tous les trous, elle en a sur les seins, le cul, les cuisses, elle en a sur le visage, à la commissure des lèvres… « Bon, crétin, tu me ramènes, je n’ai pas envie de conduire. Â» Et je la ramène, sans un mot, penaud, ridicule. Une fois à la maison, elle va se doucher en m’ordonnant de préparer le repas. Puis elle mange, sans me regarder, en critiquant quand même la bouffe : « putain, même pour ça, tu es nul. Â» Et évidemment, pas question que je la touche ; pour être franc, je n’en ai pas envie non plus. Je ne peux pas supporter ça : je vais me barrer. « Tu sais, puisque tu es au courant, je vais arrêter de me déplacer tout le temps : mes amants, je vais les faire venir ici. Tu dormiras dans la chambre d’amis (un petit débarras qu’on a aménagé), et tu prépareras la bouffe et les bières. Â» Et dès le lendemain, voilà le black qui débarque avec son frère, et ils la besognent la moitié de la nuit. C’est pas possible, je peux pas faire le larbin comme ça. Je me dis qu’il faudrait que je trouve une amante, mais elle me fait vite comprendre qu’à côté de ses amants à elle, je risque de ne trouver que des moches en manque… Elle a encore raison. Et maintenant, ça défile : tous les soirs, il y en a au moins un, des fois plusieurs, et je n’arrive même plus à les identifier. La seule chose que j’identifie, c’est ses cris de chienne, c’est la poisse permanente du lit, l’odeur de sexe, d’écurie. C’est sûr, demain, je me barre, et comme le fric, dans cette maison, c’est moi, elle sera bien dans la merde.

 

Je me réveille à l’hôpital. Ma femme est là, avec son air habituel de douceur. Elle appelle vite une infirmière. « Ah, ça y est, tu es réveillé ! Tu nous as fait si peur ! Â» Que s’est-il passé ? « Je ne sais pas, je crois qu’avec ta jalousie maladive – tu sais, je sais que tu as mis un truc sur mon téléphone – tu m’as suivie à ma dernière réunion de boulot, et ensuite, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais en rentrant, tu as eu un accident : on t’a retrouvé délirant, tenant des propos incohérents – et assez obscènes – puis tu es tombé dans les pommes. Depuis deux jours, tu es là et tu délires. Â» Quoi ? J’ai rêvé tout ça, il ne s’est rien passé ? Un infirmier vient me voir, c’est un grand black, je le connais… Puis c’est le médecin, lui aussi, je le connais, il est nord-africain… Je ne sais pas quoi penser, je suis dans le coltard.

En rentrant à la maison, tout a l’air en ordre. Ma femme me fait à manger, puis elle me dit de me reposer, d’aller me coucher, qu’elle va me rejoindre. Je me couche, je suis fatigué. Elle me rejoint vite, se colle à moi, m’embrasse dans le cou, glisse une main dans mon pantalon de pyjama : « Tu sais, dans tes délires à l’hôpital, tu disais des trucs très cochons, ça m’a plutôt excitée, et tu bandais comme un âne, j’aime bien quand ta bite est si grosse. Â» Je la laisse faire, je ne comprends pas tout ce qui se passe. Elle s’apprête à me pomper, mais elle s’arrête : « Le médecin pense que dans ton état, il faudra un suivi infirmier ; demain, Moussa, l’infirmier qui s’est occupé de toi, viendra dans la matinée : tu verras, il est super gentil. Â» Et elle reprend sa pipe, mais je n’arrive pas à jouir : je suis préoccupé… « Chéri, quelque chose ne va pas, je ne fais pas comme il faut ? Tu sais, je crois qu’il faut vraiment que tu te reposes, moi, j’ai besoin d’une belle bite en forme ! Ne bouge pas, je vais m’asseoir sur toi, tu n’auras rien à faire. Â» Et elle me monte dessus, sans enlever sa chemise de nuit, s’assoit sur mon sexe, commence à me chevaucher… mais je débande, je n’en peux plus. Â« Oh, tu es mou… bon, tant pis, mais fais attention, ajoute-t-elle en riant, avec un air innocent, ce Moussa, tu sais, il a l’air super bien monté, et si je ne t’ai pas pour moi, je serai peut-être tentée. Â» Et elle se couche à côté de moi, et s’endort tranquillement. Pas moi. Je ne sais pas si j’ai rêvé ou si tout cela était réel…



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